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Plaidoyer pour le rattachement de l’écologie à l’Académie Pontificale pour la Vie

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Publication : 25 juin 2016

L'Eglise est le lieu de Vie par excellence. Sans elle, pas de naissance à la vie, ni nourriture spirituelle, ni transmission de la vie, ni transition, par la mort, vers la vie éternelle! Cette Eglise, par ses faiblesses, laisse la place à nos propres vulnérabilités. Il n'empêche que le souci du bien de l'Eglise peut nous amener à exercer le devoir auquel le concile appelle les laïcs: "dans la mesure de leurs connaissances, de leurs compétences et de leur situation" à user de leur "faculté et même de leur devoir de manifester leur sentiment en ce qui concerne le bien de l’Église" (Lumen Gentium § 37).
C'est dans cet esprit que nous osons dire que, faute d' "avocat du diable" dans le débat scientifique, l'Académie Pontificale des Sciences a canonisé, à tort, la cause humaine du réchauffement climatique.
Or, lors des procès de béatification et de canonisation par l'Église catholique romaine, il y a un promoteur de la justice traditionnellement appelé "avocat du diable". On cherche en vain dans l'Académie Pontificale, qui a joué ce rôle d'avocat du diable, pour l'empêcher d'être scientifiquement correct!
Ce n'est pas la première fois que l'Académie ne joue pas son rôle de conseil auprès du Saint-Siège. Nous rappellerons ici sa position sur la contraception, avant Humanae vItae, et celle qu'il a prise sur le Darwinisme. C'est pourquoi, le conformisme de l'Académie Pontificale des Sciences en matière écologique mérite de se poser cette question: pourquoi ne pas rattacher les questions de théologie de la création, de théorie de l’évolution, d’OGM, de climatologie et d’écosystèmes... à l'Académie Pontificale pour la Vie, présidée par Mgr Paglia?

Commentaire: "les2ailes.com

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Un label "Paroisse Verte"! : Une écologie de la libération ?

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Publication : 24 juin 2016

Le site de l’Église Catholique de France a ouvert la page d’un département piloté par Helena Lasida intitulée "Écologie et société". Il s’agit d’une mission du Service National Famille et Société de la Conférence des évêques de France.  Il annonce la mise en chantier, d’un projet de label «paroisse verte», dont les fiches sont déjà publiées par Pax-Christi,. Un "collectif (sic) Mois de la Création" sera lancé et sera constitué un "réseau (sic) de référents (sic) diocésains à l’écologie», associé à la création des services civiques qui pourraient "aider le travail de sensibilisation (sic) et de mise en place des projets écologiques dans les paroisses...".
Ne retrouve-t-on pas ici le discours appuyant les tactiques classiques d'immersion des mouvements de subversion ?
Dans quelle mesure la théologie de la libération n’est-elle pas en train de renaître avec l’écologie ? Un de ses fondateurs, Leonardo Boff évoquait en 2012 une "Écologie de la Libération" [1].
Un dissident roumain, Radu Portocala en 2003, a analysé les risques d’un retour du communisme sous un autre nom : "l’avenir ne surgit jamais du néant, mais il est une sorte de projection du passé, dont il porte les traces". Il explique que "l’utopie redevient légitime et l’on peut, en son nom, recommencer à organiser l’avenir […] Si un jour le communisme déferle de nouveau sur le monde, son point de départ ne pourra être, cette fois-là, qu’ici, en Occident" [2].
Il ne s’agit pas ici d’ajouter une peur à une autre. L’écologie joue déjà du "catastrophisme éclairé". Ne retombons pas dans la vieille lune qu’était la peur du communisme. Essayons d’analyser paisiblement les choses. Nous partirons de l’instruction "libertatis nuntius" publiée en 1984 par la Congrégation pour la doctrine de la foi. Elle a été très claire sur la théologie de la libération. Le texte mettait en garde sur les « emprunts que nombre de "théologiens de la libération" font à des auteurs marxistes » (LN § VII-6) et sur ce qui a "conduit certains chrétiens...  à se tourner vers ce qu'ils appellent l'analyse marxiste" (LN § VII-1). Peut-on parler de la même manière des emprunts de l’écologie politique au marxisme ? Quels sont les risques de syncrétismes écologiques dans l’Église ?

