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Euthanasie : Les racines philosophiques du mal

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Publication : 26 octobre 2022

" À force de tout voir on finit par tout supporter... À force de tout supporter on finit par tout tolérer... À force de tout tolérer on finit par tout accepter... À force de tout accepter on finit par tout approuver" (Saint-Augustin)

Délaissant la traditionnelle rhétorique autour de la « mort dans la dignité », le Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE), dans son avis 139 sur les Questions éthiques relatives aux situations de fin de vie : autonomie et solidarité, propose une nouvelle justification « éthique » à l’euthanasie. Gènéthique fait le point avec le philosophe Pascal Jacob[1] sur les implications de cette évolution sémantique.
Nous retranscrivons cette réflexion fondamentale.
 

Source : Généthique

Transcription: "les2ailes.com"

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Nous étions CHARLIE ? Eh bien, soyons VINCENT maintenant !

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Publication : 13 mai 2019

La loi incite à rédiger des « directives anticipées » pour exprimer les volontés médicales d’un malade rendu incapable par son état de santé. Or, l’actualité nous montre que, faute de cette précaution, l'état, les entités sociale, voire le corps médical rêvent de s’arroger une forme d’emprise sur le devenir d'une personne et peut-être demain sur la nôtre même. La justice et même la cour européenne des droits de l'homme, sont devenus complices de ces tentatives. Pourtant le corps humain n’est, par nature,  “appropriable” par personne.
Pour ne pas être le prochain VINCENT, il faut faire savoir publiquement, par milliers, que nous signons des « directives anticipées » personnelles conformes à nos volontés, et au respect de notre dignité. Comment rédiger des directives anticipées ? Le texte ci-dessous finira par s'imposer, même dans l’état de droit actuel. Ces directives se fondent sur des droits éthiques élémentaires qui  ne sont plus pris en compte par les législateurs même quand ils sont exprimés par une majorité de participants aux « grands débats » citoyens.  Ces droits élémentaires relèvent
- du principe de Dignité : la dignité n’est pas proportionnelle aux capacités qu’a ou n’a plus (verbe avoir), mais au simple fait d’être (verbe être) un homme.
- du principe d’Intégrité du corps : personne ne doit pouvoir porter atteinte à l’intégrité de son propre corps, tout consentant serait celui qui demande une mutilation ou une euthanasie. La loi, en quelque sorte, devrait  protéger chacun contre ses propres turpitudes fussent-elles motivées par des situations de désespoir. A fortiori, elle ne doit pas imposer des mesures contraires aux volontés de personnes attachées au principe d’intégrité du corps.
Un consensus national s’était manifesté autour de CHARLIE. Soyons VINCENT maintenant ! Marquons notre résistance en publiant les directives anticipées claires que nous nous engageons à remettre à celui de nos proches qui a notre confiance.

Une lettre ouverte est disponible à la signature sur le site CitizenGo

Lettre ouverte "les2ailes.com"

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Euthanasie : fin de vie et/ou traumatismes accidentels?

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Publication : 14 février 2014

Le 10 février 2014, le docteur François TASSEAU a communiqué au Conseil d'état une prise de position Conseil d’Administration de France Traumatisme Crânien. Il précise certains concepts. Il distingue ce qu'on appelle les "états végétatifs chroniques" et les "états pauci-relationnels" qui correspondent à des états de conscience minimale. Il rappelle que les tétraplégies ne relèvent pas de ces cas.
Le Docteur Tasseau distingue également les services hospitaliers et montrent que "Unités de soins palliatifs" ont pour objectif de soulager les douleurs physiques et aussi de prendre en compte la souffrance psychologique, sociale et spirituelle Elles n'ont  rien à voir avec les "Unités de soins dédiés" correspondant à des besoins spécifiques des patients, par exemple victimes d’une lésion cérébrale grave traumatique.
Quant à l’alimentation et l’hydratation il estime qu'ils font partie, au même titre que les soins d’hygiène et de confort, des soins de base dus à tout patient dont la situation clinique est stabilisée.
Nous communiquons l'intégralité de ce communiqué

Communication "les2ailes.com"

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La "sédation profonde et continue" : une dérive euthanasique annoncée

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Publication : 8 mai 2017

Les Etablissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sont, quoiqu'on en dise, de plus en plus confrontés à des sédations terminales "protocolisées" quasi-systématiques, sans aucune justification symptomatique ni-même anticipation de celles-ci, mais qui répondent bien aux injonctions de la nouvelle loi du 2 février 2016 sur la fin de vie. Une étude très précise,  que l'on doit à Jérôme Sainton, a été publiée en avril 2017, après avis d'un comité de lecture, dans la revue scientifique "Médecine Palliative : Soins de Support - Accompagnement - Éthique" (Volume 16, Issue 2, Pages e39-e40, 59-108). Elle est diffusée par Elsevier.

La conséquence en est une véritable dérive euthanasique réelle et très grave; celle-ci est dénoncée aujourd'hui, non pas par les médecins ni les infirmières, mais principalement par les aides-soignantes. Celles-ci voient disparaître les patients dont elles s'occupent 24h à 48h après la pose de "Pousse seringue électrique" (PSE) perfusant au goutte à goutte un mélange de Morphine et d'Hypnovel sans que ces personnes aient leur mot à dire!!!

Béatrix Paillot explique qu' "une sédation profonde et continue réalisée à 25 mg/jour d’Hypnovel ne provoque pas la mort en soi. Par contre, on provoque la mort de manière certaine si, de manière concomitante, on ne donne pas à la personne les soins ou traitement proportionnés et que son état requiert. Il peut s’agir d’un traitement pour soutenir le cœur que l’on arrête et qui provoque un infarctus. Il peut s’agir d’un défaut d’apport d’eau ou de nutriments que son état d’être vivant requiert... Par exemple, ne pas mettre en place une hydratation artificielle à quelqu’un que l’on endort de manière prolongée, c’est provoquer une euthanasie voulue et certaine, dès lors que l’espérance de vie de la personne malade est de plus de 3 à 5 jours".

Il n'est pas rare que des aides-soignantes d'un EHPAD signalent la mort d'une quinzaine de leurs résidents au cours d'un seul mois, tous décédés au maximum 48h après la pause de ces PSE. Ces Aides soignantes sont aujourd'hui dans une culpabilité et une détresse psychologique majeure.... Elles essaient de dénoncer cette dérive.

source https://authors.elsevier.com/a/1U-ER5q8RA27KN

Transcription: "les2ailes.com"

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Des risques de dérives sur les prélèvements d'organe si l'euthanasie est adoptée

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Publication : 6 mars 2013

A l’occasion du 41ème congrès international de la société de réanimation de langue française, l’office parlementaire des choix scientifiques et technologiques (OPECST), sous l’impulsion de l’Agence de Biomédecine (ABM), a organisé le 7 février 2013 une audition sur le prélèvement d’organes sur donneurs décédés après arrêt cardiaque contrôlé.
La France permet déjà le prélèvement d’organes sur donneurs décédés après arrêt cardiaque non contrôlé, le prélèvement d’organes sur donneurs décédés après arrêt cardiaque contrôlé pose une réelle question éthique.De quoi s'agit-il?

Commentaire "ordinatissima.com"

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  1. Conseil de l'Europe: "l'euthanasie doit toujours être interdite"
  2. La dépendance : risques de dérives d’une nouvelle politique de santé…
  3. Fiducia supplicans : Quelle bénédiction pour les couples en situation irrégulière ?
  4. Le marxisme toujours à l'oeuvre contre la famille

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