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Une étude scientifique française attribue le réchauffement climatique à l’activité solaire (Version française)

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Publication : 4 novembre 2016

 La maison d'édition anglo-néerlandaise Elsevier B.V. a mis en ligne le 25 octobre 2016, un article, intitulé « identification du climat terrestre vs. détection et attribution ». Cette publication, référencée sur le site ScienceDirect, a été revue dans les règles par les pairs du comité de lecture de Annual Reviews in Control (ARC, 2016 1-12), une des sept revues scientifiques de l'IFAC, fédération internationale qui regroupe des milliers d'experts en contrôle, automatique et modélisation des systèmes complexes.L’auteur, le professeur Philippe de Larminat, est un spécialiste reconnu dans ces disciplines. Il a appliqué les techniques éprouvées de l’identification des systèmes dynamiques au climat terrestre, en exploitant des bases de données paléo-climatiques disponibles auprès des grands instituts et organismes internationaux.  Il en résulte que, « avec un niveau de probabilité de 90%, on ne peut pas rejeter l'hypothèse d'une contribution anthropogénique nulle ou insignifiante ». Par ailleurs, « l'hypothèse d'une faible contribution de l'activité solaire doit être rejetée avec un niveau de probabilité supérieur à 90% ».À l’inverse, le Giec, considère comme « extrêmement probable que l'influence de l'homme a été la cause dominante du réchauffement observé depuis le milieu du 20e siècle », ceci sur la base d’une théorie de « Détection et Attribution » explicitement dédiée à l’attribution humaine des récents changements climatiques.
L’article [1] présente et clarifie les origines de ces contradictions.

  • La principale tient aux durées retenues pour les observations climatiques : mille ans pour l’Identification, au maximum cent cinquante ans pour la Détection-Attribution, ce qui élimine ainsi les évènements millénaires de la période chaude médiévale et du petit âge glaciaire, notoirement corrélés à l’activité solaire. « Cela contribue à minimiser la contribution de l’activité solaire », explique l’auteur.
  • La seconde dénonce une confusion entre cause et effet, à propos des événements de type El Niño. On ne peut que s’interroger sur les raisons de cette « erreur méthodologique lourde, qui saute aux yeux de n'importe quel expert en science des systèmes ».

La publication de Philippe de Larminat est-elle de nature à remettre en cause le consensus dominant sur l’origine humaine des changements climatiques, consensus en passe de bouleverser les équilibres économiques mondiaux (COP 21, 22) autant que les repères éthiques (Laudato si) ?  Interrogé sur la possible émergence d’un autre consensus, celui d’une action prépondérante de l’activité solaire sur le climat, l’auteur se limite à rappeler que: « Ni les consensus, ni les votes n'ont de place en science ; seules les preuves importent. A l’argument d’autorité, Descartes opposait l’autorité de l’argument. Or, le consensus n'est qu'une soumission à l'argument d'autorité, le plus faible qui soit ».
Cette publication, dont une bonne partie est accessible même à des non-experts confirme les conclusions déjà avancées par l’auteur dans son précédent ouvrage « Changement climatique - identification et projections » (ISTE/Wiley 2014). 
Nous mettons ci-après la version française de cet article.

Diffusion: les2ailes.com

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Malthus revient avec des « limites planétaires » (1) : le climat ?

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Publication : 4 juillet 2015

La revue Sciences express a publié le 15 janvier 2015, une prétendue étude scientifique intitulée : "Planetary Boundaries: Guiding human development on a changing planet". Dix neuf auteurs y analysent une série de neuf critères justifiant, selon eux, des entraves à l’activité humaine sous forme de "limites planétaires".
Johan Rockström,  un des co-auteurs, a longuement présenté les conclusions au « forum économique mondial » de Davos, les 21-24 janvier 2015. Nul doute que les principaux dirigeants de la planète seront convaincus de l’urgence de mesures de décroissance puisque, selon un des auteurs,  "la civilisation a dépassé quatre des neuf soi-disant limites planétaires".
Cette étude vient à l'appui de l'ONU qui doit adopter les "Objectifs du développement durable" pour les années 2015-2030 et qui a associé "limites planétaires" et population. Elle en a fait son Groupe Thématique n°1  intitulé "Macroéconomie, dynamique des populations, et limites planétaires". Cette association est un aveu évident du malthusianisme qui règne au sein des instances internationales sous couvert de développement durable.
Les2ailes.com proposent une série d’articles, de (1) à (9), reprenant chacune de ces limites pour montrer leur caractère pseudo-scientifique. Un dixième article (10) tirera une conclusion sur l’absurdité même de ce concept de « limites planétaires ».
Ce premier article concerne le changement climatique, considéré comme la première limite de l’étude  « Planetary Boundaries » (PB). Qu’en est-il ?