Source : Instruction "Libertatis nunitius"

Analyse "les2ailes.com"

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Laudato si: commentaire de Mgr Crepaldi

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Publication : 10 février 2016

Le commentaire de Mgr Giampaolo Crepaldi, sur l'encyclique Laudato si, était très attendu puisqu'il a été le secrétaire du Conseil Pontifical Justice et Paix, et, à ce titre, il a été un des principaux auteurs du "Compendium de la Doctrine Sociale de l'Église" qui fait autorité dans l'Eglise sur la doctrine sociale. Nous présentons ici  le texte intégral de la présentation qu'il a faite au "Séminaire de lancement - points clés pour un dialogue social européen", tenu à Malte les 2-3 décembre 2015. L'archevêque Crepaldi est président de la commission Caritas veritate du CECE (Conseil des Conférences Épiscopales de l'Europe).

Outre les regards théologiques avec en particulier le rappel que "le centre est Jésus Christ, par qui tout a été fait (Jn 1:3)", on notera le recul de Mgr Crepaldi sur les "interprétations scientifiques... toujours en cours de discussion". On entend déjà la critique de certains que Mgr Crepaldi appelle "ceux qui ont chanté les éloges de "Laudato si" bien trop à la hâte, espérant ainsi la tirer dans leur système de pensée, pour laquelle elle aurait constitué une sorte de confirmation". Ils seront tentés de dire que Mgr Crepaldi n'y connait rien.
C'est oublier que dans sa position de secrétaire du Conseil Pontifical Justice et Paix, il a été le seul, au Vatican, à organiser, en 2007, une confrontation contradictoire sur la question climatique. Il avait écouté les tenants des thèses scientifiques opposées et avait conclu de façon équilibrée [19]. Même l'Académie Pontificale des Sciences ne s'est jamais donnée la peine d'une telle confrontation, se contentant de faire appel aux seuls proches des thèses du Giec [20]. Mgr Crepaldi a donc très probablement une culture scientifique sur le sujet largement supérieure à tous les commentateurs qui n'ont probablement jamais lu eux-mêmes les rapports du GIEC. 
Mgr Crepaldi clôt aujourd'hui la question par cette évidence: "la perspective de Christ ne va dans aucune école de pensée humaine".

Source: Observatoire Cardinal van Thûan

Transcription "les2ailes.com"

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La confession, oeuvre écologique radicale!

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Publication : 3 avril 2016

La confession est « l’opération écologique la plus radicale que nous puissions accomplir », selon le cardinal Piacenza, pénitencier majeur de l’Église catholique, (en charge des questions relatives à ce sacrement) dans son message de Noël aux confesseurs du monde entier. Il explique, le 22 novembre 2015, que la confession sauve du péché qui est « le polluant le plus meurtrier ».

Ce message intervient alors que vient de s’ouvrir l’Année de la miséricorde au cœur de laquelle le pape François a voulu placer le sacrement de réconciliation.

Source: Radio Vatican, le 24/12/2015 à 14h02

Transcription "les2ailes.com"

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Laudato si: l'eucharistie, sacrement de la création

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Publication : 10 décembre 2015

 Grégory Solari est un essayiste et éditeur suisse, fondateur des éditions Ad Solem, maison d'édition catholique francophone. Il est chargé de cours à l'Institut catholique de Paris (philosophie). Dans un article publié dans la Croix le 23 juin 2015, Grégory Solari commente cette phrase de l'encyclique: "Les Sacrements sont un mode privilégié de la manière dont la nature est assumée par Dieu" . Mais encore faut-il que la célébration eucharistique manifeste cet «acte d’amour cosmique» en quoi consiste le Mystère pascal du Christ. Gregory Solari s'appuie sur un article important du cardinal Robert Sarah, préfet de la congrégation du Culte divin, publié par L’Osservatore romano le 12 juin dernier pour expliquer comment la liturgie doit redonner le sens du lien que la réalité sacramentelle permet d’établir entre Création et Eucharistie.
Nous reprenons ci-après l'intégralité de ces deux textes de G. Solari et du Cardinal Sarah.

Source: La Croix 23 juin 2015

Transcription "les2ailes.com"

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  1. LAUDATO SI : un regard de la Communauté de Saint-Martin
  2. Cardinal Scola : "Le Christ et l’Univers"
  3. Laudato si et la COP21
  4. Le temps, grand oublié de l’écologie !

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