« Nouvelle imprécision du GIEC » ! C’est le titre d’un article du Figaro qui indique que : « le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) a admis aujourd'hui avoir hâtivement estimé que 55% du territoire des Pays-Bas se trouvait sous le niveau de la mer ». Or, le bon chiffre est de 26% ! C’est une nouvelle fois le problème des sources soi-disant scientifiques qui est posé !...

Source : Figaro.fr du 14 février

Commentaire de « les2ailes.com »

Cette information, concernant les Pays-Bas, figurait dans une phrase du quatrième rapport du groupe d'experts, publié en 2007. Bien entendu, Le gouvernement néerlandais a annoncé qu’il allait demander des "éclaircissements" au GIEC.

Le GIEC n’a pas manqué de refuser d’endosser l’erreur et de se justifier. Il est pourtant un proverbe qui veut que « celui qui se justifie souligne sa faiblesse ». Quelle est la justification ? Quelle est la faiblesse ?

  • La justification a consisté, pour groupe d'experts onusien, à  dire que le chiffre lui avait été fourni par un organe gouvernemental, l'Agence néerlandaise d'évaluation environnementale, "que le GIEC considère comme un source scientifique digne de confiance".
  • La faiblesse, c’est d’avoir un comportement infantile, consistant, comme dans une cour de récréation à dire au surveillant qui vous a épinglé : « c’est pas moi, c’est lui ».
    C’est exactement ce que vient de faire le GIEC.

Quand on voit les décisions qui sont prises sur l’avis de ces experts, et qui portent sur des milliers de milliards de dollars, on est confondu par ces enfantillages !
Le GIEC se construit une image d’idéologues : leurs soi-disant scientifiques ne vérifient pas leurs sources. Ils font des « copier-coller » de n’importe quelle publication.

Il faut se rappeler qu’au cours des dernières semaines, le GIEC :

  • a reconnu fausse une information concernant le risque de fonte des glaciers de l’Himalaya qu’ils avaient copié dans une revue de l’ONG Greenpeace,
  • a reconnu avoir faussé des statistiques pour démontrer ce qu’il voulait prouver.