• Accueil
  • Contact
  • Qui sommes-nous ?
  • Identification

menu
  • Accueil
  • Blog
  • Nos publications
  • Nos dossiers
  • Offre de conférences
  • Pour les plus jeunes
  • Abonnez-vous
  • Accueil

Nicolas Hulot en appelle au tribunal de Zeus !

Détails
Publication : 5 juin 2017

Le 31 mars 2017, en réaction à la décision du président américain de mettre fin au Clean Power Plan de Barack Obama, Nicolas Hulot a lancé sur Twitter: « Ce que fait Donald Trump contre le climat sera sanctionné par l’histoire comme crime contre l’humanité » !
Un « crime contre l'humanité » est une incrimination créée en 1945 dans le statut du Tribunal militaire de Nuremberg, établi par la Charte de Londres.
Mais où est le criminel ? Le soleil ? Puisque les preuves se multiplient qu’il faut se tourner vers le soleil pour trouver les causes de la période chaude contemporaine.
Mais également, où sont les morts victimes? Même le Giec reconnait que ni les typhons, ni les sécheresses, ni les inondations ne sont causés par le réchauffement climatique.
Aujourd'hui, le soleil se joue de nous comme Apollon jouait de la lyre. Les grecs l'assimilaient à Helios; il fut convoqué au tribunal de Zeus ! Nicolas Hulot se prend pour Zeus ! Il convoque le soleil au tribunal de Nuremberg.

Analyse: "les2ailes.com"

Lire la suite... Ajouter un commentaire

L’Europe s’enferme dans son déni des réalités climatiques et s’isole entre Poutine, Trump et les Chinois!

Détails
Publication : 2 juin 2017

Le président Poutine a réagi calmement à l’annonce de D. Trump de sortir de l’accord de la COP21. Il s’exprimait, le 2 juin, en public lors du Forum économique de Saint-Pétersbourg. En marge de ce forum, les principales agences de presse mondiales se sont réunies, avec un thème de réflexion : « Vraie ou fausse information:  défis pour le monde d’information contemporain » ! Tout un programme au moment où les agences relaient en permanence de fausses informations scientifiques sur le climat ! [NB: On notera que l'Agence France Presse n'était pas invitée. La Russie n’avait probablement pas envie de voir des propagandistes autour de la table, mais des journalistes].
Pour se faire un jugement, il faut mieux lire, intégralement, les déclarations  du Président Poutine plutôt que les résumés d’agence.
La réaction de V. Poutine, le 2 juin, est totalement en ligne avec ce qu’il avait dit le 30 mars 2017, le lendemain de la nomination du climato-sceptique Scott Pruitt à la tête de l’EPA (Agence américaine de la Protection de l’Environnement).

Dans les deux déclarations, le président Poutine a utilisé la même recette, mélangeant un zest de scepticisme à une grosse dose de diplomatie :
- scepticisme sur la cause humaine du changement climatique.
Lors du lors du Forum sur l’Arctique à Arkhanguelsk, en mars, il prouvait, détails à l’appui, que le réchauffement climatique avait commencé avant les années 1930 et que la glace autour de l’archipel des Îles François-Joseph avait été dramatique à cette époque : « En 1930, on n’avait pas d’émissions CO2 ; ce n’est pas un effet provoqué par l’homme; le réchauffement était déjà là ».  A St-Petersbourg, le lendemain du discours de D. Trump, il plaisantait en indiquant que « dans notre pays, on ne sent pas très bien cette croissance de la température »   
- Une ligne diplomatique appelant à renégocier l’accord de Paris.
À Arkhanguelsk, Poutine avait déjà dit que, « pour la COP21, il faudra un compromis ». Il l’a répété le 2 juin à St-Petersbourg, comprenant que D. Trump  « ne renonce pas à la nécessité de travailler sur cet accord. Donc, peut-être  doit-on diminuer le bruit autour de ce problème ». Cette insistance à parler de négociation explique probablement pourquoi, en marge du Forum international de Saint-Pétersbourg, le ministre russe de l’Environnement, Sergueï Donskoï, a d’ailleurs déclaré que « la Russie projette de ratifier l'accord de Paris d'ici 2020, mais la décision finale sur la ratification ne sera prise pas avant janvier 2019 ». La ratification par la Russie n’est donc pas pour demain. Mais, de cela, la presse ne parle pas.

