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Discours de cloture de l'AG des évêques à Lourdes - 8.4.2022

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Publication : 11 avril 2022

Nous relayons ici l'intégralité du discours prononcé par Mgr Eric de Moulins-Beaufort à l'Assemblée plénière des évêques de France, à Lourdes le 8 avril 2022. 
Nous soulignons certaines parties de son discours: 
"L’urgence climatique, l’urgence de la situation écologique, l’urgence de la dégradation mesurable de la biodiversité, nous les avons ressenties à travers nos invités diocésains, pendant le premier jour de notre assemblée. Le rapport du GIEC, publié il y a quelques jours, a établi, s’il en était besoin qu’il était trop tard pour atteindre l’objectif fixé à Paris lors de la COP 21 de limiter le réchauffement à 1, 5° par rapport au début de l’ère industrielle. Des actions sont ou seraient encore possibles mais elles exigent un changement drastique de nos modes de consommation, de production, de transport, de chauffage… 
...Or, « urgence », à nous évêques, évoque sans doute une urgence d’un autre ordre. Un verset de saint Paul, dans sa deuxième lettre aux Corinthiens, au chapitre 5... 
... Nous avions annoncé, un texte de proclamation de foi en Dieu créateur et sauveur ni des engagements fermes. Le temps nous a manqué. ... Le conseil permanent a donc choisi de confier ces documents : la proclamation de foi et les engagements au conseil « Famille et Société » et, sous sa conduite, au réseau des référents diocésains, pour qu’ils soient travaillés, pour qu’un jour prochain, à travers eux revus, retravaillés, réélaborés, puisse s’exprimer notre amour à tous pour le Dieu créateur et pour celles et ceux dont il nous donne de nous faire les prochains.
...Notre besoin de revoir nos structures de travail commun... Nous comprenons aussi que la collégialité rend possible la synodalité, c’est-à-dire la marche commune du peuple de Dieu en l’inscrivant dans l’appel du Christ Jésus et son envoi". 

Source: Zenit - 8 avril 2022

Transcription: "les2ailes.com"

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 Réchauffement climatique et rayons cosmiques

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Publication : 29 mars 2022

"Un problème bien posé est à moitié résolu" 
(John Dewey, "Logic; the theory of inquiry", 1938)

Il ne suffit pas d’être critique sur la thèse du Giec qui voit dans l’activité humaine une cause essentielle de la période chaude climatique actuelle en montrant, par exemple, l’incongruité consistant à ne retenir que les 150 dernières années d'observations  Comment ces modèles peuvent-ils, sur une période aussi courte, expliquer le réchauffement du moyen-âge et le refroidissement du petit âge glaciaire ? Par ailleurs les modèles du Giec n’ont recours à aucune probabilité calculée, mais à ce qu’il qualifie de probabilités subjectives (AR5 GT2, § 2.6.2). Enfin, le G.I.E.C. reconnait qu’il est conduit à éliminer certains facteurs pour limiter la complexité, en particulier le rôle des nuages : dans leurs modèles, le G.I.E.C.  ne retient que « des conditions de ciel clair … ». !
Il ne suffit pas, même si c’est indispensable, de quantifier une relation de cause à effet entre les variations d’activité solaire et les variations de températures pour être convaincu que le soleil est le principal moteur de la mécanique climatique. À cette fin, il faut avoir recours à une discipline : l’identification des systèmes complexes.
Pour approfondir le sujet, il faut expliquer le mécanisme de cet impact solaire sur le climat. Et en particulier le lien entre les rayons cosmiques et la formation des nuages.
En 2010, la faculté de Physique de l’université Nationale du Vienam a présenté la soutenance de thèse de Nguyễn Văn Hiệp, spécialiste de physique nucléaire. Son mémoire était intitulé « Réchauffement climatique et rayons cosmiques ». Nous reprendrons, ci-dessous, une grosse partie de ce document, à la fois précis et suffisamment clair pour vulgariser les travaux de 1997 menés par Svensmark et Friis-Christensen[3]. Ces scientifiques ont découvert que la couverture nuageuse globale de la planète était en étroite corrélation avec l’intensité du rayonnement cosmique galactique, laquelle est à son tour modulée par le cycle d’activité solaire dont l’abondance des taches solaires est une mesure. La terre est en partie protégée du rayonnement cosmique par le champ magnétique qui règne à l’intérieur du système solaire, lequel est perturbé par le vent solaire dont l’intensité fluctue en fonction de l’activité solaire. L’intensité du vent solaire et le champ magnétique qu’il transporte ont plus que doublé au cours du siècle dernier[4]. L’augmentation du champ magnétique est telle qu’au cours de cette même période l’intensité des rayons cosmiques qui atteignent la terre a diminué d’environ 15%.
Reste  encore à essayer de comprendre ce que sont les rayons cosmiques et les fameux aérosols indispensables à la formation des nuages. Telle est l’objectif de cet article.

Source principale : thèse de Nguyễn Văn Hiệp (2010)

Analyse: "les2ailes.com"

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Évènements extrêmes et réchauffement climatique ? Aucune tendance positive claire !

