Plus de 15 000 scientifiques de 184 pays ont récemment publié dans la revue BioScience un manifeste alertant sur l’état de la planète.
Ils lancent ce qu’ils appellent un cri d’alarme en particulier au sujet du « changement climatique potentiellement catastrophique, dû à l’augmentation du volume de GES dégagés par le brûlage de combustibles fossiles, la déforestation et la production agricole – notamment les émissions dégagées par l’élevage des ruminants de boucherie ». Pour eux, la cause anthropique du changement climatique est entendue : les émissions de CO2 seraient la cause de la situation de la planète qu’ils jugent catastrophique.

Paradoxalement, on trouve pour l’essentiel, parmi le millier de signataires français des spécialistes des conséquences de la période chaude contemporaine (biologistes, agronomes, médecins…)[1],  et non des spécialistes de quantification de relations de causes à effets. 
A contrario, il n’y a qu’une quinzaine de chercheurs s’occupant des causes du réchauffement climatique à l’Institut Pierre et Simon Laplace (IPSL) et au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement (LSCE). Ils y sont pourtant plusieurs centaines de chercheurs. Bien sûr, on trouve Valérie Masson Delmotte, co-présidente mondiale au Giec et grande habituée des plateaux de télévision a signé. Mais, la majorité aurait-elle préférée se tenir à l’écart de ce qui n’est qu’une opération de communication ?

Car il s’agit bien d’une opération évènementielle recherchée par les initiateurs de ce manifeste. Ils ont cherché à vouloir faire masse en appelant à la rescousse plus de 15% d'étudiants ou simples post-doctorants sans expérience de publications internationales. Les organisateurs ont même été chercher linguiste, professeur de morale ou de musique, cardiologue, ou autres amateurs de sciences citoyennes !… Cette volonté d’opération médiatique parait évidente quand on rertouve là les ineffables Gilles Seralini et Joël Spiroux de Vendomois, gérants du CRIIGEN de Corine Lepage. On se rappellera les pseudo études scientifiques sur les OGM qui les ont discrédités aux yeux de toute la communauté scientifique internationale au point qu’on peut parler d’une science obscure, le « seralinisme » !
N’oublions pas que d’autres appels, parfaitement opposés, ont eux aussi été lancés depuis plusieurs années : la « Déclaration de Manhatan », la Déclaration de Leipzig, l’Appel d’Heidelberg avaient rassemblé également plusieurs milliers de signataires, dont 72 prix Nobel. Tout cela tourne au ridicule : on n’apporte pas de preuve avec une science facebook qui donnerait raison aux manifestes qui rassembleraient le plus de clics J’aime !

Le crédit de ces signataires est surtout entaché par une idéologie qu’ils ne cachent même plus, celle d’un malthusianisme démographique qui n’a rien de scientifique. Ils commencent par décrire la situation de manière subjective : « Nous mettons en péril notre avenir en refusant de modérer notre consommation matérielle intense mais géographiquement et démographiquement inégale, …. en échouant à limiter adéquatement la croissance de la population » . Il ne faut pas, dès lors, s’étonner de les voir faire des recommandations (n° 8 et 13) qui n’ont plus rien de scientifiques : « réduire encore le taux de fécondité en faisant en sorte qu’hommes et femmes aient accès à l’éducation et à des services de planning familial, particulièrement dans les régions où ces services manquent encore… déterminer à long terme une taille de population humaine soutenable et scientifiquement défendable tout en s’assurant le soutien des pays et des responsables mondiaux pour atteindre cet objectif vital » !
On trouve d'ailleurs, dans la liste des signataires, Jacques Testart, médecin auteur du premier bébé éprouvette en France en 1982. Dans son blog personnel, il parle de la surpopulation comme un des « éléments constitutifs de notre période [qui] sont inédits ».

Dans cette affaire, on est loin de la science, mais on est surtout proche d’une vision politique relevant du lobby et du jeu médiatique pour faire pression. Les signataires ne s’en cachent pas : « il est possible de vaincre n’importe quelle opposition… Les responsables politiques étant sensibles aux pressions…,   les transitions exigent une pression de la société civile… ». Il est d'ailleurs symptomatique de voir que, dans leur esprit, ceux qui ne partagent pas leurs conclusions scientifiques sont des « opposants » !

Nous proposons ci-dessous le texte exact de l’appel, la liste des signataires français, et les raisons qui conduisent des centaines de scientifiques à chercher du côté de l’activité solaire l’explication de la période chaude contemporaine. Il en ressort que cette alerte sonne faux. La seule alerte qui mériterait d'être sonnée, c'est celle de la mobilisation contre la pauvreté mondiale.

