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Un Climatologue, un jour, se laissa choir, au fond d'un puits de carbone. Nul ne lui dit : « Pauvre bête ! Tel un âne, tu n’as pas su voir, la vérité au-dessus de ta tête ! »
Cette aventure en soi, sans aller plus avant, peut servir de leçon à la plupart des hommes. Parmi ce que de gens sur la terre nous sommes, il en est peu qui fort souvent ne se plaisent d'entendre dire qu'aux taches du Soleil les mortels peuvent lire.
Mais les écrits du Giec, que tous vénèrent, affirmant la cause humaine du réchauffement, nient jusqu’à la Providence ?
Or du hasard il ne serait point de science : s'il en était, on aurait tort de l'appeler hasard, ou fortune, ou sort, toutes choses très incertaines.
Or, les émissions humaines, elles, seraient certaines, et l’ignorance serait au sein de ceux qui n’en croiraient rien !
Notre âne ignorait ce qui vient des étoiles ! Ce que la nuit des temps enferme dans leurs voiles ? À quelle utilité ? Pour exercer l'esprit de ceux qui de la sphère et du globe ont écrit ? Pour nous faire éviter des maux inévitables ? Nous rendre la décroissance incontournable ? Et causant du dégoût pour nos biens détenus, les convertir en maux, nous répète l’ONU ?
Ce serait erreur, ou plutôt crime de le croire : le firmament se meut ; les astres font leur cours, le soleil nous luit tous les jours.
Au fil des siècles, son activité se revêt de taches noires, Sans que nous en puissions autre chose inférer que la nécessité de luire et d'éclairer, d'amener les saisons, et leur douce clémence, de verser sur la terre certaines influences. Du reste, en quoi répond au sort toujours divers ce train toujours égal dont marche l'univers ?
Charlatans, faiseurs d'horoscope, arrêtez vos conférences climatiques en Europe ; Emmenez avec vous les menteurs en même temps. Vous ne méritez pas plus de foi que ces gens.
Je m'emporte un peu trop ; revenons à l'histoire de cet observateur qui fut contraint de boire l’eau de son puits. Outre la vanité de son art mensonger, C'est l'image de ceux qui croient aux chimères cependant qu'ils sont en danger, soit pour eux, soit pour leurs affaires.
D'après La Fontaine
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Un courrier signé par 500 scientifiques et professionnels, dont 40 pour la France, a été adressé le 23 septembre 2019 à António Guterres, secrétaire général des Nations unies, ainsi qu’à Patricia Espinosa Cantellano, secrétaire exécutive de la Convention-cadres des Nations unies sur les changements climatiques.
Lancée par Guus Berkhout, géophysicien professeur émérite à l’université de La Haye (Pays-Bas), cette initiative a été signée par des scientifiques de 25 pays. On notera deux points importants :
D'abord, on ne peut, une fois de plus, parler de consensus. La lettre appelle d'ailleurs l’ONU à organiser début 2020 une réunion de haut niveau, constructive, entre des scientifiques de réputation mondiale des deux côtés du débat sur le climat. Le dialogue contradictoire est toujours source de progrès en science.
Par ailleurs, la lettre souligne que les modèles du Giec sont inadaptés. On notera, parmi les signataires, outre celle de Patrick Moore, canadien co-fondateur de GreenPeace:
- des spécialistes de la modélisation: en France, Philippe de Larminat et Isabelle Rivals; aux Pays-Bas: J.R. Hetzler; au Royaume Uni: Michael Brown; aux Etats-Unis: Waheed Uddin.
- des systémiciens, en France; en Belgique: Henri A. Masson; au Royaume Uni: Roderick Paul Eaton,
- des statisticiens, permettant comprenant la différence entre des "probabilités objectives" parce que calculées et ce que le Giec qualifie de "Probabilité subjective" [2]: en France: Bruno Durieux (ancien ministre de la santé);en Italie: Serena Doria; Aux Pays-Bas: W. J. (Wouter) Keller;
La signature de modélisateurs reconnus vient compléter l'innombrable liste de climatologues, astrophysiciens, chimistes de l'atmosphère, géologues, géographes, etc... Mais ces derniers, indispensables à la compréhension du système climatique, ne peuvent, chacun par leur discipline, apporter la cohérence d'une réponse aux questions posées. Seuls des systémiciens et modélisateurs sont capables de quantifier des relations de causes à effet impactant un système complexe. Seuls, ils peuvent opposer des contre-modélisations à ceux construits par le Giec et d'expliquer les faiblesse des systémiciens du Giec. Ceux-ci, au demeurant, sont très peu nombreux, conduits par Gabriele Hegerl et sa méthode dite de "détection et attribution". Ils n'ont hélas aucun contact avec la Fédération internationale (IFAC) qui regroupe des milliers d'experts en contrôle, automatique et modélisation des systèmes complexes.
Transcription: "les2ailes.com"