• Accueil
  • Contact
  • Qui sommes-nous ?
  • Identification

menu
  • Accueil
  • Blog
  • Nos publications
  • Nos dossiers
  • Offre de conférences
  • Pour les plus jeunes
  • Abonnez-vous
  • Accueil

L’eugénisme va-t-il devenir un droit de l’homme ?

Détails
Publication : 6 avril 2012

Le directeur du Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ) [1], Grégor Puppinck, a fait le point sur le sujet,  le 3 avril 2012 : « La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) est actuellement saisie d’un nombre sans précédent d’affaires relatives à l’avortement. Parce que les principes jurisprudentiels adoptés par cette Cour s’imposent aux 47 Etats membres, les prochains mois seront décisifs pour le respect de la vie et de la dignité humaine. L’ECLJ, qui intervient comme tierce partie dans plusieurs de ces affaires [1bis], souhaite attirer l’attention sur ces affaires très importantes ». Quels sont les cas soumis à la cour les plus symptomatiques?

Source : ZENIT.org - 4 avril 2012

Commentaire  "les2ailes.com"

Lire la suite... Ajouter un commentaire

Naître garçon ou ne pas naître ?

Détails
Publication : 8 mars 2012

 La pyramide démographique mondiale a été déséquilibrée en défaveur du sexe féminin du fait de 100 millions de femmes qui ne sont pas nées pour cause d’avortement. Qu’en est-il ?

Source : L’Osservatore Romano du 2 février 2012

Commentaire "les2ailes.com"

Lire la suite... Ajouter un commentaire

Des enfants victimes du nominalisme !

Détails
Publication : 26 mai 2010

Le 16 décembre 2009, la cour d’assise du Bas-Rhin a acquitté Valérie Goeller, 24 ans, accusée d'infanticide.
L’affaire rappelle celle de Véronique Courjault qui est sortie de prison le 15 mai 2010, seulement 7 mois après sa condamnation pour infanticide de ses trois enfants.
Dans les deux cas, les avocats avaient joué du concept de « déni de grossesse », et le Pr Israël Nisand, avait dit, à ce propos: «Il ne suffit pas d’être enceinte pour attendre un enfant. S’il n’y a pas de parole, il n’y a pas d’enfant, il y a de la tumeur humaine».
Dans ces affaires, il ne s'agit pas de fermer les yeux sur certaines détresses réelles. Mais, à l'inverse il ne faut pas faire preuve d'un obscurantisme conceptuel.
Pourquoi ne pas parler d’enfants « victimes du nominalisme » ?

Source : France3.fr Alsace du 16 décembre 2009
Libération.fr du 17 mai 2010

Commentaire « les2ailes.com »

Lire la suite... Ajouter un commentaire

Viol ou danger sur la vie de la mère: arguments définitifs pour l'IVG ?

Détails
Publication : 27 mai 2010

Ces deux arguments sont mis en avant tout autour du monde pour justifier les lois dépénalisant l’avortement. Si ces arguments ne tenaient pas, que resterait-il pour défendre l’IVG hormis ces « situations de détresse » éminemment subjectives? Or, comment nier que seule une lutte efficace contre des détresses -au demeurant qui peuvent être réelles-  pourrait réduire les tentations d’IVG ? Car on ne répond pas à une détresse en en créant une encore plus grave, celle de la dépression « post-abortive ».

L’actualité récente vient de nous donner des exemples remettant en cause les questions relatives au viol et à la survie de la mère...

Commentaire "les2ailes.com"

Lire la suite... Ajouter un commentaire

Euthanasie : « mon corps m’appartient » ! L’idéo-logique de l’IVG étendue jusqu’à la mort.

Détails
Publication : 16 décembre 2022

"Le regard de la franc-maçonnerie est une boussole"
(François Hollande - 27 février 2017) 

Dans « le figaro » du 15 déc. 2022, Chantal Delsol examine les questions morales et anthropologiques soulevées par le projet de légalisation sur l’euthanasie et le suicide assisté. Elle rappelle que les grecs et les romains justifiaient et même glorifiaient le suicide personnel ou accompagné. Aujourd’hui, dit-elle, « pourquoi refuser le suicide et l’euthanasie si ma vie m’appartient ? … La volonté de l’individu est sacralisée : nous avons l’IVG et nous aurons l’euthanasie ».
Le docteur Jean Fontant, disait sur FR3 le 13 décembre : « Je ne me vois pas soigner une personne et ensuite aller donner la mort dans une autre chambre ». Chantal Delsol s’en fait l’écho en disant : « Le mot médecin a un sens bien précis et ne peut être utilisé pour désigner celui qui tue, mais seulement celui qui soigne. Il ne faudrait pas essayer de nous faire croire, pour sauver les apparences, que « tuer c’est guérir »… Nous ne pouvons sans doute pas empêcher nos sociétés de promouvoir des pratiques qui correspondent à leurs nouvelles croyances, mais nous pouvons au moins voler au secours des mots et des symboles : c’est une affaire de salubrité publique ».
Comme le dit fort bien Philippe Pichot-Bravard : "la dignité de l’individu ne découle plus de sa nature d’être humain mais de l’autonomie de sa volonté propre" (Homme Nouveau n° 1774). La dignité due au corps humain perdra également son sens:  ne restera à l’homme que sa dimension purement matérielle; la volonté propre d'une personne poura  personne sera réduire son corps à un matériau bon pour le compost. Cette pratique interdite en France l'est désormais dans l'état de New-York aux USA (source: Bd Voltaire - 2.1.2023).

Transcription "les2ailes.com"

Lire la suite... Ajouter un commentaire
  1. Euthanasie : Les racines philosophiques du mal
  2. Nous étions CHARLIE ? Eh bien, soyons VINCENT maintenant !
  3. La "sédation profonde et continue" : une dérive euthanasique annoncée
  4. Euthanasie : fin de vie et/ou traumatismes accidentels?

Page 93 sur 134

  • Début
  • Précédent
  • 88
  • 89
  • 90
  • 91
  • 92
  • 93
  • 94
  • 95
  • 96
  • 97
  • Suivant
  • Fin
Back to top