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Des exemples de "science militante" !

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Publication : 1 octobre 2013

Le dernier rapport scientifique du Giec (Groupement d’experts intergouvernemental sur le climat) publié le 27 septembre 2013, considère qu’il y a «95% de chances» que le réchauffement climatique soit la conséquence de l’activité humaine. Mais le rapport, dans le même temps, a révisé à la baisse sa fourchette de prévision moyenne d’augmentation des températures compte tenu du fait qu’elles stagnent depuis 15 ans. Tout cela relève d'un charabias et Lord Nigel Lawson, président de la Global Warming Policy Foundation, n'hésite pas à qualifier le GIEC de "groupe de pression politique qui jette le discrédit sur le nom de science".
L'opinion publique, toujours bonne fille, a de la peine à imaginer que des centaines de scientifiques puissent ainsi devenir des militants? Quand il s'agit de climat ou de pesticides, le citoyen sensible aux questions écologiques doute que cela soit possible, tant on lui répète les mêmes discours anxiogènes, d'autant plus quand il s'agit de disciplines complexes.
Avant de commenter ici le rapport du GIEC, "Les2ailes.com" se proposent ici de commencer par prendre un exemple beaucoup plus simple afin de montrer à quel point la science la plus officielle peut manquer délibérément d'objectivité. Il s'agira de celui des causes de la surdité....

Commentaires: les2ailes.com

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Acidification des océans: mise en perspective des annonces catastrophiques

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Publication : 8 août 2017

Une étude publiée en novembre 2015 par Patrick More[1], président du programme Énergie, écologie et prospérité du Centre Exploratoire pour les Politiques Publiques, explique que le terme «acidification des océans» est en soi plutôt trompeur. L'échelle de pH varie de 0 à 14, dans laquelle 7 est neutre, inférieur à 7 est acide et au-dessus de 7 est basique ou alcalin. Le pH des océans du monde varie de 7,5 à 8,3, entièrement dans l'échelle alcaline. Le Dr More est un transfuge de Greenpeace après avoir participé à sa fondation.
Son étude, revue par des pairs anonymes,  se résume en 10 points :

  1. Le concept d'acidification des océans est un phénomène récent qui a entraîné une explosion d'articles de journaux, de rapports médiatiques et de publications alarmistes d'organisations environnementales
  2. De nombreux documents sur l'acidification des océans, dits être causés par la hausse des niveaux anthropiques de CO2 dans l'atmosphère, prédisent que cela aboutira à l'extinction massive des espèces marines qui utilisent la calcification, y compris les coraux, les crustacés et de nombreuses espèces de plancton, et que cela, à son tour, entraînera l'extinction de nombreuses autres espèces marines.
  3. Les hypothèses sur le pH de l'océan pré-industriel commençant vers 1750 et les études de laboratoire ne peuvent pas reproduire de manière adéquate les conditions océaniques naturelles qui sont à la base des prédictions du futur pH des océans.
  4. Les espèces marines calcifiantes ont survécu pendant des millions d'années au cours desquelles le CO2 était à des niveaux beaucoup plus élevés dans l'atmosphère.
  5. Toutes les espèces sont capables de s'adapter aux changements dans leurs environnements. Sur le long terme, l'évolution génétique a permis à toutes les espèces existantes aujourd'hui, et à leurs ancêtres, de survivre à des changements radicaux au cours des millénaires. À court terme, la plasticité phénotypique et la plasticité transgénérationnelle permettent aux espèces de s'adapter aux changements environnementaux de manière relativement rapide.
  6. L'eau de mer a une très grande capacité de tampon qui empêche de grands changements de pH lorsque des acides faibles, tels que l'acide carbonique, ou des bases faibles y sont ajoutés.
  7. Toutes les espèces, y compris les espèces marines calcifiantes, sont capables de contrôler leur chimie interne dans un large éventail de conditions extérieures.
  8. Si les prévisions de réchauffement climatique continuent, les océans deviennent plus chauds et auront tendance à dégager le CO2, compensant dans une certaine mesure la petite pression partielle accrue qui pourrait se produire autrement.
  9. Une analyse de la recherche sur l'effet d'un pH plus acide montre un impact net bénéfique sur la calcification, le métabolisme, la croissance, la fertilité et la survie des espèces marines calcifiantes lorsque le pH est abaissé jusqu'à 0,3 unité, ce qui dépasse ce qui est considéré comme une réduction plausible pendant ce siècle.
  10. Il n'existe aucune preuve à l'appui de l'affirmation selon laquelle les espèces marines les plus calcifiantes disparaîtront en raison des niveaux plus élevés de CO2 dans l'atmosphère et d'un pH plus faible dans les océans.

Quel est le contenu de cette étude ?

