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Malthus revient avec des « limites planétaires » (9) : les particules fines ?

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Publication : 4 juillet 2015

La revue Sciences express a publié le 15 janvier 2015, une prétendue étude scientifique intitulée : "Planetary Boundaries: Guiding human development on a changing planet". Dix neuf auteurs y analysent une série de neuf critères justifiant, selon eux, des entraves à l’activité humaine sous forme de "limites planétaires".
Johan Rockström,  un des co-auteurs, a longuement présenté les conclusions au « forum économique mondial » de Davos, les 21-24 janvier 2015. Nul doute que les principaux dirigeants de la planète seront convaincus de l’urgence de mesures de décroissance puisque, selon un des auteurs,  "la civilisation a dépassé quatre des neuf soi-disant limites planétaires".
Cette étude vient à l'appui de l'ONU qui doit adopter les "Objectifs du développement durable" pour les années 2015-2030 et qui a associé "limites planétaires" et population. Elle en a fait son Groupe Thématique n°1  intitulé "Macroéconomie, dynamique des populations, et limites planétaires". Cette association est un aveu évident du malthusianisme qui règne au sein des instances internationales sous couvert de développement durable.
Les2ailes.com proposent une série d’articles, de (1) à (9), reprenant chacune de ces limites pour montrer leur caractère pseudo-scientifique. Un dixième article (10) tirera une conclusion sur l’absurdité même de ce concept de « limites planétaires ».
Ce neuvième article concerne les nouvelles entités chimiques, considéré comme la neuvième limite de l’étude  « Planetary Boundaries » (PB). Qu’en est-il ?

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Biodiversité : que penser des modèles mathématiques d’extinction des espèces?

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Publication : 30 septembre 2018

Les médias répètent que nous serions face à une « sixième extinction des espèces »[1]. Wikipedia se fonde sur un sondage fait en 1998 auprès de 400 biologistes par le Muséum d'histoire naturelle américain de New-York. Près de 70 % des biologistes interrogés « pensent que nous sommes actuellement au début d'une extinction de masse causée par l'homme ». On est au niveau de ce que « pensent » ces personnes, et non de ce qu’ils auraient démontré. On est au niveau de l’argument d’autorité que représente un consensus. Un consensus n’est pas une preuve.
A croire que les médias contredisent ce que les experts eux-mêmes écrivent puisque l’IPBES, sorte de Giec de la biodiversité mis en place par l’ONU, écrit lui-même que « « l’incertitude associée aux scénarios et aux modèles est souvent mal évaluée dans les études faisant partie de la littérature scientifique … quant au degré de confiance qu’il faut accorder à leurs résultats et à leur prise en compte dans les activités d’évaluation et de prise de décisions » (IPBES- 25.11.2015-  Principale conclusion 3.4).
Il est donc légitime de se demander quels sont les fondements scientifiques de cette allégation catastrophiste d’extinction des espèces ? La situation est-elle comparable à celle des ères géologiques précédentes qui touchaient entre 50 et 80 % des espèces de ces époques ? Quels sont les modèles de simulation planétaire utilisés ?

Comme pour les modèles globaux climatiques,  un modèle doit s’articuler autour de cinq points :
- Faire le choix d’indicateurs
- Observer l’évolution des données, sur la plus longue durée possible
- Définir une structure de modèle à partir de lois scientifiques aussi simples que robustes que possible
- Paramétrer le modèle
- Évaluer a posteriori la validité du modèle, en comparant les résultats avec les observations. Le cas échéant, faire des prévisions, dans le temps et vérifier la réalisation des dites prévisions, dans le temps.
Qu’en est-il pour l’évolution de la biodiversité ? Qu’en pense l’IPBES ?

Analyse « les2ailes.com »

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Malthus revient avec des « limites planétaires » (2) : la biodiversité ?

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Publication : 4 juillet 2015

La revue Sciences express a publié le 15 janvier 2015, une prétendue étude scientifique intitulée : "Planetary Boundaries: Guiding human development on a changing planet". Dix neuf auteurs y analysent une série de neuf critères justifiant, selon eux, des entraves à l’activité humaine sous forme de "limites planétaires".
Johan Rockström,  un des co-auteurs, a longuement présenté les conclusions au « forum économique mondial » de Davos, les 21-24 janvier 2015. Nul doute que les principaux dirigeants de la planète seront convaincus de l’urgence de mesures de décroissance puisque, selon un des auteurs,  "la civilisation a dépassé quatre des neuf soi-disant limites planétaires".
Cette étude vient à l'appui de l'ONU qui doit adopter les "Objectifs du développement durable" pour les années 2015-2030 et qui a associé "limites planétaires" et population. Elle en a fait son Groupe Thématique n°1  intitulé "Macroéconomie, dynamique des populations, et limites planétaires". Cette association est un aveu évident du malthusianisme qui règne au sein des instances internationales sous couvert de développement durable.
Les2ailes.com proposent une série d’articles, de (1) à (9), reprenant chacune de ces limites pour montrer leur caractère pseudo-scientifique. Un dixième article (10) tirera une conclusion sur l’absurdité même de ce concept de « limites planétaires ».
Ce second article concerne la biodiversité, considérée comme la seconde limite de l’étude  « Planetary Boundaries » (PB). Qu’en est-il ?

