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Climat - quelle "responsabilité environnementale des entreprises"?

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Publication : 15 novembre 2017


Les lois Grenelle II de 2010 ont prévu, pour les entreprises, la rédaction d’un rapport RSE annuel (Responsabilité Sociale des Entreprises), dont un des trois piliers est la Responsabilité environnementale des entreprises. Les entreprises cotées en bourse, avec un chiffre d’affaire supérieur à 100 millions d’euros ou une masse salariale supérieure à 500 employés ont l’obligation de fournir ce rapport.

Se soumettre ne signifie pas pour autant d’être obligé d’être crédule. En matière climatique, que dit la science en matière des explications causales? Les conséquences de la période chaude contemporaine sont-elles aussi catastrophiques qu’annoncé ? Que faut-il en conclure au plan économique et politique ? Comment se soumettre aux lois sans perdre sa liberté critique ?

Dossier: "les2ailes.com"

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Laudato si - La ville, lieu de communion ?

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Publication : 7 novembre 2017

Dans une série de vidéos, deux frères, Geoffroy et Loïc de la Tullaye ont présenté leurs expéditions autour du monde pour comprendre « l’extraordinaire force qui, depuis les chasseurs-cueilleurs, nous a poussé à nous rassembler en ville ». Dans une des vidéos, intitulée « La faim des villes, la fin des champs », une kenyane répond pourquoi elle préfère le bidonville de Kibera à Nairobi à son village : « Dans l’ouest on n’a pas à payer l’eau ni un loyer: on cultive notre propre nourriture, mais le salaire est insignifiant et le niveau de vie est très bas. En ville, c’est vrai qu’il faut tout payer, et ce qui est bien, c’est que si je trouve un travail, je serai payé en argent. Je pourrai envoyer mon enfant à l’école, et nous pourrons vivre sans problème, sans la peur du lendemain ». Le propos fait écho à la phrase de Laudato si qui parle de la ville comme lieu de communion entre les hommes. Certes, dit-il, "il existe une "sensation d’asphyxie, produite par l’entassement dans des résidences et dans des espaces à haute densité de population", mais ce sentiment peut être "contrebalancé si des relations humaines d’un voisinage convivial sont développées, si des communautés sont créées, si les limites de l’environnement sont compensées dans chaque personne" (§ 148) ! Pour en savoir plus...

Commentaire "les2ailes.com"

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Stanislas de Larminat : publication sur « Acton Institute »

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Publication : 18 octobre 2017

"Acton Institute" est un groupe de réflexion dont la mission est de promouvoir une société libre et vertueuse caractérisée par la liberté individuelle et soutenue par des principes religieux. Il porte le nom du grand historien anglais, Lord John Acton (1834-1902) qui joua un grand rôle au xixe siècle dans les discussions concernant le rôle de l'Église catholique dans le mouvement de libéralisation. "Acton Institute" diffuse des publications, et propose un journal « religion & liberté ».
"Acton Institute" organise également des conférences et des séminaires dans le but d’« éduquer les chefs religieux de toutes origines, les chefs d'entreprise, les entrepreneurs, les professeurs d'université et les chercheurs universitaires en matière de principes économiques et des liens qui peuvent exister entre vertu et pensée économique ». Par exemple, à San Diego aux USA, le 23 janvier 2015, "Acton Institute" avait invité, entre autres, le Cardinal Archevêque de Munich, Reinhard Marx, Mgr Keith Newton, évêque de Richborough dans la province de Canterbury,  deux membres de la Conférence épiscopale d'Angleterre et du Pays de Galles, Mgr Newton et l'évêque de Portsmouth, Mgr Philip Egan. Mgr Rey, évêque de Fréjus-Toulon y avait fait une intervention intitulée "Appel à une conversion écologique".

Nous proposons ci-dessous la traduction française d’un article de Stanislas de Larminat publié sur le site du "transatlantic blog" de l’Acton Institute, article intitulé "The G20 summit has reopened the European debate on ecology and economics". Nous publions ci-dessous la traduction de cet article:

Source: « transatlantic blog» de l’Acton Institute du 13 juillet 2017

Transcription: "les2ailes.com"

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Académie pontificale des sciences: Betsee Parker, invitée d’honneur

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Publication : 16 octobre 2017

