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 Notre « mère-Terre » ou notre « sœur la Terre » ? Paganisme ou catholicisme ?

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Publication : 28 octobre 2019

« La nature n’est pas une mère,
elle est une sœur et même une sœur cadette,
une petite sœur dont on peut rire et que l’on peut aimer »
(Gilbert Keith Chesterson) [1]

Les medias s’emparent de l’actualité du Synode sur l’Amazonie pour faire croire que le synode en appelle à un retour aux traditions ancestrales et indigènes de notre « mère la Terre ». Nous proposons ici de lire en détail ce que dit le rapport final adopté par les pères synodaux et les contextes exacts de ses citations. On rappellera que Laudato si reprend l’expression de Saint-François d’Assise : « sœur notre mère la Terre »[1bis]. Tout discours magistériel mérite d’être travaillé à la lumière de ce que  Benoit XVI appelait l’herméneutique de la continuité. Y a-t-il une continuité dans la tradition de l'Église à parler de « terre-mère » ? Si oui, elle pourrait répondre, certes avec un caractère très minoritaire, de la tradition franciscaine. Reste à mieux connaître l’analyse franciscaine de l’ajout du mot « sœur » dans l’expression « notre sœur la terre-mère ». Le père Georges Morin, franciscain, montre que « l’appellation ‘sœur’ donnée à la terre marque la limite » de la maternité de la terre. La terre « n’est pas cependant la source absolue de l’être et de la vie ; elle est elle-même une créature, au même titre que les autres réalités cosmiques ». Le père Georges Morin dénonce cette « image archaïque de la « mère nourricière » dont notre vie dépend ».

Analyse « les2ailes.com »

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"Environnement en France": un référentiel dogmatique

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Publication : 26 octobre 2019

Il y a 25 ans, à l’automne 1994, paraissait la première édition d’un rapport intitulé « L’environnement en France ». Le gouvernement a publié son édition  2019 : « rapport de synthèse - l’environnement en France ». Il est préfacé par le ministre Elisabeth Borne. Il est sensé fournir une vision synthétique de l’état de l’environnement et propose des approches systémiques sur ce qu’ils qualifient de « grands enjeux ».
Nous citons ce document car, pour la première fois depuis qu’il existe, il introduit le concept scientifique des « 9 limites de la planète », thème que nous avions analysé en détail le 4 juillet 2015.
Le rapport qualifie cette approche d’« innovante » car elle permettrait d’examiner « le bien-être des Français au travers de l’analyse des principales fonctions de vie (se loger, se nourrir, se déplacer) vue sous le prisme des limites planétaires ».
Ce concept de « 9 limites planétaires », était né avec la publication, le 15 janvier 2015, une prétendue étude scientifique intitulée : "Planetary Boundaries: Guiding human development on a changing planet". Dix neuf auteurs y analysent une série de neuf critères justifiant, selon eux, des entraves à l’activité humaine sous forme de "limites planétaires".
Johan Rockström,  un des co-auteurs, a longuement présenté les conclusions au « forum économique mondial » de Davos, les 21-24 janvier 2015. Or ce document montrait les « limites », sans jeu de mot, de ce concept. Les auteurs reconnaissaient eux-mêmes que sur chacun des 9 thèmes, il était  tantôt impossible de conclure, tantôt qu’ils ne disposaient pas d’indicateurs, ni d’historiques de données.
Nous ne reprendrons pas ici l’analyse faite en 2015 par « les2ailes.com »

Source : « Rapport de synthèse - l’environnement en France »

Commentaire "les2ailes.com"

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"Petit catéchisme sur le péché originel" selon Totus-tuus

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Publication : 16 octobre 2019

Dans un article précédent, nous expliquions les risques  de confusion entre les concepts de monde créé et de  monde naturel.  Ce questionnement n’est pas qu’un exercice sémantique. Une meilleure compréhension théologique de la création est fondamentale dans toute réflexion sur l’écologie. Cette confusion conduit à se méprendre sur des expressions comme « garder la création »  ou « protéger la nature ». Voilà des expressions qui sont sources de confusion si la nature n’est, en définitive, qu’un état dégradé de la création ? L’essentiel ne serait-il pas plutôt de se protéger du mal, du malin qui a précipité et précipite encore toute la création dans une nature corrompue ?
Nous reprenons ici les commentaires de Matthieu Boucart, un laïc, juriste de formation, né vers 1973, qui a créé un blog s’inspirant du philosophe Claude Tresmontant . Il y a publié un « Petit catéchisme sur le péché originel » qui développe ce qu’est la thèse originale de Mgr Léonard ». Il faut toutefois rappelé, qu’il s’agit d’une thèse méta-historique évoquée par de nombreux auteurs allant de saint Jean-Paul II à saint Augustin, et de penseurs et théologiens orthodoxes russes, de Nicolas Berdiaev et Vladimir Lossky à Olivier Clément[1], et aussi le Père Frédéric Masset, Pierre Milliez, Bernard Sesboué[2], le père Gaston Fessard, le Père Florent Urfels[3], etc...

Transcription « les2ailes.com »

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En quoi les risques environnementaux sont-ils-avérés ?

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Publication : 16 octobre 2019

 

Dans de nombreux articles de ce blog, nous mettons en garde sur les fausses allégations santé concernant des problématiques environnementales locales, et sur les graves erreurs des modèles attribuant à l’homme les pollutions planétaires telles que le réchauffement climatique ou le trou d’ozone.
Nous considérons comme un acquit nos arguments. Il n’est pas inutile de rappeler ici sur quoi nous nous fondons.

