Le décès de Pierre MARTIN et de sa femme

Dès 1764, le duc de Bourbon-Condé avait laissé des capitaux pour servir des rentes perpétuelles à son apothicaire comme à ses principaux employés. Rentes perpétuelles nettes par an, au profit des héritiers MARTIN :

- le 26.9.1764 : 534 £ à la femme du Sr Geoffroy, receveur des fermes de Caen, héritière du Sr MARTIN, apothicaire.
- le 10.10.1764 : 445 £ au sr LARMINET (sic), héritier de la dlle. MARTIN, sa mère, fille dudit sr MARTIN.

Pierre MARTIN a été inhumé au cimetière ancien de Saint-Germain-en-Laye situé place du marché neuf, avant d’être transféré en 1774 au 78 bis rue Léon Désoyer dans le centre de la ville de Saint-Germain-en-Laye.

Le jeune Louis-Alexis de LARMINAT rend une visite en 1760 à Chantilly. Il n’a que 11 ans et il est accompagné de sa belle-mère, Marie-Charlotte Hamouy de Fontenay, seconde épouse d’Antoine Larminat. Une aquarelle de Louis Carrogis (1717-1806), (dit Carmontelle) atteste de cette visite à Chantilly 1760. L’aquarelle est toujours exposée au château de Chantilly.

On peut penser que Claire MARTIN se retira au prieuré Sainte-Honorine à Conflans.

Elle y décède le 23.10.1771. Le prieuré, fondé en 1080, incendié, reconstruit au XII°, était déjà en très mauvais état.


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Presque 100 ans après l'installation des "Argentins" au Cerro, revivez cette aventure au travers d'aquarelles venues d'Argentine.