Commentaire "les2ailes.com"

1- L’absence de spécialistes de détection attribution parmi les signataires

Tous les signataires de l’appel appartiennent à de multiples disciplines : quelques climatologues et océanographes, thermo-physiciens, glaciologues, agronomes, biologistes, mathématiciens, chimistes, astronomes, hélio-sismologies. Ils s’emploient, tous avec sérieux, à en comprendre les mécanismes. Mais qu’y a-t-il de commun entre chacune de ces spécialités, entre la recherche sur les facteurs causaux ou résultants de la variation climatique ?
Quelle science est légitime pour quantifier des relations de cause à effet ? Une telle méthodologie existe. Il s’agit d’une branche de la systémique, l’« identification  des systèmes dynamiques et complexes », discipline enseignée dans toute les universités depuis plus de 30 ans.
Le Groupement intergouvernemental des études sur l’évolution du climat (Giec) a consacre 131 pages à cette discipline (Giec AR5, chap 10), lui donnant le nom de "Détection et attribution", détection d’un effet, la température, et son attribution à une cause. Faut-il encore que les causes soient ouvertes (CO2, volcans, soleil,…). 
Or, il n’y a aucun spécialiste de Détection-attribution dans les signataires de cet appel. Nous donnons ici la liste des signataires de référence et de ceux originaires de France[2].

2- En science, le « Consensus » est sans objet : ce n’est qu’un argument d’autorité

2.1- Les parti-pris du Giec

Pourquoi le Giec a-t-il reçu mission de "comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d'origine humaine" (Cf: Principes de gouvernance Giec-§ 2). Exclut-il, a priori, l’effet de l’activité solaire en se limitant à l’origine humaine (sic) ?

Les grands praticiens de l’identification -or ils sont moins d’une dizaine au Giec- savent que pour qu’une détection/attribution soit fondée, il faut :

  • Retenir des observations sur environ 1.000 ans pour expliquer
    - tant l'« Optimum médiéval » correspondant à la période chaude du 10ème au 14ème siècle, à l’époque du Groenland, étymologiquement « terre verte »
    - que le petit âge glaciaire de Louis XIV à la Bérésina
    Quelle légitimité a le Giec à se limiter à 150 ans d'observations (Giec AR5, Chap. 10,  Fig. 10.1, p. 107)?
  • Ne pas confondre les causes et les effets d’un mécanisme. Le Giec a-t-il raison d’introduire El Nino dans les facteurs causaux (Giec, AR5, Fig 10.5) ? On sait que ces oscillations océano-atmosphériques du pacifique sud ne sont que des boucles internes de la mécanique climatique, et ne sont pas causes des variations longues. Comment comprendre que le Giec puisse dire que la "détection attribution" « n’exige ni n’implique que chaque aspect de la réponse au facteur causal en question soit correctement simulé » (Giec- AR5- chap2.1) ?
  • Chiffrer, avec de véritables tests d’hypothèses, les fourchettes de sensibilité du climat à chacune des causes envisagées. Or le Giec parle d’une probabilité de 95% que le réchauffement soit d’origine humaine, et ajoute qu’il s’agit d’une probabilité non calculée et subjective et que « les probabilités "Objectives" et "Subjectives" ne sont pas toujours explicitement distinguées » (Giec AR5 GT2, § 2.6.2)
  • Ne pas nécessairement utiliser des « modèles de connaissances » complexes. Le Giec est-il fondé à utiliser des modèles de « planètes numériques » si complexes qu’il ne retient, dans ses calculs que "des conditions de ciel clair et libres d’aérosols; l'introduction de nuages compliquerait grandement les objectifs de la recherche" (Giec WGI-AR5_WGI 8.3.1) ? L’introduction excessive de données théoriques n’améliore pas le fonctionnement des modèles : le Giec reconnait que la moindre « complexité ajoutée, bien que destinée à améliorer certains aspects du climat simulé, introduit aussi de nouvelles sources d’erreur possible » et que « de nouvelles interactions entre les composantes des modèles qui peuvent, ne serait-ce que temporairement, dégrader une simulation de modèle sur d’autres aspects du système climatique »  (Giec, AR5, chap 9 FAQ, p.82).
  • Expliquer a postériori les écarts entre les observations et les prévisions annoncées. Or le Giec  a été incapable de prévoir, et maintenant d'expliquer, les raisons de la panne du réchauffement observée depuis 15 ans, hiatus que le Giec lui même reconnait : « une confiance moyenne que la différence de tendance entre les modèles et les observations durant 1998-2012 est causée à un degré substantiel par la variabilité interne, avec une possible contribution venant d’erreurs de forçage et une surestimation par certains modèles de la réponse à l’augmentation de forçage par les gaz à effet de serre ». (Giec -WG1-AR5 - Chap 9  743).

Pourtant, le Giec a mis en place un « Good practice guidance paper on detection and attribution related to anthropogenic climate change ». Mais ce guide pratique souffre de plusieurs lacunes :

  • Son titre lui-même indique que l’attribution est fixée a priori puisqu’il est sensé s’appliquer au changement climatique « anthropogénique » (sic).  Or, une approche par identification doit rester ouverte aux principales causes et chiffrer leur sensibilité au climat
  • Ses auteurs ne sont qu’au nombre de sept, menés par son leader, Mme Gabriele Hegerl. On ne peut plus parler de milliers de scientifiques spécialistes de la quantification des relations de cause à effet.
  • Ce guide ne donne aucune précision sur les méthodologies retenues, ni sur la manière d’estimer les états du système climatique à partir de mesures incomplètes ou bruitées (utilisation éventuelle de filtres de Kalman), ni sur les test d’hypothèses utilisés pour valider des hypothèses extrêmes, ni sur les tests de projections rétroactives pour vérifier que telle situation réalisée était prévisible avec les modèles utilisés. Pourquoi cette absence ? Probablement parce que ses auteurs ne se sont jamais confrontés à la communauté internationale des milliers de scientifiques praticiens de cette discipline.

