• Accueil
  • Contact
  • Qui sommes-nous ?
  • Identification

menu
  • Accueil
  • Blog
  • Nos publications
  • Nos dossiers
  • Offre de conférences
  • Pour les plus jeunes
  • Abonnez-vous

La Fenêtre d'Overton- ou comment l’opinion se laisse manipuler !

Détails
Publication : 30 octobre 2022

"La corrélation entre deux faits ne signifie pas que l'un provoque l'autre : en Europe, la baisse des naissances et la réduction concomitante de la population de cigognes ne signifie pas que ce sont elles qui amènent les enfants". (Franco Battaglia)

La fenêtre d'Overton, aussi connue comme la "fenêtre de discours", est une allégorie qui permet de comprendre comment des idées ou pratiques considérées comme impensables peuvent devenir populaires dans l'opinion publique d'une société. Son concepteur, Joseph P. Overton[1] (1960-2003) affirme que la viabilité politique d'une idée dépend principalement du fait qu'elle se situe ou non "dans la fenêtre". Les idées impensables deviennent acceptables grâce à des promoteurs qui usent de  techniques de persuasion ou de manipulation. Cette technique, est proche de celle que la psychologie sociale appelle la "porte-au-nez" et qui consiste à faire précéder une demande de comportement plus ou moins coûteuse par une demande beaucoup plus coûteuse, parfois même fantaisiste. Les médias, en tant qu'acteurs influents de l'opinion publique, sont susceptibles d'être un outil du déplacement de cette fenêtre. L’exemple théorique du cannibalisme illustre ce concept. Sa pratique paraît a priori impensable mais son autorisation pourrait jusqu’à être réclamée par les opinions, au fil d’étapes successives.

Source : Wikipedia

Analyse: "les2ailes.com"

Lire la suite... Ajouter un commentaire

"Proclamation de foi en Dieu créateur et sauveur -  Engagements fermes pour une écologie intégrale"

Détails
Publication : 29 octobre 2022
Image:
"Catéchisme de la Communauté de l'Emmanuel"

Mgr de Moulins-Beaufort a annoncé, à l’Assemblée générale des évêques à Lourdes du printemps 2022, que le Conseil Famille et Société était chargé de la rédaction d’un texte de proclamation de foi en Dieu créateur et sauveur et d’un texte d’engagements fermes. Au cours d’une retraite itinérante autour de la France,  la marche à pied permettait de méditer sur ce que pourrait être le contenu d’une telle proclamation. Le texte qui suit n’a aucune prétention. Ce n’est qu’une suggestion dont pourrait s’inspirer le dit "Conseil Famille et Société" des évêques de France s’il jugeait utile de s’ouvrir à la réflexion d’un pèlerin soucieux de pastorale de Laudato si :

Réflexion : Les2ailes.com

Lire la suite... Ajouter un commentaire

Euthanasie : Les racines philosophiques du mal

Détails
Publication : 26 octobre 2022

" À force de tout voir on finit par tout supporter... À force de tout supporter on finit par tout tolérer... À force de tout tolérer on finit par tout accepter... À force de tout accepter on finit par tout approuver" (Saint-Augustin)

Délaissant la traditionnelle rhétorique autour de la « mort dans la dignité », le Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE), dans son avis 139 sur les Questions éthiques relatives aux situations de fin de vie : autonomie et solidarité, propose une nouvelle justification « éthique » à l’euthanasie. Gènéthique fait le point avec le philosophe Pascal Jacob[1] sur les implications de cette évolution sémantique.
Nous retranscrivons cette réflexion fondamentale.
 

Source : Généthique

Transcription: "les2ailes.com"

Lire la suite... Ajouter un commentaire

Quand la presse renonce à sa liberté de débattre sur le climat !

Détails
Publication : 25 octobre 2022

"Une science climatique mal orientée s’est métastasée en une pseudoscience journalistique massive" 
(John Clauser, prix Nobel de physique 2022)


Plus de 100 ans de combat pour la liberté de la presse ! Et voilà que le 14 septembre dernier, la journaliste Anne-Sophie Novel a publié le fruit d’une charte qu’elle a coordonnée « Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique »[1].

L’urgence climatique, justifie-t-elle un tel à peu-près médiatique en s’interdisant toute forme de débat, de questionnement scientifique ? Anne-Sophie Novel est connue pour la chasse qu’elle mène aux dites fake-news.

