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Chemin d’évangélisation : « Silence et Parole »

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Publication : 9 novembre 2021

"J'aime mieux être homme à paradoxes qu'homme à préjugés"
(Jean-Jacques Rousseau - Emile ou l'éducation, Liv. II)

L’expression « Chemin d’évangélisation » est utilisée par Benoit 16 dans son message pour la 46ème journée mondiale des communications sociales, du dimanche 20 mai 2012. Curieusement, il associe cette expression à deux mots Silence et Parole.
Que dit Benoit 16 ? Il observe que « … l'homme contemporain est souvent bombardé de réponses à des questions qu’il ne s’est jamais posées… [Le silence] peut être bien plus éloquent qu’une réponse hâtive et permettre à qui  s’interroge de descendre au plus profond de lui-même et de s'ouvrir à ce chemin de réponse que Dieu a inscrit dans le cœur de l'homme....  ».
Comment faire silence dans une démarche d’évangélisation  et de pastorale de l'écologie intégrale ?

Réflexion "les2ailes.com" 

 

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"Clameur de la Terre et des Pauvres", ou cri des ONG et agences internationales ?

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Publication : 7 novembre 2021

"Ils sont inconsistants, tous ces gens qui restent dans l’ignorance de Dieu : à partir de ce qu’ils voient de bon, ils n’ont pas été capables de connaître Celui qui est ; en examinant ses œuvres, ils n’ont pas reconnu l’Artisan. C’est le feu, le vent, la brise légère, la ronde des étoiles, la violence des flots, les luminaires du ciel gouvernant le cours du monde, qu’ils ont regardés comme des dieux... S’ils ont poussé la science à un degré tel qu’ils sont capables d’avoir une idée sur le cours éternel des choses, comment n’ont-ils pas découvert plus vite Celui qui en est le Maître ?"
(Sagesse 13,1-9)

Les évêques réunis à Lourdes en novembre 2021, se sont saisis d’une réflexion reprenant la phrase de Laudato si : écouter « la clameur de la terre et la clameur des pauvres », 

Il y a dans ces deux expressions, une magnifique symbolique. Mais comme toute symbolique, elle nécessite une analyse équilibrée si on veut éviter deux confusions :

  • Dans ces deux clameurs, « tout est lié», comme le dit Laudato si. Mais cette relation n’est pas une relation de cause à effet entre notre capacité d'écouter la clameur de la Terre et celle des pauvres. Ce n’est pas une « relation accessoire », comme la qualifient les philosophes. Dans l'expression "tout est lié", il s’agit, disent-ils, d’une « relation essentielle » c'est-à-dire d’une dépendance vitale, en l’occurrence dans Laudato si, de la créature vis-à-vis de son créateur.
  • La création ne peut être considérée comme un simple objet. En effet, comme le dit Laudato si, « toute la réalité contient en son sein une marque proprement trinitaire» (LS § 239), il n’en demeure pas moins que considérer la terre comme un sujet capable de « clamer » son indignation serait risqué.

Essayons de voir en quoi. Nous nous appuierons, à dessein et à plusieurs reprises, sur deux conférences de carême intéressantes, données à Lyon les

  • dimanche 14 mars à 15h30 par le père Bruno-Marie Duffé, ancien secrétaire du dicastère pour le service du développement humain intégral au Vatican, sur le thème : « Écologie et fraternité. Fruit de la terre et du travail des hommes» [1].
  • et dimanche 21 mars 2020 à 15h30 par le Père Michel Raquet, délégué épiscopal à l’écologie, sur le thème: « Se rendre sensible à la clameur de la Terre et des pauvres »[2].

Analyse : les2 ailes.com

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L’ECOLOGIE SUBSIDIAIRE : grande absente de la convention citoyenne pour le climat.

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Publication : 24 juin 2021

Stanislas de Larminat, Agronome et bio-éthicien, auteur de « Climat et si la vérité nous rendait libre », administrateur de l’Institut éthique et politique Montalembert (IEPM) a publié sur Atlantico un article au sujet des des recommandations de la Convention Citoyenne pour le Climat qui démontrent l’urgence de rétablir la subsidiarité au cœur des questions écologiques. Écologie humaine, écologie radicale, écologie environnementale… de quoi ne qualifie-ton pas l’écologie ? Et maintenant, écologie subsidiaire ? Un mot de notre vocabulaire à redécouvrir !
Nous le reprenons ici intégralement.

