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La pause du réchauffement climatique de 1998 à 2012 a été réelle

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Publication : 30 octobre 2020

Le GWPF (Global Warming Policy Foundation), cercle britannique de réflexion et d'influence sur le climat fondé en 2009, vient de faire état d’une nouvelle analyse mondiale de la température mondiale de l'air. David Whitehouse, rédacteur scientifique du GWPF a fait état le 23/09/20 de la publication faite par des chercheurs de l'Université de Tongji à Shanghai mettant en lumière le récent hiatus très débattu de la température mondiale. 
Ils ont trouvé une tendance au refroidissement sur la période 1998–2012 qui était significativement différente de celle de l'intervalle 1970–1997 qui se caractérise par un réchauffement important. Ils concluent : « nos résultats fournissent de nouvelles preuves de la récente interruption du réchauffement climatique » et soulignent « le potentiel de l'utilisation des isotopes des précipitations pour suivre les changements climatiques ».

Information "les2ailes.com"

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Climat : la "loi de Brandolini"

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Publication : 27 mai 2020

"Le peuple ne se laisse guider ni par la raison ni par le conseil ; il ne fait aucune distinction entre le bien et le mal; il  apprécie et estime peu de choses selon la vérité, beaucoup de choses selon l'opinion générale;
il est inconstant, facile à être trompé
et à être conduit à tous les excès
"
(Allocution "Quare lacrymae" du pape Pie VI le 13 juin 1793 ")

La "loi de Brandolini", également appelé "principe d’asymétrie des idioties", a été formulé publiquement pour la première fois en janvier 2013 par Alberto Brandolini, un programmeur italien. Il énonce que  « la quantité d'énergie nécessaire pour réfuter des idioties est supérieure …à celle nécessaire à les produire ». Il prétend illustrer que la désinformation a un avantage important, rétablir la vérité étant particulièrement coûteux.
Un corollaire de ce théorème serait que « la quantité de dollars nécessaires pour produire une contrevérité est supérieure aux budgets à disposition de ceux qui sont en mesure de les réfuter et de démontrer l’incohérence d’une allégation consensuelle ». Ce corolaire pourrait s’appeler le principe de Brunelleschi. Pourquoi ?

Analyse "les2ailes.com"

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Une avalanche de publications scientifiques contredisant le GIEC !

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Publication : 9 avril 2020

"Le réel, c'est ce qui résiste". (Hegel)[1]
"Moins l’intelligence adhère au réel,
plus elle rêve de révolution" 
(Raymond Aron) [1bis]

Pourquoi la communauté des chrétiens sensibles à l’écologie ignore-t-elle l'existence de cette accumulation de publications scientifiques contredisant les thèse du Giec? Pourtant,
1- Une étude française avait déjà invalidé en 2016 les conclusions du Giec. 
Son auteur avait d’ailleurs rencontré le président de l’Académie Pontificale des Sciences. Celui-ci avait reconnu, à la suite de cette rencontre, que "l'Académie pontificale des sciences devrait informer le Vatican, y compris le Saint-Père, sur le degré élevé de complexité pour identifier les facteurs spécifiques ayant un fort impact sur notre climat, de sorte qu'à l'heure actuelle, on ignore si et dans quelle mesure une augmentation de la concentration atmosphérique de CO2 provoque l'augmentation observée de la température de notre climat" [1 ter].  Qu’était-il sorti concrètement de cette recommandation, quelques semaines avant la publication de Laudato si? Peut-être simplement l’ajout d’un paragraphe conclusif, à la fin du chapitre sur « l’état de la maison », (Chapitre 1): « l’Église n’a pas la prétention de juger des questions scientifiques …, mais j’invite à un débat honnête et transparent» (§ 188 ).
2- L’absence évidente de consensus
Le Chancelier de l'Académie Pontificale des sciences est probablement le responsable personnel d'une faute professionnelle en ayant laissé passer le § 23 de Laudato si prétendant qu’« il existe un consensus scientifique très solide qui indique que nous sommes en présence d’un réchauffement préoccupant du système climatique …. [dont] la plus grande partie … est due à la grande concentration de gaz à effet de serre ». Toute personne de bonne volonté, soucieuse de vérité, se devrait de suivre l'appel de l'Encyclique à un "débat honnête et transparent". Mais est-il possible d'être honnête sans accepter, au moins personnellement, de prendre conscience:
2.1-des observations  soulignées invalidant les thèses du Giec et démontrant que c'est vers le soleil qu'il faut se tourner pour expliquer la période chaude contemporaine ?
2-2- des centaines d’études publiées en ce sens entre 2016 et 2019 et écrites par des milliers d'auteurs réputés dans les universités des quatre coins du monde ?