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Le "trou d’ozone": critique historique et scientifique d’une icône environnementale 

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Publication : 23 janvier 2018

Le protocole de Montréal a été adopté en 1987 et ni les médias, ni les politiques, n'ont profité de son 30ème anniversaire pour en célébrer les mérites, comme s'ils craignaient de relancer un débat scientifique qui n'a jamais eu lieu. Depuis quelques années, des historiens ont entrepris de comprendre comment, malgré cette absence de débat, le trou d’ozone avait pu devenir une véritable icône environnementale. Certes, la période concernée est récente allant des années 1960-70 à aujourd’hui : le travail historique donc périlleux. Par ailleurs, le lecteur de documents historiques doit décrypter la propre posture de l’historien : la plupart d’entre eux participent à cette forme de fascination pour le consensus qui a conduit au fameux Protocole de Montréal ; d’autres, comme Stéphane Frioux (2011), confondent histoire et positions personnelles par exemple en faisant rimer Trente Glorieuses avec « Trente Pollueuses »[1]. La thèse de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales soutenue en 2014 par Régis Briday a le mérite de faciliter l’accès à des sources indispensables, mais d’autres historiens se sont intéressés à ce phénomène comme Paul Edwards (2010), Hélène Guillemot, Heymann (2010) et tant d’autres.
La lecture de ces documents permet de mettre en évidence les disputes scientifiques, le rôle des industriels américains, la prégnance politique américaine et l’effet inhibiteur sur les esprits, pour ne pas dire dévastateur, de l’attribution mythique d’un prix Nobel.
Le trou d’ozone s’étant véritablement ancré dans l’imaginaire collectif des opinions, il est utile de faire une étude critique historique et scientifique du sujet. Il en ressort une absence totale d'identification du système complexe de l'ozone. Les séries d'observations n'étaient pas suffisamment longue quand la cause dite anthropique du "trou d'ozone" s'est ancrée dans les esprits. Il est de plus en plus probable qu'une cause liée à l'activité solaire apparaîtra comme incontournable.

Citation du jour: "C'est une belle théorie, mais contient-elle une vérité ?" (Einstein)

Dossier: "les2ailes.com"

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Climat: A faire froid dans le dos... !

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Publication : 26 janvier 2014

" Aux alentours de 2030-2050, nous serons dans la situation d'un nouveau grand minimum" glaciaire. Il s'agit des conditions climatiques comparables à celles du "petit âge glaciaire" des années 1303 à 1860 et plus particulièrement de celles qu'on appelle le "minimum de Maunder" situé entre 1645 et 1715. C'est ce qu'affirme une étude parue le 1er juillet 2013 dans la revue "Pattern Recognition in physics". L'auteur de cette publication, N.-A. Mörner, explique que le battement planétaire et les cycles qui en découlent sont à l'origine des grandes variations climatiques.
Nous vivons au rythme cadencé d'un tambour cosmique, un battement planétaire avec ses tangages et ses roulis d'orbites. En rétro-calculant les oscillations gravitationnelles du système soleil-planètes et les perturbations de la position du soleil par rapport au centre de masse du système solaire liées aux interactions gravitationnelles et magnétiques, ce paléo-physicien et géo-dynamicien de l'Université de Stockholm montre que les pulsations planétaires sont synchrones à la fois des données astronomiques et des données climatiques.
Sera-t-on obligé, en 2030, comme sous Louis XIV, de débiter le vin des tonneaux à la hache?
Que dit N.-A. Mörner ?

Source: revue "Pattern Recognition in physics"

Commentaire: les2ailes.com

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Malthus revient avec des « limites planétaires » (3) : le trou d'ozone ?

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Publication : 4 juillet 2015

La revue Sciences express a publié le 15 janvier 2015, une prétendue étude scientifique intitulée : "Planetary Boundaries: Guiding human development on a changing planet". Dix neuf auteurs y analysent une série de neuf critères justifiant, selon eux, des entraves à l’activité humaine sous forme de "limites planétaires".
Johan Rockström,  un des co-auteurs, a longuement présenté les conclusions au « forum économique mondial » de Davos, les 21-24 janvier 2015. Nul doute que les principaux dirigeants de la planète seront convaincus de l’urgence de mesures de décroissance puisque, selon un des auteurs,  "la civilisation a dépassé quatre des neuf soi-disant limites planétaires".
Cette étude vient à l'appui de l'ONU qui doit adopter les "Objectifs du développement durable" pour les années 2015-2030 et qui a associé "limites planétaires" et population. Elle en a fait son Groupe Thématique n°1  intitulé "Macroéconomie, dynamique des populations, et limites planétaires". Cette association est un aveu évident du malthusianisme qui règne au sein des instances internationales sous couvert de développement durable.
Les2ailes.com proposent une série d’articles, de (1) à (9), reprenant chacune de ces limites pour montrer leur caractère pseudo-scientifique. Un dixième article (10) tirera une conclusion sur l’absurdité même de ce concept de « limites planétaires ».
Ce troisième article concerne le trou d'ozone, considérée comme la troisième limite de l’étude  « Planetary Boundaries » (PB). Qu’en est-il ?

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  1. Malthus revient avec des « limites planétaires » (9) : les particules fines ?
  2. Biodiversité : que penser des modèles mathématiques d’extinction des espèces?
  3. La biodiversité est compatible avec l’accroissement de la démographie humaine
  4. Malthus revient avec des « limites planétaires » (2) : la biodiversité ?

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