-
Détails
-
Le dialogue décrit dans « Le loup et le chien» est bien proche des échanges entre l’expert et le dissident climatique. Dans la fable « Le loup et l’agneau », le pauvre agneau a tout d’un sceptique face à un loup arrogant.
Dans « le rat de ville et le rat des champs », l’un plaide pour le « zéro phyto », pendant que l’autre propose le « zéro médicament » !
Quant à « L’avantage de la science », on pourrait se demander si notre monde écologique ne croit pas à « l’avantage de l’ignorance ». Et quand « L’astrologue qui se laisse tomber au fond d’un puits », on verrait bien, de la même manière un climatologue s'y laissant tomber et condamné à boire l’eau de son art mensonger.
Mais pourquoi tous ces mensonges, dira-t-on? En jouant de la peur écologique, nos gouvernants mettent leurs citoyens en condition pour demander une gouvernance mondiale, comme les grenouilles qui demandent un roi, un "roi comme ont toutes les nations", dit la Bible. Et ce roi "les croque, les tue, les gobe à son plaisir". Le peuple est comparé à des dindons, dans Le renard et les poulets d'Inde.
Molière pourrait venir au secours de la Fontaine avec ses "Précieuses ridicules" à qui Mascarille explique que "les gens de qualité savent tout sans avoir jamais rien appris”, ou son "Malade imaginaire" dans lequel des écologistes imaginaires se déguisent en Toinette, criant à Argan, déguisé en déesse Gaïa : « Le CO², le CO², vous dis-je ! C’est du CO² que vous êtes malade » ! On attend un nouveau Molière invectivant tous les autres climatologues: « Ignorant, ignorant »! Et nos théologiens en herbe parleraient latin : « Sçavantissimi doctores … Salus, honor et argentum,… En moi satis admirari,… Totus mundus, currens ad nostros remedios,… »
Improvisation « les2ailes.com »
-
Détails
-
"Que de maux et de leurs nous coûteront nos pères" (Le Cid- Corneille)
Le souci écologique répond-il à un enjeu de charité vis-à-vis des générations futures ? La première des charités devrait consister à ne pas les « instrumentaliser ». L’homme, dès le péché originel, est devenu concupiscent c'est-à-dire qu’il veut entrer en possession d’autrui. L’instrumentalisation, en particulier des plus petits, est une manière de les utiliser comme des objets pour répondre à des objectifs personnels, voire idéologiques, qui n’ont rien à voir avec le bien des dites générations futures.
L’actualité du 16 février vient de nous en donner deux exemples avec d’une part l’interview d’un leader du Giec, Jean-Pascal van Ypersele qui se félicite de voir le succès des « marches des jeunes pour le climat » , et d’autre part, le lancement de l’opération « Million dollar Vegan », dont une petite fille de 12 ans est porte parole pour inviter le Pape François à vivre son carême sous la forme d’un régime vegan !
Dans les deux cas, il ne s’agit pas d’initiatives spontanées, mais d’opérations parfaitement orchestrées par des ONG internationales qui veulent créer l’émotion, influencer les adultes pour faire avancer leurs idéologies.
De quoi s’agit-il ? En quoi peut-on élargir le propos au concept même de proxénétisme ?
Commentaires « les2ailes.com »