Derrière elle, la charte est signée par plus de 1.500 journalistes pour qui toute forme de dissidence est une fake news. On trouve plus de 180 journalistes se qualifiant d’indépendants, mais surtout, plus de 140 signataires de l’audiovisuel d’état[2] (France TV, Radio France et France-Medias-Monde), 30 signataires dans Le Monde et sa filiale LaVie, 21 signataires à Libération, 12 signataires à BFM, 11 signataires à TF1 et sa filiale LFI, 12 signataires à BFM. On en trouve moins de 16 à CNews, Le Figaro, Monte-Carlo, Europe 1, ou HuffPost. Mais une dizaine dans la presse économique[3]. Dans la presse écrite régionale, tous les actionnaires de Sud-Ouest ont signé, mais également une dizaine dans d’autres journaux[4].
La presse catholique n’est pas épargnée avec en particulier 25 signataires dans le Groupe Bayard[5], une 15aine dans le réseau de radio chrétiennes francophones RCF, et même 2 signataires dans « Famille et éducation », le magazine de l’APEL.
Dans "Media participation", on trouve 3 signataires dans Rustica et Revue21, même s’il n’y en a pas dans Famille chrétienne, ni Pilote, ni Spirou.
Personne n’a signé à KTO ni à Radio-Notre-Dame.
Cette contagion n’est pas prête de s’arrêter puisque 7 écoles de journalisme[6] ont signé, mais également 13 syndicats et associations de journalistes[7] et une centaine de rédactions de plus ou moins grande audience et en particulier celles ciblant des jeunes publics[8].

Quand la rhétorique de l’état d’urgence va-t-elle inquiéter les juristes ? Aujourd’hui, la charte n’est pas contraignante. Elle ne relève pour l’instant que d’une auto-censure. Mais demain ? Elle pourrait être invoquée par la justice pour justifier le bon droit d’un licenciement de journaliste, ou une discrimination à l'embauche.[9]. Et demain, l'adhésion des directions de rédaction pourrait devenir un critère d'attribution des subventions d'état à la presse.
À quand l’interdiction du questionnement, le contrôle de l’information, la censure de l’humour ? L’encadrement médiatique des consciences est en marche. Pratiquement aucun journaliste ne s’élève pour dénoncer cet « état d’urgence climatique » qui remet en cause la liberté de penser, la liberté de débattre.
Aucune élite non plus. Il n’est qu’à lire le philosophe écologiste Dominique Bourg « aucune liberté n’est absolue ». Il suffit également d’entendre Jancovici reprocher aux journalistes d’inviter des climatosceptiques: « à partir du moment où vous ne les invitez pas, ils n’existent pas ces gens-là ! »[10], dit-il !
On soulignera le mérite de Louis Daufresne, dans une tribune de LSDJ, qui s’interroge : « un tel niveau d’engagement peut-il être indolore ?... Et quid du droit de débattre contradictoirement si le consensus est médiatiquement acté ? ». Pour illustrer son questionnement, il commente la disputatio organisée par l’Institut Éthique et Politique le 18 octobre entre Stanislas de Larminat et Olivier Rey.

Transcription "Les2ailes.com"

Lire la suite... Ajouter un commentaire

CO2 : comment rendre à la nature les ressources qu’elle nous donne ?

Détails
Publication : 24 septembre 2022

Une sémantique ne cesse de se développer appelant notre temps à "rendre la nature à son état initial", à lui "rendre" ce que l’homme aurait usurpé ! Les ONG écologiques ont commencé. Par démagogie, les gouvernements et les parlements ont suivi. Même les entreprises se mettent à en faire un objectif d’entreprise !
Resterait à définir quel est l’état initial à prendre en compte. L’époque préindustrielle ? Pourquoi pas l’ère du Carbonifère ? C’est un grand rêve écologique de mettre la planète sous cloche, à l’abri des prédations de l’homme. Pourquoi ne pas renverser le propos avec l’idée que nos consommations de charbon ne font que rendre le CO2 qui était dans l’atmosphère avant le Carbonifère? Cette ère était florissante grâce à un taux de CO2 dans l’atmosphère 30 fois supérieur à la dose actuelle. La végétation de l'époque a explosé... à un degré bien supérieur aux bénéfices que tirent nos agricultures de l'augmentation actuelle de CO2 dans l'air!
Ne nous méprenons pas : il ne s’agit pas de justifier ici un gaspillage de nos ressources énergétiques. Tout gaspillage relève d’une forme de culture de mort. Au contraire, l’appel à la sobriété est source de vie.
Reprenons tout ce raisonnement :

Analyse : les2ailes.com

Lire la suite... Ajouter un commentaire

Comprendre l’effet de serre

Détails
Publication : 31 août 2022

"Nous croulons sous l'information, mais la connaissance nous échappe" 

(E.O. Wilson, biologiste américain [1])

