UNE « LIBERTE » EN DEBAT AU PARLEMENT...
Une certaine idée de la « liberté de la science » s’est infiltrée à l’intérieur du parlement, voulant imposer la recherche embryonnaire aux députés. A la veille du débat sur la bioéthique, 10.600 pétitionnaires  se sont opposés à laisser la science utiliser l’embryon comme un matériel de laboratoire. Cette pétition sera remise publiquement au Palais Bourbon, le 7 février 2011 vers 11h15.
M. Michaël LONSDALE,  expliquera pour la presse, le 7 février à 10h30 au restaurant « Le Vauban », Place Vauban à Paris-7°, pourquoi il soutient une initiative due à Stanislas de LARMINAT. Cet ingénieur à la retraite présentera la démarche qui l’a conduit, dans un esprit citoyen, à apporter une contribution au débat.

Source: Communiqué de presse de "les2ailes.com" – 2 février 2011

Information: "les2ailes.com"


M. Michaël LONSDALE et Stanislas de LARMINAT
répondront aux questions de la presse.

Un entretien vidéo recueilli en présence de Pascal DUQUENNE, héros du film « le 8ème jour », sera également projeté pendant cette réunion de presse.

Dans un « esprit simplement citoyen », l’initiateur de la pétition veut expliquer, « sans a priori religieux, les motifs des pétitionnaires pour lesquels ceux-ci demandent un moratoire sur la recherche embryonnaire, après les 5 ans de dérogations dont elle a bénéficié ». Il aborde les fondements de la Dignité, explique les raisons pour lesquelles l’utilité ne peut pas être un principe d’action, pas plus que la « liberté de la science » ne peut être un absolu sans contre pouvoir. Il  justifie l’application du principe de précaution à cette cellule qui est un être humain, « parce que ce n’est pas une chose et qu’il n’a jamais donné naissance à un  animal ».

A l’issue de la conférence de presse, une délégation se rendra à l’assemblée nationale pour déposer 570 lettres destinées à chaque parlementaire. Un député recevra en main propre, devant la presse, celle qui lui est destinée.

Le moyen de transport utilisé sera à la fois symbolique et discret, montrant qu’une faiblesse de moyen, peut servir une force de conviction : l’embryon ne peut être considéré comme un « matériel de laboratoire ».

Contact: Stanislas de Larminat, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.