Les pics de pollution, annoncés à Paris en décembre 2016 sont-ils une réalité ? Ou bien, les hommes politiques cherchent-ils à séduire leurs électeurs par des décisions prises pour limiter la circulation, des leurres qui calmeraient leurs peurs en matière de santé et de pollution ?

Analyse publiée dans « Actuailes n° 62 »

Les nos 40, 42 et 43 d’Actuailes, ont expliqué que l’ONU a adopté des "Objectifs de développement durable" (ODD) pour les années 2015-2030 évoquant des "limites planétaires », et la nécessité de "stabiliser la population mondiale d’ici le mi-siècle". Continuons à réfléchir avec ce "trou d’ozone" qui aurait atteint un record à cause de températures très froides. C’est ce qu’annonce, en novembre 2015, l’Organisation Météorologique Mondiale. De quoi s’agit-il ? Le protocole de Montréal, en 1989, a prétendu que son origine était humaine. Y aurait-il des limites à ne pas dépasser ?

Analyse publiée dans « Actuailes n°42 »

L’ONU a adopté en septembre 2015, les "Objectifs de développement durable" (ODD) pour les années 2015-2030. Le but recherché est de "contribuer à orienter la perception du public en ce qui concerne les enjeux complexes du développement durable, inspirer l’action publique et privée, et favoriser la responsabilisation".
L'objectif ODD n°2 prévoit que "tous les pays ont droit au développement qui respecte les limites planétaires, ... et qui contribue à stabiliser la population mondiale d’ici le mi-siècle". L’ONU précise que ces « limites planétaires décrivent le "terrain de jeu" dans lequel l’humanité reste en sécurité par rapport à l’équilibre du système Terre exprimé à travers neuf dimensions critiques ... ».
Dans une série d’articles, nous allons réfléchir à une double question :
- Ces limites sont-elles fondées scientifiquement ? L’étude parue sur le sujet, le 15 janvier 2015 dans la revue "Sciences express", est-elle sérieuse ?
- Ou bien ces limites planétaires sont-elles un prétexte à justifier une "stabilisation de la population mondiale" par des moyens plus ou moins moraux ?
Commençons par la problématique des "particules fines" circulant dans l’atmosphère.

Analyse publiée dans « Actuailes n°xx »