L’Académie Pontificale des Sciences a organisé, du 13 au 15 octobre 2017, son second  « SDSN Youth symposium », intitulé « Jeunesse, intendant de la planète pour une société plus fraternelle et solidaire ». Le premier avait eu lieu les 30 et 31 octobre 2016. Ces symposiums sont organisés par le SDSN (Sustainable Development Solutions Network), une émanation de l’ONU dirigée par Jeffrey Sachs. Il est connu pour ses positions malthusiennes remettant en cause la dignité humaine : Il a pris position publique sur l'avortement dans son livre « Common wealth : Economics for a Crowded Planet » de 2008, dans lequel il « a fait un plaidoyer pour légaliser l’avortement comme un coût efficace pour parvenir à éliminer "les enfants non-désirés" quand la contraception a échoué. Il décrit l’avortement comme » une option à faible risque et low-cost[1] "préférable à de nouvelles vies humaines dans le monde". Il a aussi écrit avec enthousiasme que "la légalisation de l’avortement réduit significativement le taux global de fertilité en moyenne d’au moins un demi enfant"[2].
Le Dr Jeffrey Sachs a obtenu de Mgr Sorondo, chancelier de l’Académie Pontificale, que l’invitée d’honneur soit cette année, une de ses anciennes élèves de l’université de Columbia,  le Dr Betsee Parker, 17ème Baronne de Locheil. Sous les apparences de son col romain de prêtre de l’Église Épiscopale américaine, c’est une femme très engagée auprès des amateurs de chevaux, de chasse à courre et qui aime à remettre des prix qu’elle finance dans les concours.
Une fois de plus l’Académie Pontificale instrumentalise la jeunesse pour brouiller le débat scientifique qu’elle refuse d’organiser sur la question climatique.  Quels sont les détails qui ont présidé à ce symposium ?

Sources vidéo : 1ère journée: https://youtu.be/pZqybXui_bw, 2nde journée: https://youtu.be/nlxHe7szUYs
Sources photo 

Commentaire les2ailes.com

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Vicissitudes du « Développement durable », plaidoyer pour un « développement responsable »

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Publication : 16 octobre 2017

Dans un long dossier, les2ailes.com ont développé les vicissitudes du concept de « développement durable ». Il s’agit d’une sémantique « fourre tout ». En effet, qui serait contre le développement ? Et qui serait contre qu’il dure ? Mais, en réalité, ce concept inclut l’idée même que ce qui a fondé le développement des générations précédentes ne devrait pas changer, et devrait durer. Or, la technicité  et les conditions d’élaboration des ressources naturelles seront-elles identiques dans les générations futures ? Serions nous parvenu à un optimum démographique qui justifierait une décroissance ? Les limites planétaires qui nous sont proposées, par exemple, la cause prétendue humaine des variations climatiques, sont-elles à considérer comme des acquits définitifs de la science pour fonder des règles de développement durable ? Les besoins des générations actuelles seront-ils les mêmes que celui des générations futures ? A l’évidence, une réponse négative s’impose à toutes ces questions.
Dès lors qu’une sémantique porte en elle-même un biais intellectuel, il est préférable d’en changer. Nombreux sont ceux qui en ont eu conscience et ont décidé de boycotter le concept de « développement durable » qui est intrinsèquement piégé et de le remplacer par celui de « développement responsable ».
Cette expression pourrait être préférable à condition de définir les bases éthiques d’une « responsabilité ». Cet article essaie de les fonder.

Commentaire "les2ailes.com"

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Cause humaine du réchauffement climatique : des probabilités subjectives ?

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Publication : 12 octobre 2017

