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"L'écologie, nouveau jardin de l'Eglise" : Résumé

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Publication : 6 octobre 2020

Laissez vous tenter par un nouvel ouvrage, pour vous, pour faire un cadeau, ou pour préparer vos bibliothèques tournantes: 
L’écologie, nouveau jardin de l’église - Dialogue et controverse, pour que justice et paix s’embrassent (Lyon, Peuple Libre, nov. 2020). Fabien REVOL - Stanislas de LARMINAT, Préface du Père Nicolas BUTTET, cofondateur d’Eucharistein.

- Fabien REVOL est théologien et universitaire, co-Responsable du pôle « Développement Intégral, Ecologie, Ethique » de l’UR « Confluence Sciences et Humanités » et Titulaire de la Chaire Jean Bastaire de l’Université Catholique de Lyon.
- Stanislas de LARMINAT, agronome et bio-éthicien, a publié d’autres ouvrages sur l’écologie, dont le dernier était également le fruit d’un dialogue avec des représentants du GIEC : « Climat, et si la vérité nous rendait libre » (TerraMare, 2016). Il a entrepris, à pied autour de la France mariale, une retraite itinérante, temps de prière et de dialogue.

Livre à commander à votre libraire (ou en ligne, par exemple: la Procure) ou directement au diffuseur AVM Diffusion.

Comme le dit le Père Nicolas BUTTET, dans sa préface: « Fabien Revol et Stanislas de Larminat échangent entre eux… Une telle démarche apparaît comme prophétique dans l’Église catholique de notre temps. Il est si difficile en effet d’oser le dialogue, d’affronter avec maturité humaine et liberté intérieure les divergences de vue ou d’opinion dans l’Église ».

Les divergences philosophiques et scientifiques, théologiques et pastorales, écologiques et politiques, n’ont pas manqué entre les auteurs. Elles sont évoquées dans l’introduction de l’ouvrage :

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Écologisme et « théorie du Care » : deux idéologies de même inspiration.

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Publication : 29 septembre 2020

En quoi l’éthique du care et la philosophie morale des « biens communs » sont-ils à rapprocher ?
La philosophie du Care, est une dialectique de la vulnérabilité qui joue du rapport "fort/faible": L’ensemble de la communauté internationale nous pousse, progressivement, dans une éthique très contestable, celle de l’éthique de responsabilité [1]. Elle inclut, bien sûr, une éthique de la solidarité, une éthique du respect des droits de l’homme, mais sans se poser la question de savoir de quel homme on parle. L’éthique du Care  peut être bonne, mais qui n’est pas suffisante, dans la mesure où elle relève d’un certain relativiste de ce qui mérite un soin et de ce qu’est le soin à apporter.
L’écologisme, avec son slogan : « prendre soin du climat », ou « prendre soin de la planète » rentre dans une éthique du même ordre. Comment cela ?

Analyse « les2ailes.com »

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Le temps se fait court (1Co 7,29): « Urgence écologique » ou « Cap vers le port » ?

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Publication : 25 septembre 2020

« Les laïcs....ont le droit [et même parfois le devoir] de s’ouvrir à ces mêmes pasteurs ....dans la mesure de leurs connaissances, de leurs compétences et de leur situation, et de  manifester leur sentiment en ce qui concerne le bien de l’Église » (Lumen gentil 37)

Le groupe de travail interdicasteriel du Saint-Siège sur l’écologie intégrale a publié la version française de En chemin pour la sauvegarde de la maison commune 5 ans après Laudato si.
L’introduction commence par cette phrase : « ‘Le temps se fait court’ (1Co 7, 29). Cette exhortation…, nous l’entendons aujourd’hui résonner avec urgence ». Urgence climatique ou appel à nous tourner vers la terre nouvelle ? Saint Paul utilise un terme technique de la navigation : « littéralement, le temps a cargué ses voiles : quel que soit le temps restant à courir jusqu’à la parousie,  de toute façon, dans le Christ ressuscité, le monde à venir est déjà présent »[1]. Notre vie est comme une navigation toujours orientée vers le port. 