Quant aux chinois, c’est par le “Quotidien du Peuple” qu’on apprend que “la NASA a révélé que les gains de masse de la couche de glace de l’Antarctique sont suffisants pour compenser les pertes croissantes des glaciers de la région”!

Il n’y a donc pas une grande divergence de position entre la Russie, les États-Unis: pour des raisons de politique interne, l'un sort de la COP21 et l'autre ne le ratifie pas. La Chine n'est pas dupe et, pour des raisons politiques, plaide pour des quotas de CO2 par habitant qui obligeront ses concurrents à délocaliser les industries émettrices de CO2 vers la Chine.
Pendant ce temps là, Macron s'agite et l’Europe est la seule à faire du zèle pour défendre un accord totalement inefficace puisque sans fondement scientifique, que les preuves s'accumulent qu'il faut se tourner vers le soleil pour comprendre la période chaude contemporaine. L'Europe sera-t-elle la seule à suivre une stratégie ruineuse pour son économie?

Nous donnons, ici, l’intégralité des discours de Vladimir Poutine, à rapprocher de celui de D. Trump du 1er juin 2017.

Sources : Interview du président Poutine 2 juin 2017 et Interview du Président Poutine du 30 mars 2017

Transcription: "les2ailes.com"

Lire la suite... Ajouter un commentaire

Le climat, la pesanteur, les marées,... et le "bien commun"?

Détails
Publication : 21 mai 2017

Peut-on dire que « le climat est un bien commun » ? C’est ce qui est écrit dans Laudato si (§23) ! Or, construire le "bien commun" se conjugue à la 1ère personne du pluriel, "Nous". Le climat dépend-il de nous ? L’identification des systèmes complexes montre que non : le soleil constitue l'essentiel de la cause explicative de la période chaude contemporaine.
Ce n’est pas parce que le climat tempéré de notre planète (18° en moyenne) est un facteur favorable à la vie que c’est un « bien commun », défini comme étant la « dimension sociale du bien moral ».
Il existe en effet d’autres facteurs favorables au développement de la vie, comme la pesanteur ou les marées. Imagine-t-on que l’homme puisse modifier la valeur de la pesanteur ou la force des marées ? Et pourtant, que deviendrait-on sans pesanteur ? Il n’y aurait pas de climat sans pesanteur ! L’eau ne serait pas brassée sur toute la planète sans les marées : sans elles, l’eau se concentrerait en un seul lieu[1]. Peut-on donc dire, à ce titre, que la pesanteur ou les marées relèvent du « bien commun » ? A l’évidence non, car on ressent bien que le « bien commun », dépasse ce qui est utile à chaque homme.
Le bien commun (au singulier) commence quand on peut dire « Nous », alors que les biens universels (au pluriel) sont indispensables pour que « Je » vive. Les biens universels relèvent de l’addition des biens nécessaires aux besoins de chacun , l'accès à l'eau, au logement, au travail... : s’il en manque un il faut l’ajouter. Le bien commun relève de la multiplication. S’il manque un de « nous » pour le construire, tout s’effondre. Il faut le rebâtir en commun.

Faut-il attendre un éclairage pour comprendre ce point de Laudato si ? 

Commentaire: "les2ailes.com"

Lire la suite... Ajouter un commentaire

Climat : Donald Trump veut renégocier l’accord de la COP21

Détails
Publication : 1 juin 2017

Les médias ne nous ont pas résumé objectivement la conférence de presse du 1er juin 2017 du président Trump. Il faut l’écouter en intégralité. Certes, il a annoncé le retrait des USA de l’accord, mais il a annoncé, à huit reprises, que les USA « ouvriront des négociations », mettront « en place de nouvelles transactions », « reprendront les négociations », renégocieront leur « retour dans les accords de Paris », négocieront « un tout nouvel accord ». « Nous allons retourner dans l’accord pour le renégocier...  je renégocierai les accords », a-t-il conclut, avec le souci de « chercher un nouvel accord qui protégera l’environnement ».