Le Giec affirmait dans son dernier rapport qu’il est "maintenant à 95 % certain que la cause principale du réchauffement climatique est humaine"[1].  Cela fait sérieux. Mais où est le calcul ? Il est inutile de chercher car le Giec ajoute : « Ces niveaux de confiance ne sont pas des statistiques fréquentistes, mais des "probabilités subjectives" qui représentent des degrés de croyance basés sur une combinaison de sous-composantes objectives et subjectives du système total »[2]. Des probabilités subjectives ! Ce n’est plus de la science, mais simplement  "une évaluation subjective basée sur un faisceau d'indices"[3]. On est légitimement surpris, surtout quand on lit que le GIEC accepte ce paradoxe : « Les probabilités "Objectives" et "Subjectives"  ne sont pas toujours explicitement distinguées »  (AR5 GT2, § 2.6.2 )[4].
A y regarder de plus près, on réalise que c'est un vocabulaire courant chez les scientifiques quand il s’agit de statistiques. Ils évoquent deux approches possibles : les probabilités dites bayésiennes, ou subjectives, c’est à dire exprimant des "raisons de croire", et les probabilités fréquentistes, ou objectives c’est à dire dégageant des lois tendancielles calculées. Les premières sont fixées a priori, et les secondes a posteriori. Lorsque le GIEC parle de probabilité subjective, il ne plaisante donc pas. Il utilise un concept connu depuis Thomas Bayes, au XVIII° siècle.
Malheureusement, si l’approche bayésienne est une théorie mathématique rigoureuse, elle permet aux climatologues et aux économistes de faire passer pour rigoureux ce qui ne l’est pas. Il y a là un amalgame entre des situations n’ayant aucun rapport qui risque d’engendrer le trouble chez certains.  Le fait qu’on puisse les opposer ou les comparer laisse penser qu’on peut réellement les mettre sur le même plan, voire les combiner. Si des tests “bayésiens” peuvent être tout à fait rigoureux, ils peuvent, en même temps, induire chez des profanes une fausse perception qu’automatiquement  une hypothèse testée serait aléatoirement vraie ou fausse. Il y aurait en quelque sorte une forme de méconnaissance de la différence entre une inconnue et une variable.
Il est un moment où il faut bien entrer dans le chiffrage des relations de causes (humaine, solaire ou volcanique) à effet (la température).  Qui peut mettre d’accord entre eux des climatologistes, océanographes, thermophysiciens, glaciologues , agronomes, biologistes, mathématiciens, chimistes, astronomes, hélio-sismologies, etc... même si, à l'évidence, chaque discipline est utile et nécessaire ? Qu’y a-t-il de commun entre chacune de ces spécialités, entre la recherche sur les facteurs causaux ou résultants de la variation climatique ? Quelle science est légitime pour quantifier les relations de cause à effet ? Une telle méthodologie existe. Il s’agit de la dite « identification  des systèmes dynamiques et complexes ». Après une étude revue par les pairs d’un comité de lecture, un pionnier de ces techniques a conclu en 2016 que: « L’hypothèse, selon laquelle l’activité humaine n’aurait pas d’effet significatif, ne peut pas être exclue... Avec un taux de certitude significatif de 90%...  on doit considérer comme un fait établi que l’activité solaire, en tant que variable explicative causale, constitue effectivement l’explication première du “changement climatique“ ».  
Sans porter de jugement qualitatif sur le mémoire de Christian Fauré[5] sur ce sujet, nous en faisons la transcription dans ce qui suit:

Source : Christian Fauré

Transcription « les2ailes.com »

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Cyclones 2017: un pic multi-décennal !

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Publication : 11 octobre 2017

Aussitôt après l’ouragan Irma qui s'est développé du 29 août au 12 septembre 2017, les hommes politiques se sont précipités pour justifier leur politique climatique. C’est ce qui a fait dire au Président Macron que « la France restera déterminée à lutter contre le réchauffement climatique et à tout faire pour prévenir ce type de désastre». Le 19 septembre, devant l’Assemblée générale de l'ONU, le chef de l'État a répété que les ouragans étaient "une des conséquences directes du réchauffement climatique". Anne Hidalgo, elle aussi le 7 septembre sur Europe1, a lié, la violence de l’ouragan Irma au réchauffement climatique. Richard Ferrand, le président du groupe La République en marche (LREM) à l’Assemblée nationale, a rappelé le risque de multiplication des catastrophes naturelles particulièrement destructrices à cause du réchauffement climatique.
Comment les politiques osent-ils de telles contrevérités ? Ils perdent toute crédibilité quand ils s’adressent ainsi à nous !
Même le GIEC l’a reconnu dans son rapport de 2013 : « La confiance reste faible quant aux changements d’activités sur le long terme des cyclones tropicaux".... "les chiffres actuels n’indiquent pas de tendance significative dans la fréquence des cyclones tropicaux par rapport au passé" (« Rapport 2013 pour les décideurs » du Giec p. 7/60).
Tous les géographes connaissent les « oscillations atlantiques multi-décennales » (AMO). Il s’agit d’une oscillation océanique qui se traduit par des anomalies de température de surface de l’Atlantique nord principalement sur une période d’environ soixante-dix ans. Elle marque la variabilité des activités cycloniques de l’Atlantique.  Nous sommes actuellement dans une phase positive d’AMO qui n’a rien à voir avec le réchauffement climatique.
Une chose est certaine, cela n’a rien à voir avec les émissions de CO2.

Source : « Éditions Lavoisier »

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