L'Église est-elle prête à se laisser bousculer ?
Elle se grandirait à ne pas se laisser aller à une forme de « mondanité » condamnée par le Pape lui-même : « La mondanité signifie utiliser les critères du monde, suivre les critères du monde et choisir selon les critères du monde …[2] " Il existe une menace qui parcourt le monde. C’est celle de la « mondialisation de l’uniformité hégémonique » caractérisée par la « pensée unique[2bis] ». Un peu comme un  antidote à ce virus de la pensée unique, le Pape François dit que, "L'Eglise est appelée à sortir d'elle-même et à aller vers les périphéries» Il y aurait  quelque chose d’indécent à évoquer l’idée que des dissidents climatiques puissent faire partie de ces périphéries vers lesquelles l'Église craint d’aller. Indécent, car quand le pape appelle à rejoindre les périphéries, il pense aux plus pauvres étouffés par des conditions d’existence difficiles, « parfois inhumaines, où l’espérance ne respire pas, étouffe [3]».
Peut-être le dissident aurait-il, pourtant, un message essentiel à transmettre ! L’Eglise est-elle prête à se laisser bousculer en suscitant en son sein des dialogues contradictoires ? Ou au contraire, au nom d’une cause de conversion, certes, indispensable, préfère-t-elle surfer sur le discours de peur ambiant ? Pourtant, la vérité pourrait rendre libre d’aller vers une conversion beaucoup plus profonde, non celle qui passe par des écogestes inefficaces, mais qui conduit à une véritable écologie intégrale.

Analyse : « les2ailes.com »

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Quand Gaël Giraud parle de "génocide climatique" et propose Greta comme modèle !

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Publication : 16 mai 2020

"Il nous semble nécessaire de dire notre complet désaccord
avec ces prophètes de malheur, qui annoncent toujours des catastrophes,
comme si le monde était près de sa fin"
(Pape François, Exhort. Evangelii gaudium § 84)

Gaël Giraud, normalien et docteur es-sciences, entré chez les jésuites après une carrière dans la finance, a été interviewé en sept 2019 sur une radio créée par Génération Afrotopia, un collectif de jeunes de la diaspora africaine. Il était chef économiste à l'Agence Française de Développement (AFD) à l'époque de cette interview. Il est maintenant Président d'honneur de l’Institut Rousseau, "nouveau venu dans la galaxie des think tanks de gauche", comme le qualifie LeMonde.fr, (3 mars 2020). 
Il est intéressant d’écouter ce qu’il propose aux auditeurs africains[1]. Le titre de l’émission était : « Dérèglement ou génocide climatique ? Le front des Communs ». On y découvre les ressorts de sa pensée. Nous en proposons ici la transcription intégrale. En marge, nous commentons en particulier,

  • Son absence de recul face aux discours consensuels du Giec sur le réchauffement climatique, et le modèle de Greta Thumberg qu'il propose à la jeunesse africaine !
  • Son plaidoyer pour un retour des « communs » et une forme de "commonisation" de l’organisation sociale
  • Le catastrophisme qu’il n’arrête pas de décliner sur ce qui risque de nous arriver, en totale contradiction avec la condamnation qu’il fait de toute collapsologie
  • La réforme qu’il souhaite de l’OMC,... analyse que nous partageons en partie.
  • La manière très habile dont il s’appuie sur le Nouveau Testament pour condamner la propriété privée

Dans certaines de ses analyses, suinte une forme de dialectique marxiste  classique articulée autour des concepts de proie et de prédateur.

Transcription "les2ailes.com"

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Le Climat : un « bien commun » au même titre que la pesanteur ?

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Publication : 16 décembre 2019

"Que tous les peuples reconnaissent enfin en l'Eglise
leur unique maison commune" (Benoît XVI [1])

La question parait saugrenue. Le sujet climatique devenant obsessionnel dans les opinions publics, plus personne ne s’interroge sur le sens de cette expression : le climat est-il un « bien commun » ? Oui au sens où la vie ne serait pas apparue si sa mécanique complexe climatique n’était pas ce qu’elle est. Cette mécanique est bonne pour tous.
Malgré tout, un « bien commun » répond à une définition bien précise reconnue par un prix Nobel, P.A. Samuelson, qui veut qu’un bien commun soit « rival et non excluable ». Qu'est-ce que ce jargon anglosaxon? Nous nous proposons de l'expliquer. Il ressort que le climat n’est pas un « bien commun » en ce sens non plus. Des éminents universitaires comme Olivier Weinstein reconnaissent d’ailleurs que  "les caractéristiques des biens ne sont pas des données naturelles". Tout dépend de choix politiques qui peuvent faire glisser un bien d'un statut à un autre. Il faut rappeler en quoi la cause humaine des variations climatiques n’est pas fondée. C’est la gouvernance mondiale qui a fait du climat un bien commun, et non la nature de sa mécanique.
Il n’en demeure pas moins que la question se pose : en quoi écologie et « bien commun » ont-ils partie liée ? Ce lien n’est compréhensible que si on définit le « bien commun » comme la dimension social d’un « bien » au sens moral du terme. Dès lors, les critères de vérité, de beauté, de solidarité, d’espérance, d’accès au spirituel contribuent à l’élaboration du « bien commun ». Si un seul est méprisé par une idéologie ou par une politique, c’est tout le bien commun qui s’effondre. Comment juger les discours écologiques à l’aune de cet éclairage. Tout montre alors que, malheureusement, les discours et nos politiques climatiques ne contribuent pas non plus au « bien commun » !

Analyse « les2ailes.com »

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  1. COP 25 et le climat : Notre père, la terre ?
  2. LE LOUP ET L'AGNEAU SCEPTIQUE
  3. Climat : Madame de Sévigné avait tout compris
  4. Énergie renouvelable : Une insulte faite à l’Afrique !

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