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Appel du Giec à volontaires  scientifiques  (mais politiquement dûment formatés)

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Publication : 5 janvier 2018

Le groupe de travail III du Giec recherchait, avant le 17 décembre 2017, des « personnes hautement motivées à agir en tant que bénévoles scientifiques…  Les postes permettront aux volontaires de s'impliquer dans le processus du GIEC  et pour aider à assurer la qualité et la robustesse d'un rapport  important ».
Les critères sont les suivants : «  avoir un doctorat, une maîtrise ou une étude en cours dans un sujet lié à l'interface entre le changement climatique et la terre ». Mais « les candidats retenus travailleront selon les règles et procédures du Giec ». Or ces procédures prévoient  que « les auteurs sont choisis à partir de listes établies par les gouvernements membres, les organisations observatrices et les bureaux (coprésidents et vice-présidents) du groupe de travail ou de l'équipe spéciale produisant le rapport ». Ce sont là des critères très politiques, militants et restrictifs qui ne laissent aucune place au débat contradictoire avec des auteurs connus pour leurs publications ou travaux conduisant à des conclusions héliocentriques (causes du réchauffement d’origine solaire).
Les procédures de sélection prévoient également des critères socio-économiques « assurant une représentation géographique  appropriée des experts des pays en développement et…  l'équilibre entre les sexes ». L’objectif est louable de vouloir « soutenir la formation de la prochaine génération de scientifiques d'évaluation », mais la compétence scientifique est-elle d’essence géographique ou de genre ? Tous ces critères relèvent plus de la politique que de la science et font partie de procédures d’élaboration de « consensus sociaux ».

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Les grands froids seraient la conséquence du réchauffement ! Complètement farfelu !

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Publication : 1 janvier 2018

Quand Trump a décidé de se retirer des accords de la COP21 sur le climat, il a eu raison.
En revanche, que penser de son tweet posté le 29 décembre disant que dans l’Est des USA, « cela pourrait être le réveillon le plus froid jamais enregistré. Pour s’en protéger, peut-être qu’on pourrait utiliser un peu de ce bon vieux réchauffement climatique contre lequel notre pays, mais uniquement notre pays, s’apprêtait à payer des milliers de milliards de dollars.. Couvrez-vous!" ?  Les médias américains ont raison de dire qu’il y a, dans ce type de discours, confusion entre météorologie (variation de court terme) et climatologie (tendance de long terme). Ils oublient le ton ironique de Trump que n'importe quel américain a parfaitement compris... sauf les écologistes qui n'ont jamais le sens de l'humour.
Mais cette critique s’applique tout autant aux gros titres retenus par les médias qui disent en boucle que  « le réchauffement climatique accentue-t-il les vagues de froid ? », tout en suggérant le contraire : « La prudence reste de mise :  toutes les études scientifiques ne s'accordent pas sur le lien assuré entre le réchauffement climatique et la baisse généralisée des températures » (Europe1 du 28.12.2017)[1]. D'autres travaux doivent être effectués, notamment dans le cadre de la prévision polaire du CNRM qui court de mai 2017 à mai 2019. 
Certes, un réchauffement ponctuel à certains points de la planète peut provoquer une vague de froid à un autre. C’est de la Météo. Mais la climatologie sur le long terme est incapable de prouver des allégations laissant croire que la période chaude contemporaine aurait provoqué des vagues de froids concomitantes plus importantes. Une seule discipline permettrait une telle conclusion : l’identification des systèmes complexes, mais le Giec ne l’a jamais mise en œuvre.

Commentaire : "les2ailes.com"

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Montesquieu était-il climatosceptique ?

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Publication : 29 décembre 2017

Dans son célèbre texte « De l'esclavage des nègres », extrait de « De l'Esprit des Lois », Montesquieu fait, avec ironie, un réquisitoire implacable contre l’esclavage. "Si j’avais à soutenir le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves, voici ce que je dirais...", se proposait-il. Parmi les arguments avancés, Montesquieu disait que "ceux dont il s’agit sont noirs depuis les pieds jusqu’à la tête ; et ils ont le nez si écrasé qu’il est presque impossible de les plaindre" [1] ou bien que "le sucre serait trop cher, si l'on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves"»[2] . 
Le problème, comme l’a bien montré Odile Tobner, agrégée des Lettres dans son essai Du racisme français, c’est que rien ne prouve – hormis l’autorité de MM. Lagarde et Michard – que cette page soit entièrement ironique.
Imaginons que Montesquieu revienne. Que penserait-on de pages qu’il pourrait très bien écrire : « Si j’avais à soutenir le Giec dans ses explications de la cause humaine de la période chaude contemporaine, voici ce que je dirais : de toutes façons, la cause est entendue puisque nous avons reçu mission de "comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d'origine humaine" (Cf: Principes de gouvernance Giec-§ 2). L’effet de l’activité solaire ne peut donc pas être supérieur à l’ "origine humaine" (sic).

Nous donnons dix autres raisons qui nous permettent de répondre à cette question  : Montesquieu serait-il climato-sceptique ? 

