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Blockchain  : menaces sur le débat scientifique en écologie ? (1/3)

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Publication : 13 octobre 2019

Internet est mort ! Vive la Blockchain   ! Internet était un système centralisé, basé sur des logiciels conçus par le détenteur des serveurs. La Blockchain  est complètement décentralisée et risque d’échapper à tout contrôle, y compris celui des états.
Cet article veut mettre en perspective ces nouvelles technologies et réfléchir à ce qu’elles impliquent en matière d’écologie. Trois articles sont nécessaires à cette fin :
(1) Qu’est ce que la Blockchain  ? Quels sont ses avantages, ses risques et ses dérives ?
(2) En quoi l’écologie est-elle impliquée ? De nombreuses applications de la Blockchain  ont la prétention d’apporter des solutions à la sauvegarde de la planète. La question se pose concernant la cause humaine des variations climatiques. Elle est considérée comme un acquit de la science. Cet article montre que non ! La Blockchain  peut-elle apporter des solutions en matière de certification du débat scientifique ? La Blockchain  n’a qu’un but : sécuriser des transactions pour ce qu’elles sont. Elle n’est portée par aucun autre système de valeur : ni la vérité, ni la beauté, ni la bonté, ne sont pas de son ressort. Or, beaucoup de transactions se font au mépris de ces valeurs.
(3) Est-ce à dire qu’il faut se soumettre à cette nouvelle tour de Babel ? Comme aime à le dire Bertrand Vergely, le progrès était sensé éradiquer les méfaits de la fatalité. Le progrès serait-il désormais une fatalité à laquelle on ne peut échapper ? Un peu de recul philosophique sera nécessaire dans ce dernier article, surtout pour qui n’a jamais entendu parler de ce mot barbare : la Blockchain  ! 

Dossier: "les2ailes.com"

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Blockchain  : menaces sur le débat scientifique en écologie ? (2/3)

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Publication : 13 octobre 2019

Internet est mort ! Vive la Blockchain  ! Internet était un système centralisé, basé sur des logiciels conçus par le détenteur des serveurs. La Blockchain  est complètement décentralisé et risque d’échapper à tout contrôle, y compris des états.
Cet article voudrait prendre du recul sur ces nouvelles technologies et réfléchir à ce qu’elles impliquent en matière d’écologie. Trois articles sont nécessaires à cette fin.
L’article (1/3) répondait aux questions suivantes :  qu’est ce que la Blockchain  ? Quels sont ses avantages, ses risques et ses dérives ?
(2/3) En quoi l’écologie est-elle impliquée ? De nombreuses applications de la Blockchain  ont la prétention d’apporter des solutions à la sauvegarde de la planète. La question se pose concernant la cause humaine des variations climatiques. Elle est considérée comme un acquit de la science. Cet article montre que non ! La Blockchain  peut-elle apporter des solutions en matière de certification du débat scientifique ? Il semble que non : la Blockchain  n’a qu’un but : sécuriser des transactions pour ce qu’elles sont. Elle n’est portée par aucun autre système de valeur : ni la vérité, ni la beauté, ni la bonté, ne sont pas de son ressort. Or, beaucoup de transactions se font au mépris de ces valeurs.
(3/3) Est-ce à dire qu’il faut se soumettre à cette nouvelle tour de Babel ? Comme aime à le dire Bertrand Vergely, le progrès était sensé éradiquer les méfaits de la fatalité. Le progrès serait-il désormais une fatalité tyrannique à laquelle on ne peut échapper ? Un peu de recul philosophique sera nécessaire dans ce dernier article, surtout pour qui n’a jamais entendu parler de ce mot barbare : la Blockchain  !

Dossier: "les2ailes.com"

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Écologie : la fausse théorie du complot

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Publication : 19 février 2018

La recherche de la vérité est un véritable enjeu. En matière de sciences en particulier, car le consensus n’est pas une preuve scientifique, mais seulement un argument d’autorité. Quand l’autorité des arguments finit par convaincre que ce qui est repris par les autorités économiques, politiques, morales, philosophiques et même religieuses ne font que reprendre le consensus ambiant, l’objection fréquente, est de se demander pourquoi  tant de mensonges ! Y aurait-il un complot ? Entre qui ?
L’idée est ici de montrer l’absurdité de l’idée même de complot. Pourquoi ?
Il devient d’une banalité évidente que les opinions sont ballottées par des enjeux de pouvoirs, qu’ils soient politiques, économiques ou autres. Si un mensonge ne profitait qu’à l’un des acteurs, immédiatement les autres dénonceraient ce mensonge… qui, du fait même, disparaîtrait. En revanche, il est des situations complexes ou les mensonges profitent à tous les acteurs à la fois. chacun réalise que la situation mensongère, le plus souvent associée à la peur, paralyse les opinions publiques qui n’ont plus de ressort pour agir. Dès lors, le champ reste libre pour leurs combats obscurs. Mais ce n’est pas une raison pour penser que tous ces acteurs seraient capables de complicités pour organiser le complot. ils en seraient incapables, tant leurs combats sont violents et contradictoires. On a donc des complices sans complots !