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Publication : 5 février 2022

"La nature est ainsi faite. On s'habitue à tout"
(R.J. Palacio, "White bird:..." 2022)

Quatre professeurs italiens des universités de Milan, Vérone et Padoue, Gianluca Alimonti, Luigi Mariani, Franco Prodi & Renato Angelo Ricci ont publié le 13 janvier 2022, dans la revue « The European Physical Journal Plus » un article intitulé : « Évaluation critique des tendances des événements extrêmes en période de réchauffement climatique ».
Cet article passe en revue la bibliographie récente sur les séries chronologiques de certains événements météorologiques extrêmes et les indicateurs de réponse connexes afin de comprendre si une augmentation de l'intensité et/ou de la fréquence est détectable. L’article commence par le résumé suivant :
Les changements globaux les plus robustes dans les extrêmes climatiques se trouvent dans les valeurs annuelles des vagues de chaleur (nombre de jours, durée maximale et chaleur cumulée), tandis que les tendances globales dans l'intensité des vagues de chaleur ne sont pas significatives. L'intensité des précipitations quotidiennes et la fréquence des précipitations extrêmes sont stationnaires dans la majeure partie des stations météorologiques. L'analyse des tendances des séries chronologiques des cyclones tropicaux montre une invariance temporelle substantielle et il en va de même pour les tornades aux États-Unis. Dans le même temps, l'impact du réchauffement sur la vitesse du vent de surface reste peu clair. L'analyse est ensuite étendue à certains indicateurs mondiaux de réponse aux événements météorologiques extrêmes, à savoir les catastrophes naturelles, les inondations, les sécheresses, la productivité des écosystèmes et les rendements des quatre principales cultures (maïs, riz, soja et blé). Aucun de ces indicateurs de réponse ne montre une tendance positive claire des événements extrêmes. En conclusion, sur la base des données d'observation, la crise climatique que, selon de nombreuses sources, nous vivons aujourd'hui, n'est pas encore évidente. Il serait néanmoins extrêmement important de définir des stratégies d'atténuation et d'adaptation qui tiennent compte des tendances actuelles.

Source: Springer Link - The European Physical Journal Plus -13.1.2022

Transcription: les2ailes.com

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Comment expliquer la période chaude contemporaine  ?

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Publication : 13 février 2022

"Je n'ai jamais rien appris d'une personne qui était d'accord avec moi."
(Dudley Field Malone)

 Il est certes tentant de critiquer les modèles du Giec, en montrant, par exemple, l’incongruité consistant à ne retenir que les 150 dernières années d'observations [1] ! Comment ces modèles peuvent-ils, sur une période aussi courte, expliquer le réchauffement du moyen-âge et le refroidissement du petit âge glaciaire ? Par ailleurs les modèles du Giec n’ont recours à aucune probabilité calculée, mais à ce qu’il qualifie de probabilités subjectives (AR5 GT2, § 2.6.2) [2]. Enfin, le G.I.E.C. reconnait qu’il est conduit à éliminer certains facteurs pour limiter la complexité, en particulier le rôle des nuages : dans leurs modèles, le G.I.E.C.  ne retient que « des conditions de ciel clair [3]… ». Pourquoi cela? Parce que, dit le G.I.E.C., « l’introduction de nuages compliquerait grandement les objectifs de la recherche[4] ». Ce point est particulièrement incompréhensible quand on sait le rôle des rayons cosmiques sur la création des nuages (voir video qui suit)
Mais, il ne suffit pas de critiquer les modèles du GIEC. Pour expliquer que le soleil est le principal moteur de la mécanique climatique, il faut avoir recours à une discipline : l’identification des systèmes complexes. C’est le seul moyen de quantifier une relation de cause à effet entre les variations d’activité solaire et les variations de températures.  
Mais, on aura raison de dire que c’est encore insuffisant et qu’il faut expliquer le mécanisme de cet impact.
Un des grands spécialistes de la cosmoclimatologie est Henrick Svensmark. Nous recommandons la vidéo ci-jointe au cours de laquelle ce scientifique Danois explique le rôle des rayons cosmiques sur les couches de nuage: « Quand un fort champ magnétique émane du soleil ça diminue la quantité de rayons cosmiques qui balaie la terre ce qui  signifie qu'il y aura moins de nuages pour nous tenir au frais. Au contraire un soleil paresseux avec un champ magnétique faible laisse pénétrer davantage de rayons cosmiques qui eux-mêmes produisent plus de nuages qui contribuent à refroidir la terre. ».

 

Source: Youtube - Conférence d'Henrick Svensmark - 23.11.2018

Traduction : « les2ailes.com » 

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Cyclone Batsirai à la Réunion : Le simplisme climatique, arme de séduction massive

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Publication : 4 février 2022

12 blessés, 860 000 personnes barricadées, 30 000 privées d'eau et 74 000 d'électricité ! Certes, le cyclone Batirai n’a pas été des plus violents, mais c’est une occasion de s’interroger sur les allégations classiques concernant la responsabilité du réchauffement climatique. Déjà à l’occasion de l’ouragan Irma, qui avait fait plus d’une centaine de morts, Emmanuel Macron avait affirmé, à New-York le 19/09/2017, qu'« il y a toujours eu des ouragans dans cette région, mais leur violence et leur fréquence est clairement corrélée avec le phénomène de réchauffement ». Qu’en est-il ?
Source: Tribune LSDJ du 4.2.2022 de Stanislas de Larminat

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  1. COP26 - L’AVEUGLEMENT DE 25.000 PARTICIPANTS
  2. Deux prix Nobels à des climatologues - Des travaux vieux de 30 ans et contestés ?
  3. Les projets de loi-climat dignes de la science prolétarienne de Lyssenko
  4. L'Église, traversée par les fléaux de son temps?

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