 Analyse: "les2ailes.com"

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Avec la Blockchain  : mort annoncée du débat scientifique en écologie ! (3/3)

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Publication : 13 octobre 2019

Internet est mort ! Vive la Blockchain  ! Internet était un système centralisé, basé sur des logiciels conçus par le détenteur des serveurs. La Blockchain  est complètement décentralisée et risque d’échapper à tout contrôle, y compris des états.
Cet article voudrait prendre du recul sur ces nouvelles technologies et réfléchir à ce qu’elles impliquent en matière d’écologie. Deux premiers articles ont été nécessaires à cette fin.
(1/3) Qu’est ce que la Blockchain  ? Quels sont ses avantages, ses risques et ses dérives ?
(2/3) En quoi l’écologie est-elle impliquée ? De nombreuses applications de la Blockchain  ont la prétention d’apporter des solutions à la sauvegarde de la planète. La question se pose concernant la cause humaine des variations climatiques. Elle est considérée comme un acquit de la science. Cet article montre que non ! La Blockchain  peut-elle apporter des solutions en matière de certification du débat scientifique ? Il semble que non : la Blockchain  n’a qu’un but : sécuriser des transactions pour ce qu’elles sont. Elle n’est portée par aucun autre système de valeur : ni la vérité, ni la beauté, ni la bonté, ne sont pas de son ressort. Or, beaucoup de transactions se font au mépris de ces valeurs.
(3/3) Reste à réfléchir dans un troisième article : faut-il se soumettre à cette nouvelle tour de Babel ? Comme aime à le dire Bertrand Vergely, le progrès était sensé éradiquer les méfaits de la fatalité. Le progrès serait-il désormais une fatalité à laquelle on ne peut échapper ? Un peu de recul philosophique sera nécessaire dans ce dernier article, surtout pour qui n’a jamais entendu parler de ce mot barbare : la Blockchain  !

Dossier: "les2ailes.com"

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Avec la Blockchain  : mort annoncée du débat scientifique en écologie ! (2/3)

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Publication : 13 octobre 2019

Internet est mort ! Vive la Blockchain  ! Internet était un système centralisé, basé sur des logiciels conçus par le détenteur des serveurs. La Blockchain  est complètement décentralisé et risque d’échapper à tout contrôle, y compris des états.
Cet article voudrait prendre du recul sur ces nouvelles technologies et réfléchir à ce qu’elles impliquent en matière d’écologie. Trois articles sont nécessaires à cette fin.
L’article (1/3) répondait aux questions suivantes :  qu’est ce que la Blockchain  ? Quels sont ses avantages, ses risques et ses dérives ?
(2/3) En quoi l’écologie est-elle impliquée ? De nombreuses applications de la Blockchain  ont la prétention d’apporter des solutions à la sauvegarde de la planète. La question se pose concernant la cause humaine des variations climatiques. Elle est considérée comme un acquit de la science. Cet article montre que non ! La Blockchain  peut-elle apporter des solutions en matière de certification du débat scientifique ? Il semble que non : la Blockchain  n’a qu’un but : sécuriser des transactions pour ce qu’elles sont. Elle n’est portée par aucun autre système de valeur : ni la vérité, ni la beauté, ni la bonté, ne sont pas de son ressort. Or, beaucoup de transactions se font au mépris de ces valeurs.
(3/3) Est-ce à dire qu’il faut se soumettre à cette nouvelle tour de Babel ? Comme aime à le dire Bertrand Vergely, le progrès était sensé éradiquer les méfaits de la fatalité. Le progrès serait-il désormais une fatalité tyrannique à laquelle on ne peut échapper ? Un peu de recul philosophique sera nécessaire dans ce dernier article, surtout pour qui n’a jamais entendu parler de ce mot barbare : la Blockchain  !

Dossier: "les2ailes.com"

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Avec la Blockchain   : mort annoncée du débat scientifique en écologie ! (1/3)

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Publication : 13 octobre 2019

Internet est mort ! Vive la Blockchain   ! Internet était un système centralisé, basé sur des logiciels conçus par le détenteur des serveurs. La Blockchain  est complètement décentralisée et risque d’échapper à tout contrôle, y compris celui des états.
Cet article veut mettre en perspective ces nouvelles technologies et réfléchir à ce qu’elles impliquent en matière d’écologie. Trois articles sont nécessaires à cette fin :
(1) Qu’est ce que la Blockchain  ? Quels sont ses avantages, ses risques et ses dérives ?
(2) En quoi l’écologie est-elle impliquée ? De nombreuses applications de la Blockchain  ont la prétention d’apporter des solutions à la sauvegarde de la planète. La question se pose concernant la cause humaine des variations climatiques. Elle est considérée comme un acquit de la science. Cet article montre que non ! La Blockchain  peut-elle apporter des solutions en matière de certification du débat scientifique ? La Blockchain  n’a qu’un but : sécuriser des transactions pour ce qu’elles sont. Elle n’est portée par aucun autre système de valeur : ni la vérité, ni la beauté, ni la bonté, ne sont pas de son ressort. Or, beaucoup de transactions se font au mépris de ces valeurs.
(3) Est-ce à dire qu’il faut se soumettre à cette nouvelle tour de Babel ? Comme aime à le dire Bertrand Vergely, le progrès était sensé éradiquer les méfaits de la fatalité. Le progrès serait-il désormais une fatalité à laquelle on ne peut échapper ? Un peu de recul philosophique sera nécessaire dans ce dernier article, surtout pour qui n’a jamais entendu parler de ce mot barbare : la Blockchain  ! 

Dossier: "les2ailes.com"

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