Commentaires "les2ailes.com"

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La biodiversité est compatible avec l’accroissement de la démographie humaine

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Publication : 9 mars 2017


« La biodiversité n’est pas inversement  proportionnelle à la densité de population» . Ce propos a été tenu par le géographe et démographe français au colloque sur  la biodiversité à l’Académie pontificale des sciences les 27 février et 1er mars 2017. Le thème de ce colloque parlait de lui-même « L’extinction des espèces ». Ce titre avait vocation à attirer tous ce que les organisations et universités  mondiales peuvent compter comme malthusiens. Une seule prise de parole détonnait dans ce concert alarmiste, celle de Gérard- François Dumont qui a affirmé par ailleurs que  « la biodiversité n’est pas un capital fixe.... Même la situation de la biodiversité de l’Afrique au XIX° siècle résultait en réalité de l’héritage des comportements que les populations locales avaient eus au fil des siècles ». Parlant de démographie, sa discipline, il a affirmé que « le concept de population mondiale n’a pas beaucoup de pertinence scientifique». Gérard-François Dumont  a donné plusieurs exemples montrant que l’homme pouvait avoir un facteur positif sur la biodiversité. Faut-il encore deux conditions : que l’homme en ait les moyens et que les décisions soient pris au bon niveau : « Assurer au niveau local, là où elle se pose, la question de la biodiversité suppose de faire reculer la pauvreté... pour que l’homme puisse remplir sa mission consistant, ...il doit disposer de moyens, ce qu’il ne peut guère s’il est trop pauvre ».
Nous donnons ici le texte intégral de son intervention :

Source : Video de l’intervention- Académie Pontificale des Sciences

Transcription : « les2ailes.com »

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Les cheveux de nos têtes blondes : émotions ou épidémiologie ?

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Publication : 13 novembre 2014

 Les médias ont repris en boucle, le 9 novembre 2014,  les résultats d’une étude -qui n’a rien de scientifique- selon laquelle les cheveux de nos enfants apporteraient la preuve de pollutions graves dont seraient victimes nos enfants. En avril 2014, l’ONG écologiste « Générations futures » avait déjà dramatisé autour de résidus phytosanitaires dans les cheveux d’enfants « exposés » à des épandages à proximité des zones de cultures céréalières ou  viticoles. En novembre 2014, c’est le journal JDD qui a commandité une pseudo-étude prétendant que les cheveux des enfants parisiens contiendraient des traces d’hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) causés par les gaz ou particules émis par les carburants automobiles, le chauffage domestique, le goudron des toits et des routes, les incinérateurs de déchets et de la fumée du tabac...
Émotion évidente puisque cela touche nos chères têtes blondes !
Et les médias d’en tirer des conclusions pour exiger des mesures de précaution : interdiction des épandages agricoles à moins de 200 m des habitations, ou circulation des véhicules par jour alternés en fonction des immatriculations dans Paris ! Et s’il est souhaitable d’interdire de fumer sur les trottoirs à proximité des écoles, c’est pour limiter le tabagisme actif des enfants et non pour empêcher  un tabagisme extérieur illusoire.
Le sophisme et la crédulité sont de plus en plus employés comme armes idéologiques et gangrènent notre démocratie.  Ils constituent le moteur d’une société de l’émotion plutôt que de la  réflexion.
Les2ailes.com voudraient montrer, à partir de ces exemples qu’une « allégation santé » ne peut s’appuyer sur des pseudos-études militantes, mais seulement sur de véritables études épidémiologiques.

Source : JDD du 8 novembre 2014

Commentaire "les2ailes.com"

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  1. Après la « subprime crise », une « biodiversity crise » ?
  2. Nagoya: Convention sur la Diversité Biologique
  3. Malthus revient avec des « limites planétaires » (7) : l’eau potable ?
  4. Eau : pas une goutte n'est perdue!

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