Source: Atlantico-décryptage du 27 juin 2020

Transcription: les2ailes.com

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Toute la création sera transfigurée

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Publication : 12 août 2021

Cette idée est soulignée par une méditation attentive sur l’icône de la transfiguration[1] de Théophane Le Grec[2].
Cette icône est étirée en hauteur pour créer une impression d'écart entre l'espace du ciel et de la montagne d'une part, et celui de la terre d'autre part. Mais en même temps, grâce à la diffusion de la lumière dans l'espace, cette séparation entre la terre et le ciel est vaincue : de larges surfaces sont imprégnées de cette lumière, depuis la montagne jusqu'aux vêtements des apôtres et à leurs visages[3].
Michel Stavrou, professeur à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge à Paris, et  Sylvie de Vulpillières, enseignante de Nouveau Testament au Centre Sèvres (Faculté Jésuites de Paris)  commentent cette icône : « Les trois rayons trinitaires sanctifient non seulement les disciples, mais les rayons vont aussi sur la montagne. Donc, à travers les disciples, c’est aussi toute la matière qui se trouve sanctifiée. Une des dimensions importantes de la théologie de la transfiguration, c’est l’idée que la matière est appelée à une véritable sanctification. Toute la création est appelée à être glorifiée. C’est une dimension écologique formidable ».


[1] Émission KTO « Prise au Mot » 28.6.2015, minutes 46 :05 à 47 :00 

[2] Galerie Tretiakov à Moscou date du 14° siècle

[3] Évangile de la transfiguration (Marc 9, 2-9).

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Oyez ! Oyez ! Deux grandes nouvelles remettant tout en cause !

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Publication : 30 mai 2021

  • La première grande nouvelle concerne la résurrection du Christ. Par cet évènement, le mal est vaincu ! Définitivement ! Et pourtant, les disciples d’Emmaüs continuaient, le lendemain, à dire « Nous, nous espérions que c’était lui qui allait délivrer Israël » (Luc 24,13-35). Ils le répétaient encore la veille de l’ascension : « Seigneur, est-ce maintenant le temps où tu vas rétablir le royaume pour Israël ? » (Ac 1, 1-11). Aujourd’hui, peut être attendrions-nous l’homme sauveur de la planète qui aurait le courage de se lancer dans une « action urgente» comme le souhaite le  « Mouvement catholique mondial pour le climat »[1]
    Il faut attendre la Pentecôte pour que l’Esprit explique aux disciples qu’« en matière de jugement, ... déjà le prince de ce monde est jugé. ». À nous donc de nous remettre en cause, pour terminer les opérations finales de nettoyage  contre le prince de ce Monde.
  • La seconde grande nouvelle est tombée récemment sur toutes les agences de presse : Le Giec a reconnu sa méprise quant à la cause humaine du réchauffement climatique en particulier parce qu’il ne s’est fondé que sur 150 ans d’observations, rendant impossible toute explication des causes de la période chaude médiévale, du temps où le Groenland était une terre verte, ni à expliquer le petit âge glaciaire, du temps de la Berezina. Le Giec reconnaît que ses calculs de probabilité ne distinguaient pas « explicitement les probabilités objectives et subjectives», car ses modèles n’impliquaient pas « que chaque aspect de la réponse au facteur causal en question soit correctement simulé». Le Giec admet que ses modèles avaient été paramétrés « pour obtenir les propriétés souhaitées ». Cette nouvelle rend justice aux milliers de publications attribuant la période chaude contemporaine à des variations d’activité solaire.
    Heureusement, cette nouvelle n’a pas lieu de remettre en cause nos pastorales écologiques. En effet l'Église, dans Laudato si, avait fait preuve de la prudence élémentaire vis-à-vis des questions temporelles : « l’Église n’a pas la prétention de juger des questions scientifiques …, mais j’invite à un débat honnête et transparent » (Ls § 188).

Que conclure?

Réflexion "les2ailes.com"

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  1. Usage de la création  selon St-Ignace : « Autant que… Pas plus que »
  2. Écologie : Soyons dans la joie !
  3. ALETEIA: Interview de Stanislas de LARMINAT et Fabien REVOL
  4. Réévangéliser l’Europe, sans tomber dans l’esprit mondain ... Témoignage d'un dissident itinérant

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