Commentaire "les2ailes.com"

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Václav Klaus: "des taux d'actualisation faibles ne protègent pas les générations futures"

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Publication : 1 janvier 2018

Václav Klaus, ancien premier ministre et ancien président de République tchèque. a fait une conférence le 7 décembre 2017 à Paris au Contre-sommet des climato-réalistes appelant à ne pas renoncer « à combattre l’alarmisme climatique. Il n’est jamais trop tard » a-t-il dit. Il fonde son propos sur l’expérience qu’il a acquise de l’époque communiste : « nous avons vécu une situation irrationnelle où la science était à la fois manipulée et détournée ».
Le principal intérêt de son discours réside dans l’analyse économique qu’il fait : « Nous ne pouvons pas admettre les affirmations que choisir un taux d’actualisation très faible protège les intérêts des générations futures, ni que les coûts d’opportunité sont sans importance, au motif que dans le cas particulier du réchauffement global, nous n’aurions pas la liberté de faire des choix ».
Dans le débat sur la question climatique, ce type d’analyse économique est peu développé.
Nous transcrivons ci-dessous l'essentiel du discours de Václav Klaus:

Source : Blog « Mythes, Mancies et Mathématiques » 15 décembre 2017

Transcription: "les2ailes.com"

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Le rayonnement cosmique agirait fortement sur le climat

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Publication : 28 décembre 2017

Science et vie.com a fait état le 27.12.2017 d’une découverte : "Le rayonnement cosmique agirait fortement sur le climat". C’est ce qui ressortirait d’une étude théorique et expérimentale publiée, le 19 décembre 2017 dans la revue Nature, par quatre chercheurs dont Henrik Svensmark, célèbre physicien de l’ Institut national de l'espace à l’Université technique du Danemark.
L'atmosphère terrestre reçoit en permanence des rayons cosmiques, c’est à dire des particules chargées (électrons, ions) venant notamment du Soleil ou de supernovæ proches et qui n'ont pu être détournées par les champs magnétiques solaire puis terrestre. Ces particules très énergétiques interagissent avec les molécules atmosphériques, en particulier les molécules de vapeur d’eau et, donc, influencent le climat. Ce processus peut, selon les auteurs, aller jusqu'à augmenter la couverture nuageuse de 50%.
Science et vie imagine que cette découverte « devrait être intégrée aux modèles climatiques ».
Il s’agit d’un vœu pieux pour plusieurs raisons.
- D’abord, parce que les auteurs de cette publication n’en sont pas à leur première publication sur ce sujet. Depuis plusieurs années, ils ont mené des expériences y compris avec le projet dénommé Cloud en utilisant, en 2014, les installations du CERN, plus modernes, c’est le moins qu’on puisse dire, que les « chambres à brouillard », que  le physicien écossais Wilson avait inventées en 1911.
- Malgré tout, le Giec a toujours refusé de prendre en compte ce mécanisme au sérieux. Comment en serait-il autrement puisque le Giec utilise des modèles de « planètes numériques » si complexes que ne sont retenus, dans les calculs, que "des conditions de ciel clair et libres d’aérosols; l'introduction de nuages compliquerait grandement les objectifs de la recherche" (Giec WGI-AR5_WGI 8.3.1) ?
- H. Svensmark a même lié ce phénomène au "petit âge glaciaire" qu'a connu la Terre à partir de Louis XIV à la Beresina, suite à un changement de l'activité du Soleil. Mais le Giec refuse de chercher à expliquer ces phénomènes puisqu’il limite ses observations aux seules 150 dernières années (Giec AR5, Chap. 10,  Fig. 10.1, p. 107) !
- Par ailleurs, le Giec parle d’une probabilité de 95% que le réchauffement soit d’origine humaine, et ajoute qu’il s’agit d’une probabilité non calculée et subjective et que « les probabilités "Objectives" et "Subjectives" ne sont pas toujours explicitement distinguées » (Giec AR5 GT2, § 2.6.2)
- Ne parlons pas, enfin, du mépris du Giec sur la qualité de ses modèles puisqu'il estime que la méthode qu'il applique, la "Détection (d’un effet température) / Attribution (à une cause)", « n’exige ni n’implique que chaque aspect de la réponse au facteur causal en question soit correctement simulé » (Giec- AR5- chap2.1) ? Autrement dit, peu importe que les modèles du Giec soient bien simulés. Ce qui importe c’est de  remplir sa mission qui est de "comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d'origine humaine" (Cf: Principes de gouvernance Giec-§ 2). Exclut-il, a priori, l’effet de l’activité solaire en se limitant à l’origine humaine (sic) ? 

Aussi intéressants que soit cette "étude théorique et expérimentale" menée par H. Svensmark et autres, il reste qu’elle n’a pas pour objet de quantifier les relations de cause à effet entre les différentes causes possibles de la période chaude contemporaine. Seule des études d’ "identification des systèmes complexes" permettent cette quantification. Or, un des meilleurs praticiens de cette discipline a conclu en 2016 que c’est vers le soleil qu’il faut se tourner pour expliquer la période chaude contemporaine. On savait que le bilan radiatif solaire n’est pas suffisant pour cela. De l’intérêt de découvrir de nouveaux mécanismes explicatifs comme celui du rôle du magnétisme solaire sur les rayons cosmiques ! 
Nous donnons ci-après une traduction de l’étude de H. Svensmark

Source : Nature.com du 19 décembre 2017

Transcription "les2ailes.com"

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  1. Lettre ouverte au 1er ministre des îles FIdji : de la science fiction?
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  3. Pour 80 économistes (ou 80 militants ?) : "Pas un euro de plus" dans l’ économie carbonée
  4. Manifeste des 15.000 scientifiques: Fausse alerte!

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