Chacun en reste donc aux suppositions. A qui peuvent profiter les situations de contrevérités écologiques ? Nous en citerons quelques unes :
- A problème mondial, gouvernance mondiale : La fin des états est à organiser
- Face à la démographie croissante des pays du Sud, l’égoïsme du Nord a besoin de justifier de nouveaux modèles qui, en réalité, sont incompatibles avec leurs développements économiques.
- La seule autorité susceptible de troubler ce petit jeu des luttes intestines est l'Église. Le meilleur moyen pour démobiliser les chrétiens est de les faire adorer plusieurs dieux. Ainsi, les chrétiens, « au lieu de rendre un culte au Dieu créateur rendront un culte aux créatures" !
- Dans la crise économique qui voit la croissance patiner, les entreprises se réjouissent de voir les états édicter des normes écologiques pour les imposer aux citoyens. Elles ne peuvent que se réjouir de profiter de cette forme de "consommation obligatoire" qu'ils appellent la "croissance verte". 

Commentaire: "Les2ailes.com"

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Blockchain  : menaces sur le débat scientifique en écologie ? (3/3)

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Publication : 13 octobre 2019

Internet est mort ! Vive la Blockchain  ! Internet était un système centralisé, basé sur des logiciels conçus par le détenteur des serveurs. La Blockchain  est complètement décentralisée et risque d’échapper à tout contrôle, y compris des états.
Cet article voudrait prendre du recul sur ces nouvelles technologies et réfléchir à ce qu’elles impliquent en matière d’écologie. Deux premiers articles ont été nécessaires à cette fin.
(1/3) Qu’est ce que la Blockchain  ? Quels sont ses avantages, ses risques et ses dérives ?
(2/3) En quoi l’écologie est-elle impliquée ? De nombreuses applications de la Blockchain  ont la prétention d’apporter des solutions à la sauvegarde de la planète. La question se pose concernant la cause humaine des variations climatiques. Elle est considérée comme un acquit de la science. Cet article montre que non ! La Blockchain  peut-elle apporter des solutions en matière de certification du débat scientifique ? Il semble que non : la Blockchain  n’a qu’un but : sécuriser des transactions pour ce qu’elles sont. Elle n’est portée par aucun autre système de valeur : ni la vérité, ni la beauté, ni la bonté, ne sont pas de son ressort. Or, beaucoup de transactions se font au mépris de ces valeurs.
(3/3) Reste à réfléchir dans un troisième article : faut-il se soumettre à cette nouvelle tour de Babel ? Comme aime à le dire Bertrand Vergely, le progrès était sensé éradiquer les méfaits de la fatalité. Le progrès serait-il désormais une fatalité à laquelle on ne peut échapper ? Un peu de recul philosophique sera nécessaire dans ce dernier article, surtout pour qui n’a jamais entendu parler de ce mot barbare : la Blockchain  !

Dossier: "les2ailes.com"

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Écologie : Garder la terre extérieure, c’est cultiver sa terre intérieure

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Publication : 11 novembre 2016

L'apparition de Jésus, en jardinier (Jean, 20,11-19), au matin de Pâques et disant à Marie-Madeleine "ne me touche pas", est comme un appel à "cultiver notre terre intérieure". En quoi, est-ce une leçon écologique pour "garder nos terres extérieures"?
- Une première approche est celle de Jésus lui-même: "Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle, celle que vous donnera le Fils de l’homme, lui que Dieu, le Père, a marqué de son sceau" (Jean 6,22-29).  Voilà un appel à travailler notre terre intérieure.
Une seconde approche nous amène à entendre que Dieu a confié la terre à l’homme pour la "cultiver et la garder". Les mouvements écologiques chrétiens, se fondent sur le catastrophisme écologique ambiant pour conclure que l’homme n’a pas "gardé la terre", qu’il a dépassé les limites, l’a surexploitée. Bref, il faudrait procéder à un retour en arrière. Jean-Paul II met en garde: « L'éducation à la responsabilité écologique ... ne peut s'appuyer sur le refus du monde moderne ou le désir vague d'un retour au " paradis perdu " » (Message - journée mondiale de la paix - 1.1.1990- § 13).
- Une troisième approche consiste à remarquer que le mot "garder", en hébreu shamar, a plusieurs sens. Celui d’« être responsable » pourrait sembler pertinent. Mais, concrètement, qu’en conclure ?
- la quatrième approche nous est inspirée par une théologienne orthodoxe, Annick de Souzenelle. Dans son ouvrage « L’Égypte intérieure- ou les dix plaies de l’âme », elle fait de la Genèse une double lecture. Quand « Adam a reçu, dit elle, l’ordre de "garder et cultiver sa terre", il s’agit essentiellement d’un retournement de nos terres intérieures ». Elle montre comment les hébreux, observant les signes des dix plaies d’Égypte, prennent progressivement conscience de ce que signifient ces "terres intérieures".
Cette exégèse est très éclairante pour en tirer une compréhension du sens profond de ce commandement reçu de "cultiver et garder la terre". Celui de participer à la création en entrant en relation avec Dieu, les autres et toute la création. Laudato si le dit : "plus la personne humaine grandit, plus elle mûrit, plus elle se sanctifie à mesure qu’elle entre en relation, ...elle sort d’elle-même pour vivre en communion avec Dieu, avec les autres et avec toutes les créatures".

Ces pages commentent et s'appuient sur l’analyse de Annick de Souzenelle.

Analyse "les2ailes.com"

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