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COP26 - L’AVEUGLEMENT DE 25.000 PARTICIPANTS

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Publication : 15 novembre 2021

"Qu'ils me haïssent, pourvu qu'ils me craignent" (Caligula)

Depuis Caligula, la peur a toujours été un instrument de gouvernance. Aujourd'hui, la peur est entretenue par des institutions scientifiques internationales. Pas étonnant donc que rien de neuf ne soit sorti d’une COP26 réunie du 1er au 12 novembre 2021 à Glasgow et aveuglée, tant au plan scientifique qu’économico-politique.
Au plan scientifique, d’abord, les participants ont eu le comportement des « géo-centristes », opposés à Galilée, croyant que le soleil tournait autour de la terre. Aujourd’hui, les « carbo-centristes » croient que la cause humaine du réchauffement climatique est un fait. Comment 196 pays ont-ils pu en arriver à signer ce « pace de Glasgow » qui exprime en degrés des objectifs d’action ?  Or, ni la COP 26 ni le dernier rapport du Giec AR6, n’ont répondu à des questions essentielles :

Source: LSDJ - 14 novembre 2021 - Tribune de Stanislas de Larminat

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Deux prix Nobels à des climatologues - Des travaux vieux de 30 ans et contestés ?

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Publication : 8 octobre 2021

Le prix Nobel a été attribué pour moitié au scientifique Italien Giorgio Parisi,  récompensé « pour la découverte de l’interaction du désordre et des fluctuations dans les systèmes physiques, de l’échelle atomique à l’échelle planétaire ». On sait qu’à l’échelle atomique, il est un spécialiste du « boson de Higgs ». Il faudrait approfondir le lien qu’il en fait à l’« échelle planétaire ».
Les deux autres prix Nobel ont été attribués à deux climatologues, Syukuro Manabe, 90 ans, Américain d’origine japonaise, ancien professeur à Princeton, et l’Allemand Klaus Hasselmann, 89 ans, ancien directeur de l’Institut de météorologie Max-Planck, à Hambourg.
Göran Hansson, secrétaire général de l’Académie des sciences suédoise, a indiqué que ce prix récompensait leurs « recherches sur la modélisation physique du climat de la terre et les prévisions fiables du réchauffement climatique ».
On est en droit de s’interroger sur ces mérites. En effet, tous les deux ont été les grands artistes d’introduction  de « flux d’ajustements », dans les modèles numériques quand ceux-ci s’éloignaient des observations. Or, le Giec a reconnu en 1995, sans détours, que  « La nécessité d’introduire des flux de correction est une reconnaissance explicite des insuffisances des composants des modèles climatiques couplés [océan-atmosphère]. »[1] Le même rapport reconnaissait que les flux sont « relativement importants »[2].
On est donc en droit de s’interroger si l’attribution de ces prix Nobel à des nonagénaires, une fois de plus une belle opération de communication pour démontrer que la cause est entendue et qu’il ne faut pas y revenir.
En tout état de cause, un modèle qui s’acharne à ne comparer des observations climatiques que sur 150 ans, ne pourra jamais donner l’explication de la période chaude médiévale, ni du petit âge glaciaire qui a suivi.
Revenons sur ces procédures d’ajustement de flux

Analyse: "Les2ailes.com"

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L'Église, traversée par les fléaux de son temps?

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Publication : 29 avril 2021
Église Klosterkirche Fussen Bavière