Source : Frontier Centre for Public Policy 

Transcription : « les2ailes.com »

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L’empreinte écologique... ou empreinte idéologique sur les consciences ?

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Publication : 3 mars 2017


L’Empreinte écologique (EE) est un indicateur censé mesurer l'empreinte d'une population par rapport à la surface qu'elle utilise. Il prétend mesurer les surfaces alimentaires productives de terres et d'eau nécessaires pour produire les ressources qu'un individu, une population ou une activité consomme et pour absorber les déchets générés, compte tenu des techniques et de la gestion des ressources en vigueur.
Pour l’opinion publique, il s’agit d’un folklore d’ONG en mal de communiquer des concepts alarmistes en calculant
- soit la date à laquelle l’EE des habitants aurait dépassé la Bio-capacité (BC) de la planète. En 1987, elle aurait été dépassée le 19 décembre en 1987. En 2016 la date fatidique serait désormais le 8 août !
- soit le nombre de planètes nécessaire à l’absorption de l’empreinte écologique de la planète. L’espèce humaine aurait eu besoin de 1,6 planètes en 2010 pour assurer ses besoins et de 1,8 planète en 2016 !
Comment sont calculés ces indicateurs? Quels sont leurs fondements scientifiques? Quels sont les enjeux qui les sous-tendent?

Analyse "les2ailes.com"

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Démographie, transition démographique, politique démographique

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Publication : 8 juillet 2017

« Comme la terre me paraît vile quand je regarde le ciel! » (Saint Ignace de Loyola)


Nous reprenons ici l’essentiel de trois articles parus dans le « Lexique des termes ambigus et controversés sur la famille, la vie et les questions éthiques » publié en 2005 par le Conseil Pontifical pour la famille. Leurs auteurs sont le démographe Gérard-François Dumont, académicien pontifical des sciences, et Mgr Michel Schooyans, Académicien pontificale des sciences sociales. Ils permettent de mieux comprendre le concept de « transition démographique » que Mgr Schooyans définit ainsi : c’est le « passage d’une situation démographique caractérisée par une mortalité ET une natalité élevées, à un régime démographique caractérisé par une mortalité ET une natalité basses ».
G.F. Dumont explique que ce concept a induit, malgré son caractère scientifique, le mythe de l'équilibre démographique automatique qui n’a jamais existé et n’existera pas. Mais ce mythe justifie des politiques démographiques coercitives : puisqu'il y aurait un idéal stationnaire à atteindre, et autant vaudrait y parvenir le plus vite possible ! Mgr Schooyans explique que l’ONU est dans cette logique.
La vulgate malthusienne se nourrit dans les discours d’organisations gouvernementales comme l’ONU ou non gouvernementales, et en particulier dans l’écologisme, au nom d’une forme « d’idéologie de la sécurité démographique ».
Enfin, G.F. Dumont montre que « présenter la "démographie" comme homothétique de la pauvreté est une profonde erreur ». La ressource la plus importante d’un pays est son capital humain, ajoute Mgr Schooyans. C'est ce capital qu'il faut restaurer d'urgence étant donné le "crash démographique" vers lequel va le monde. 

Transcription : « les2ailes.com »

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Malthus revient avec des « limites planétaires » (10) : un concept non fondé !

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Publication : 4 juillet 2015

La revue Sciences express a publié le 15 janvier 2015, une prétendue étude scientifique intitulée : "Planetary Boundaries: Guiding human development on a changing planet". Dix neuf auteurs y analysent une série de neuf critères justifiant, selon eux, des entraves à l’activité humaine sous forme de "limites planétaires".
Johan Rockström,  un des co-auteurs, a longuement présenté les conclusions au « forum économique mondial » de Davos, les 21-24 janvier 2015. Nul doute que les principaux dirigeants de la planète seront convaincus de l’urgence de mesures de décroissance puisque, selon un des auteurs,  "la civilisation a dépassé quatre des neuf soi-disant limites planétaires".
Cette étude vient à l'appui de l'ONU qui doit adopter les "Objectifs du développement durable" pour les années 2015-2030 et qui a associé "limites planétaires" et population. Elle en a fait son Groupe Thématique n°1  intitulé "Macroéconomie, dynamique des populations, et limites planétaires". Cette association est un aveu évident du malthusianisme qui règne au sein des instances internationales sous couvert de développement durable.
Les2ailes.com ont proposé une série d’articles, de (1) à (9), reprenant chacune de ces limites pour montrer leur caractère pseudo-scientifique. Ce dixième article (10) tire une conclusion sur l’absurdité même de ce concept de "limites planétaires". Pourquoi ?

Commentaires "les2ailes.com"

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  3. Une monnaie internationale contre les fluctuations du dollar ?
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