L’effet de serre est l’un des mécanismes qui régissent le climat terrestre. En gros, les gaz à effet de serre (GES : vapeur d’eau, dioxyde de carbone, méthane, etc.) piègeraient l’énergie solaire en la laissant entrer, mais pas ressortir.
On sait tous que le « réchauffement climatique » a quelque chose à voir avec un « effet de serre », mais lorsqu’il s’agit d’aller plus loin, les propos tournent s’appuient sur de nombreuses fausses conceptions.
En l’absence de quantification fiable des paramètres globaux tels que la sensibilité climatique, le GIEC appuie ses prévisions sur les simulations issues de vastes modèles numériques.
Nous reprenons ici des extraits d’un article rédigé par Philippe de Larminat pour aider à la compréhension.  Diplôme d’ingénieur en 1964 (et Ph. D. en 1972), il a été Professeur à l’Institut National des Sciences Appliquées (Rennes, France) et à l’Ecole Centrale (Nantes). Il est l’auteur de 6 ouvrages et de plus de 100 articles publiés dans des journaux et lors de conférences internationales. Depuis 2001, il est consultant indépendant et auteur de plusieurs brevets (par exemple contrôle de centrales électriques, guidage de satellites).
Ses intérêts de recherche incluent la modélisation mathématique, l'identification des processus, le traitement de signaux et la théorie du contrôle. Depuis 2012, il poursuit un travail de pionnier sur l'identification du système climatique terrestre.

Transcription : les2ailes.com

Lire la suite... Ajouter un commentaire

Sècheresses et inondations: deux aleas? une même solution!

Détails
Publication : 16 août 2022

Deux articles de Stanislas de LARMINAT publiés dans LSDJ, font une analyse conjointe des actions à mener contre sècheresse et inondations. Deux aléas et une solution commune : les réserves d’eau !
Pourtant, dans le même temps, on voit se développer un activisme agricole et diverses formes de saccage sur le terrain : en pleine sécheresse, deux réserves d’eau ont été sabotées, le 8 août 2022 à Pouillé et à Nalliers, en Vendée. En Haute Marne, douze bovins sont morts après quatre sabotages d’abreuvoirs en juillet.  Motif : ces installations sont mal vues des activistes, opposés au stockage de l’eau.
C’est en réalité une litanie de dégradations qui se développe due à l’activisme environnemental: Grillages sectionnés, bâches d'étanchéité lacérées, train de blé intercepté et vidé un train de blé, croyant s’attaquer à une cargaison de soja,  les saccages de cultures expérimentales (le plus souvent non OGM) par des opposants aux OGM, rhabillés en Robins des bois de la nature, agressions et menaces de mort adressées par courrier aux professionnels de la forêt accusés d’être des « assassins d’arbres » dans les régions forestières, dégonflage  nuitamment de pneus des SUV, jugés trop polluants. Depuis vingt ans et dans l’indifférence, ce sont au total des dizaines et des dizaines d’actes de sabotage, lesquels n’ont pas été — à une exception près — condamnés. Personne n’est à l’abri des gardiens autoproclamés de la morale environnementale. 
Eddy Fougier, politologue, chercheur associé à l’Iris, spécialiste des mouvements contestataires, explique que le recours au saccage n’est pas nouveau : « Ces techniques de sabotage à visée environnementale visant les intérêts économiques ont leurs théoriciens, leurs manuels. Elles trouvent leurs racines aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, avec le Earth Liberation Front. En France, cela a été moins marqué historiquement, même si, dans les années 1990, certaines actions de la Confédération paysanne, contre les OGM, en relevaient. Mais de plus en plus, les dégradations, d’abord réservées au monde agricole, se généralisentet touchent de nouveaux secteurs. »
les réserves d'eau sont pourtant des solutions, tant aux risques de sècheresse que d'inondations. Les deux articles ci-dessous permettent de prendre du recul:
SÉCHERESSE : ÉMOTION DANS LES VILLES, PROBLÈME DANS LES CHAMPS, publié le 12 août
SÉCHERESSE : UNE FATALITÉ AU MÊME TITRE QUE LES INONDATIONS ? , publié le 15 août

Source :        LSDJ 12 et 15 août 2022
                    Activisme agricole : la tentation du saccage gagne du terrain- Par Emmanuelle Ducros 10 août 2022

Lire la suite... Ajouter un commentaire

Page 9 sur 96

  • Début
  • Précédent
  • 4
  • 5
  • 6
  • 7
  • 8
  • 9
  • 10
  • 11
  • 12
  • 13
  • Suivant
  • Fin

Pourquoi ce pèlerinage ?
Le programme détaillé
Pour nous contacter en chemin
Marie, Modèle d'écologie intégrale
Comptes-rendus du pélerinage

 

Nos interventions
Nos vidéos

 

Abonnez-vous !

 

Nos publications

Back to top