Laudato si est une encyclique d’espérance. Malheureusement, elle est souvent mal interprétée par un militantisme chrétien qui en fait une mauvaise lecture, en particulier du 1er paragraphe sur l’état de la maison commune. Le pape explique qu’il se fonde sur le consensus climatique. Mais, le Pape François n’est pas dupe. Il connait les limites des consensus : « Une menace parcourt le monde, écrivait-il en 2013, celle de la "mondialisation de l’uniformité hégémonique" caractérisée par la "pensée unique"». Benoit XVI disait que « le consensus de la majorité devient le dernier mot auquel nous devons obéir. Et ce consensus … peut également être un "consensus du mal" ». … On pourrait ajouter un « "consensus du mensonge" » !
En sciences, en appeler au consensus n’est qu’un argument d’autorité qui n’apporte aucune autorité aux arguments.
Le Pape est d’autant moins dupe qu’il répète deux fois que « l'Église n’a pas à prendre parti sur ces sujets ; j’appelle à un débat honnête et transparent » (Laudato si § 61 et 188). Dans la mesure où l’écologie est un signe des temps, l'Église doit donc s’ouvrir au dialogue contradictoire si elle veut remplir sa mission de discernement. Et comment un débat peut-il être honnête sans être contradictoire et transparent s’il n’est pas public. On ne peut en rester à des discussions d’alcôves.
Faire ce constat n’est pas une remise en cause de l'Église. Elle est notre mère et nul ne peut se passer de sa mère, même si elle n’est pas parfaite. Elle est sainte tout en étant traversée par les fléaux de son temps… comme chacun de nous l'est d’ailleurs. Quels fléaux ?

Analyse « les2ailes.com »

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Les projets de loi-climat dignes de la science prolétarienne de Lyssenko

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Publication : 1 mai 2021

« Je n’ai pas la force, tout petit individu que je suis, de m’opposer à l’énorme machine totalitaire du mensonge, mais je peux au moins faire en sorte de ne pas être un point de passage du mensonge » (Alexandre Soljenitsyne)

A l’approche des élections présidentielles, Emmanuel Macron cherche à se rallier l’électorat écologiste avec deux projets de lois : le projet de loi  n°3875 portant sur « la  lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience » et le projet de loi constitutionnelle n° 3787 qui va transformer la constitution en un traité scientifique !  
Le 11 février 2020 Arte avait diffusé une émission « Le savant, l'imposteur et Staline. Comment nourrir le peuple ? ». Il s’agissait d’une reconstitution historique tragique du botaniste Nikolaï Vavilov (le savant), et la gloire usurpée de son rival Trofim Lyssenko (l’imposteur), reconstitution  résumant de façon saisissante l'obscurantisme et l'arbitraire du régime stalinien. Aujourd’hui, la science avance grâce à de nombreux savants, même s’ils sont des dissidents climatiques, qui s’opposent au Giec imposteur et véritable constructeur de consensus au service d’une science militante, digne de la science prolétarienne de Lyssenko. Aujourd’hui, il ne s’agit pas de « nourrir le peuple », mais de l’affamer, car, ne nous trompons pas : la « décarbonation » de nos économies rendra les pauvres encore plus pauvres.
Que contiennent les deux projets de lois ? Qu’en penser ?

Analyse « les2ailes.com »

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Dette climatique : un concept virtuel ?

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Publication : 15 février 2021

"Ce qui est simple est toujours faux.
Ce qui ne l'est pas est inutilisable"  (Paul Valéry) 

Le thème est à la mode. Dans la bouche des politiques, l’impact émotionnel est important. Pascal Canfin, ministre délégué au développement en 2012, se fixait un objectif : « placer au même niveau dette financière et dette climatique ». Même le Président Macron invoquait le 11 décembre 2018  "le devoir de changer pour tenir compte de l’urgence de notre dette climatique et budgétaire". Il y a un certain paradoxe à voir des politiques s’émouvoir de la dette climatique quand, depuis 45 ans, ils ont laissé filer la dette publique, incapables qu’ils ont été  d’analyser les problèmes et de faire des choix responsables.  Il y a un second paradoxe à souligner : certains politiques évoquent l’impossibilité des générations futures à rembourser la dette Covid et justifient, à ce titre, l'idée d'une annulation de la dette publique. Mais les mêmes auraient honte d’imaginer l’annulation de ladite dette climatique au même motif. Ces paradoxes cachent beaucoup d’idéologies et de démagogie.
Il appartient donc de poser le problème en termes corrects. Qui seraient les créanciers de cette dette climatique ? Comment devrait-elle être remboursée ? Quels sont les filtres idéologiques qui embuent notre regard ?

Réflexion "les2ailes.com"

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  1. La pause du réchauffement climatique de 1998 à 2012 a été réelle
  2. Climat : la "loi de Brandolini"
  3. Quand Gaël Giraud parle de "génocide climatique" et propose Greta comme modèle !
  4. Une avalanche de publications scientifiques contredisant le GIEC !

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