Transcription : « les2ailes.com »

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L’écologie : « chemin d’évangélisation » ou prosélytisme ?

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Publication : 13 septembre 2020

La revue « Limite » du 25.4.2017 interrogeait ainsi Gautier Bès de Berk  « Pensez-vous que l’écologie intégrale… puisse être un chemin d’évangélisation pour notre monde sécularisé ? ». Il répondait : « Tout dépend de ce qu’on cherche par l’évangélisation. Si c’est attendre de celui qui ne l’est pas qu’il devienne catho, alors c’est d’avance voué à l’échec et l’écologie intégrale n’apportera rien. Si l’évangélisation, c’est mettre les évangiles en mouvement, aller chercher dans notre quotidien là où ils rentrent en questionnement avec nos pratiques et accrochent nos contradictions, alors l’écologie intégrale peut devenir un moteur intéressant pour nourrir notre propre démarche… ».
Patrice de Plunkett n’a pas le même regard: « L’écologie est enfin un chemin d’évangélisation et de témoignage catholique. Ni superflu ni dissidence, on est dans le cœur du message chrétien ! ».
Vincent Neymon, parle de son côté de l’écologie intégrale comme d’un « outil d’évangélisation »[1].
Il y a dans ces sémantiques une confusion entre les concepts d’évangélisation, de cheminement avec les incroyants, et de nécessité de « l’exigence de la rencontre pour rejoindre les personnes là où elles sont », comme le disait le pape François au cours d’une audience  le 18.11.2019.
La peur écologique est certes un signe des temps. Mais la tolérance et le subjectivisme également, la sexualité comme objet de consommation aussi. Nul ne penserait à évoquer comme un chemin d’évangélisation de notre temps l’idée de partager avec nos contemporains, un peu de subjectivisme. Quant à certaines communautés religieuses qui ont rejoint la génération 68 en faisant la promotion  de la libération sexuelle pour être dans l’ère du temps, on sait les ravages que ces discours ont fait dans l'Église. On pourrait également évoquer l’évangélisation du prolétariat par des pasteurs qui ont pensé devoir faire « un bout de chemin » avec le marxisme?
Alors est-il si sûr que rejoindre les personnes sensibles à l’écologie doive passer par une collaboration avec la peur écologique, même un tant soit peu ?  
Avant de parler de « chemin d’évangélisation », il faudrait préciser ce que l'Église entend par évangélisation.

Analyse "les2ailes.com"

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Un pèlerin complètement « cramé »!

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Publication : 2 septembre 2020


Non que le soleil soit déplaisant pour un pèlerin. Il est simplement propice à une réflexion sur ce qualificatif populaire , « cramé » ! Le mot évoque un individu dont la prise de parole devient difficile : il est brûlé, carbonisé, non parce qu’il serait fou, « barge » ou complètement « tapé » comme on dit. En réalité son discours est repéré. Il est donc radié du monde consensuel. Au long des chemins, il se bat pour un peu plus de vérité dans les pastorales écologiques. Mais, comme le disait  Henri de Montherlant (La Reine morte, 1942, page 221), « Le bruit de la vérité les épouvante comme la crécelle d'un lépreux ». Un pèlerin « cramé » marche avec une crécelle!
Faut-il s’émouvoir de se sentir « cramé »? Le journaliste Raphaël Enthoven, pourtant peu recommandable, parle avec humour d’Alain Finkielkraut: « l’avantage d’être cramé depuis une éternité, c’est que les ailes ne brûlent plus... Sa longévité sur le court force le respect mais l’expose à se faire battre par des amateurs. J’ai parfois le sentiment [qu’il] n’imagine pour lui qu’une seule fin : la crucifixion où il verrait la preuve qu’il a raison. »

Il ne s’agit pas de se donner une posture de crucifié, ni de prétendre avoir le talent de Finkielkraut, mais simplement de comprendre que les écologistes qui s’acharnent à « cramer» leurs contradicteurs sont hélas souvent des écologues amateurs qui n’ont comme source que les lieux de consensus, médias, ONG ou politiques.