Parmi les motifs de retrait invoqués, il y a, certes, celui de relancer la productivité américaine avec des réserves d’énergies bon marché. Est-ce un reproche à lui faire, tant les preuves se multiplient que la période chaude contemporaine est à rechercher du côté du soleil?
D’ailleurs,  D. Trump a évoqué l’inefficacité de l’accord de Paris : « Avec le respect total de tous les pays, cela ne jouerait que sur 2 dixièmes d’un degré ». Certes, le lieu ne se prêtait pas à un discours scientifique, mais ce serait oublier que la chambre des représentants a eu l’occasion, le 29 mars 2017, d’organiser un débat contradictoire. On aimerait que les démocraties européennes, si promptes à critiquer D. Trump, organisent de tels débats avec honnêteté et transparence.

Concernant un autre aspect de la question, nos démocraties européennes ne voient pas le piège de l’alibi climatique : « à problème global,  gouvernance mondiale ». Des accords comme ceux de la COP21 font le jeu d’une gouvernance mondiale de plus en plus envahissante. D. Trump n’est pas dupe : « le cadre de l’accord de Paris n’est qu’un point de départ. ... Ce n’est pas un point final. ...La sortie de cet accord protégera les États-Unis de futures intrusions étrangères dans la souveraineté américaine et empêchera de nombreux problèmes juridiques ».

Est-ce à dire que les USA ne sont pas sensibles aux questions environnementales ? Tout observateur sait que les pays les plus pollueurs sont les pays les moins développés. D. Trump l’a rappelé : « Les États-Unis, sous l’administration Trump continueront à être le pays le plus propre et le plus écologique de la planète : le pays le plus propre, le moins polluant, l’air le plus propre, l’eau la plus propre. Nous serons un pays véritablement écologique... L’Amérique reste le leader sur les questions environnementales, mais dans un cadre qui soit juste et équitable et où les charges et les responsabilités soient équitablement partagées entre les nombreuses nations du monde entier ». Force est de reconnaître que c’est exact dès lors qu’on ne retient pas le CO2 comme une pollution.

C'est pour cela, et c'est là que le bât blesse, D. Trump ne peut parler de "cadre juste et équitable" ou de "responsabilité entre les nations du monde entier", sans parler du cadre monétaire et commercial. L'Europe n'est pas mieux à ce sujet. En plaidant pour la baisse des frais de douanes, c'est tout l'occident qui empêche les plus pauvres de se protéger contre les importations du Nord. Les agricultures du Sud -et donc de leur environnement écologique- sont les grandes victimes de l'organisation mondiale du commerce imposée par le Nord.

Nous reprenons ici l’intégralité de l’intervention du Président Trump.

Source : Francetvinfo

Transcription "les2ailes.com"

Lire la suite... Ajouter un commentaire

Débat scientifique à la Chambre des représentants des USA

Détails
Publication : 11 mai 2017

Les discours de Donald Trump sur le climat sont volontiers ridiculisés par les médias européens. Mais personne n’a fait état d’auditions d’experts très sérieuses qui ont été menées devant la Commission « Science, Espace et Technologie » de la Chambre des représentants, le 29 mars 2017.
On rêverait pourtant que soit organisées, devant le parlement français, des auditions de cette qualité, à la fois publiques et contradictoires.
On a donc tort de considérer comme impulsive les décisions de Donald Trump de relancer la production de combustibles fossiles et d’avoir nommé un « climato-sceptique » à la tête de l'Agence de protection de l'environnement.
Que s’est-il dit à Washington ? Nous résumons ici et transcrivons intégralement ces interventions pour montrer que la stratégie des USA, certes intéressée, n’est probablement pas dénuée de fondements scientifiques. 

Source : Site de la Chambre des représentants - 29 mars 2017

Commentaires « les2ailes.com »

Lire la suite... Ajouter un commentaire
  1. Les peintres du XVII° témoins de la mini-glaciation
  2. Les « saints de glace » sont de plus en plus froids... n'en déplaise à la météo militante allemande
  3. Climat : Trump et les évêques américains
  4. 2016 un record de température ? FAUX disent les relevés par Satellite

Page 17 sur 134

  • Début
  • Précédent
  • 12
  • 13
  • 14
  • 15
  • 16
  • 17
  • 18
  • 19
  • 20
  • 21
  • Suivant
  • Fin
Back to top