Contre les assauts des politiques,
Les sceptiques, à des dindons, servaient de citadelle.
Les perfides, ayant fait le tour de la question climatique
Et tentés de convaincre chacun de plus belle,
S’écrièrent : Quoi ces gens, du Giec se moqueront !
Eux seuls seront exempts des normes que nous édictons !
Non, par tous les Dieux, non ! Ils perfectionnent leurs dire.

Le soleil, dans ses cycles, semblait contre les experts,
Vouloir ébranler la dindonnière mondiale.
Eux, qui ne tenaient leur statut d’expert que du consensus,
Eurent recours à leur sac de ruses scélérates,
Feignirent vouloir convaincre avec des arguments d’autorité.
Ils prédirent la mort, mais, aussi le salut par leur programme.
               Harlequin (2) n'eût exécuté
               Tant de différents personnages.
Le Giec éditait ses rapports, les faisaient briller dans les médias
              Et cent mille autres angoisses
Pendant quoi, nul Dindon n’augmenta ses émissions carbonées
L’ennemi, leur assainait en répétant chaque jour,
Le même risque existant toujours.
Les pauvres gens étant à la longue hypnotisés.
Toujours, il en tombait quelqu’un : autant de pris!
Près de la moitié succombe ; Autant de soumis !
Les politiques les portent vers leurs intérêts

Le trop d’attention qu’on a pour le danger
Fait le plus souvent qu’on y tombe

D'après La Fontaine [1]

« Quand les pays pauvres ont besoin d’investissements et de nourriture, on leur donne des panneaux solaires. C’est immoral » (Bjorn Lomborg

La véritable transition énergétique se mettra en place naturellement. L’homme a toujours su progressivement remplacer le travail manuel, par la combustion du bois, de la tourbe, ou encore aujourd’hui en Afrique, de la bouse de vache séchée, puis la traction animale, le charbon et le pétrole. Par quoi seront remplacées les usages fossiles ? La grande peur du CO2 est mauvaise conseillère et conduit les politiques sur des voies partisanes, partielles et budgétivores.
Il faut se pencher sur l’histoire des grandes transitions énergétiques pour comprendre que les transitions fondées sur des innovations technologiques deviendront la norme du marché. Celles menées à marche forcée par des normes seront rapidement rejetées par le marché. Il est des transitions qui ne sont que des ponts lancés sur le vide ! Il est intéressant, à cet égard de lire les contrats signés entre l’état et une trentaine des entreprises françaises les plus émettrices de CO2. Il ne s’agit que d’une grande opération de communication qui restera sans lendemain !

Analyse : « les2ailes.com »

La revue à comité de lecture Earth & Environnemental Science Reserach & Reviews a mis en ligne, le 10 mai 2024, un article intitulé « Refondation des concepts de rétroaction climatique et de forçage radiatifs à partir d’un modèle de complexité minimale ». L’auteur, le professeur Philippe de Larminat, est un expert en identification des systèmes dynamiques, autrement dit de la modélisation des processus à partir de leur comportement observé.

Il avait déjà publié, en 2016, un article sur une telle identification du système climatique, dans lequel les simulations, à partir de différents modèles identifiés, montraient que l’activité solaire pourrait jouer un rôle prépondérant dans le réchauffement actuel, tandis que celui de l’activité humaine pourrait être insignifiant. Ceci était en contradiction avec une origine humaine que le GIEC considère comme extrêmement probable dans ses derniers rapports d’évaluation. 

Dans une autre étude publiée le 16 mars 2023 dans Earth & Environnemental Science Research & Revew et intitulée « Des modèles climatiques comportementaux et des données millénaires à la réévaluation du réchauffement climatique anthropique (AGW) », l’auteur avait approfondi les raisons d’une telle divergence entre les différents modèles. Elle tient essentiellement aux données climatiques retenues pour l’identification.

Dans sa nouvelle étude du 10 mai 2024, Philippe de Larminat confirme sa précédente étude tout en proposant une nouvelle approche basée sur « le développement d’un modèle de complexité minimale (MCM) », là où les modèles physiques complexes sont un des piliers du Giec. 

Source: Version anglaise et Version française
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Information: "Les2ailes.com"

Un auditoire, acquit au thèses scientifiques consensuelles du Giec, peut écouter un raisonnement contradictoire et changer d’avis. Mais ensuite, il est toujours amené à s’interroger : Le Giec est-il conscient de ses erreurs ? Si oui, pourquoi une telle tromperie ? Est-ce une volonté délibérée ? Le Giec est-il guidé par une idéologie malthusienne ?
En se posant de telles questions, on court le risque de faire au Giec un procès d’intention, et, en tous les cas, de se faire taxer de complotisme ? Est-il iconoclaste de s’interroger :  Quels sont les fondements de la pensée de Malthus (1766-1834)? Retrouve-t-on, dans les solutions proposées par le Giec, les mêmes raisonnements que ceux de Malthus ? Encore faut-il les connaître ! Cet article s’emploie à en rester aux faits, et seulement aux faits, en validant toutes les assertions auprès du site d’intelligence artificielle ChatGPT, source qu’on ne peut accuser d’être « complotiste ».

Analyse: Les2ailes.com

"Les chrétiens sont nés pour le combat.
Or, plus la lutte est ardente,
plus, avec l'aide de Dieu, il faut compter sur la victoire "
. 
(Pape Léon XIII - Encyclique Sapientae Christianae - § 21- -1890)

John Clauser, Prix Nobel 2022 de Physique, s'est rendu à Baltimore mardi 14 novembre 2023, pour prendre la parole lors d'une conférence de presse sur le climat, organisée par la Deposit of Faith Coalition. Il a commencé sa présentation par l'exclamation : « Même si cela peut contrarier de nombreuses personnes, mon message est que la planète n'est pas en péril. Je pense que c'est une bonne nouvelle. Je crois qu'il n'y a pas de crise climatique ».
Clauser a continué : « Le CO2 et le méthane atmosphériques présumés ont un effet négligeable sur le climat. Les politiques mises en œuvre … sont totalement inutiles et devraient être éliminées, et des milliards de dollars pourraient être économisés ».
Le Dr Clauser a souligné son désaccord avec les 40 modèles informatiques du Giec.
"J'affirme que les modèles informatiques du GIEC ont tous mal identifié le processus dominant qui contrôle le climat terrestre. Ils sont basés sur une physique incomplète et incorrecte", a-t-il ajouté.