On ne devrait pas dire « il est cramé », mais « il s’est cramé ». En effet, le cramé n’a pas vraiment été « adroit comme les serpents, et candide comme les colombes » (Mt 10,16) . Sa parole était plutôt du genre « tranchante [comme une] épée quelconque à deux tranchants » (Hébreux 4:12).

Dans ce combat pour la vérité, qui est le plus « cramé »?

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De quoi n'avez-vous pas peur ? Le menteur et le diviseur à la manœuvre ?

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Publication : 31 août 2020

"C’est un triomphe pour la science:
nous avons établi les estimations
pour la capacité de chargement de la planète,
nommément en dessous de 1 milliard de personnes"
 
(Hans Joachim Schellnhuber)[1]

En matière de santé: peur du virus, du cancer, du handicap, de la mort ; en matière de sécurité: peur dans les trains de banlieue, des casseurs dans les manifs, du viol de nos jeunes filles, des immigrés  en matière d’écologie : peur des OGM, du réchauffement climatique, de la disparition de l’ozone, du glyphosate, d’une pénurie d’eau, des virus coronariens, des pesticides, de la 6ème extinction des espèces et des abeilles, de la surpopulation, de la raréfaction des ressources et du jour du dépassement planétaire, de la sixième extinction des espèces, peur pour les générations futures, peur du risque en général…
De quoi n'avons-nous pas peur ?
La peur ne serait-elle pas devenue un instrument de gouvernance ?
Qui et comment sont véhiculées ces peurs ? Les gouvernants qui, avec des règles et des interdits, ne font en réalité qu’amplifier les craintes, accroître la crédulité sur les risques, … Les medias qui jouent de la peur pour vendre du papier à des lecteurs rêvant de trouver le lendemain une nouvelle plus rassurante. Hélas … !
La jeunesse est particulièrement exposée, faute d’expérience, elle n’a pas appris à prendre du recul sur les allégations anxiogènes. Les programmes scolaires considèrent le consensus comme un acquit de la science, alors que le consensus n’est qu’un argument d’autorité qui n’apporte aucune autorité aux arguments avancés.
En des temps où, même les chrétiens, ont des difficultés à croire à l’existence du démon, on est en droit de s’interroger : la peur serait-elle d’essence diabolique ?
Le bon moyen de résister à la peur : la joie ! "N'ayez pas peur! … Soyez dans la joie"  (Jean 6, 20  ... Matthieu 5, 12),  "dans la joie … que donne l'abondance de toutes choses"   (Deutéronome 28, 47).

Analyse "les2ailes.com"

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Entre bioéthique relativiste et écologisme consensuel : Laudato si et Humanae vitae prophétiques

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Publication : 20 août 2020

On pourrait paraphraser Laudato si en disant qu’entre « bioéthique relativiste et écologisme consensuel, tout est lié ». Dans Laudato si, le pape François donne des exemples pratiques liant écologie et bioéthique : "Quand on ne reconnaît pas, dans la réalité même, la valeur d’un pauvre, d’un embryon humain, d’une personne vivant une situation de handicap ..., on écoutera difficilement les cris de la nature elle-même". (§ 117). L’encyclique insiste donc sur l’incompatibilité qu’il y a dans "la défense de la nature ...et la justification de l’avortement" (§ 120). Laudato si cite les encycliques de Jean XXIII avec Pacem in terris , ou de Jean-Paul II avec Redemptor hominis ou laborem exercens. Pourtant aucune allusion n’est faite à Humanae vitae de Paul VI. Peut-être une encyclique ultérieure unira-t-elle les deux doctrines, dans l’esprit d’une véritable herméneutique de la continuité.
En quoi ces deux thématiques sont-elles liées ?

Analyse «les2ailes.com »

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