2.2- L’activité solaire est le facteur essentiel.

  • A contrario, il existe d’autres études appliquant l’identification au système climatique et qui respectent les règles de la méthode par identification. Pour en rester à l’étude d’un auteur français, citons la maison d'édition Elsevier B.V. qui a mis en ligne le 25 octobre 2016, un article, intitulé « identification du climat terrestre vs. détection et attribution ». Cette publication, référencé sur le site ScienceDirect, a été revu dans les règles par les pairs du comité de lecture de Annual Reviews in Control (ARC, 2016 1-12), une des sept revues scientifiques de l'IFAC, fédération internationale qui regroupe des milliers d'experts en contrôle, automatique et modélisation des systèmes complexes. Son auteur conclut que « avec un niveau de probabilité de 90%, on ne peut pas rejeter l'hypothèse d'une contribution anthropogénique nulle ou insignifiante ». Par ailleurs, « l'hypothèse d'une faible contribution de l'activité solaire doit être rejetée avec un niveau de probabilité supérieur à 90% ».

L’article clarifie les origines des contradictions entre ses conclusions et celles de la méthode de détection et attribution telle que pratiquée par le Giec.
L’auteur de cette publication explique également que: « Ni les consensus, ni les votes n'ont de place en science; seules les preuves importent. A l’argument d’autorité, Descartes opposait l’autorité de l’argument. Or, le consensus n'est qu'une soumission à l'argument d'autorité, le plus faible qui soit ». Dès lors, pourquoi le Giec a-t-il reçu mission de « travailler par consensus » (communiqué Giec n° 2015/19)?

  • Cette publication mettant en cause l’origine anthropique de la période chaude contemporaine n’est pas la seule. Chaque année, plus d’une centaine de papiers, publiés dans des revues mondiales avec comité de lecture, voit dans les variations d’activités solaires l’explication de la fin du XXème siècle. Citons, pour nous limiter aux plus récentes, à quelques exemples :
  • le 1er avril 2017, dans l’International Research Journal of Advanced Engineering and Science, Sudhir K.Pandey et S.C.Dubey, Professeurs à l’Institut Indien de technology de Mandi, écrivent que « les rayonnements électromagnétiques qui coule de l’activité solaire sont importants sur les variations climatiques à long terme ».
  • le 1er mars 2017, dans Quaternary cience Reviews, Andreas Koutsodendris, professeur à l’université de Heidelberg, montre que le « petit âge glaciaire (LIA) est marquée par une longue période multi-centennale de refroidissement (14-19èmes siècles de notre ère) qui a précédé le récent « réchauffement global » du 20ème siècle. Le refroidissement a été principalement attribué à la réduction de l’activité solaire ».
  • le 1er mars 2017, dans Quaternary Science Reviews,  Jianyong Li, professeur de biochimie à l’institut polytechnique de Virginie, écrit que « l’activité solaire pourrait jouer un rôle clé dans la conduite des fluctuations climatiques ». Il ajoute que « le renforcement de l’activité solaire pouvait être considérablement amplifiée par les variations dans le rayonnement ultraviolet, mais aussi par celle des nuages ».
  • le 9 février 2017, dans Climate of the past, Ernesto Tejedor, professeur à l’université de Saragosse, parle de l’activité solaire comme « moteur principal à grande échelle des épisodes chauds et froids». Il définit « Quatre périodes chaudes - 1626-1637, 1800-1809, 1845-1859 et 1986–2012- identifiés pour correspondre à l’augmentation de l’activité solaire ». Il fait « arrêter à 2012 la période chaude contemporaine ».

N’importe quel esprit curieux, et un tant soit peu habitué à la consultation des grandes revues scientifiques avec comités de lecture, pourrait en citer ainsi des dizaines et des dizaines.

2.3- Que faire ?

Le propos n’est pas de prendre une position dans une science encore balbutiante.
Il s’agit aujourd’hui de savoir, s’il faut adhérer à des politiques économiques injustifiées. Le Directeur de l’AFD (Agence française de développement), Gaël Giraud, prétend que « les investissements nécessaires dans les infrastructures vertes pour la décarbonation de la planète ont été évalués autour de 2.000 milliards/an pour les pays du  nord et 4.000 milliards $/ an pour ceux du sud » (source Figaro 5.11.2017).
Est-on sûr qu’il n’y a pas d’autres priorités sociales et économiques pour préparer l’avenir des générations futures et des populations les plus pauvres ? 

2.4- Quels sont les conséquences des variations climatiques ?

Reste à se demander si les conséquences catastrophiques invoquées sont plus fondées scientifiquement. Le Giec, lui-même reconnaît l’absence de preuves sur les éléments suivants :

  • Concernant les vagues de chaleur et les sécheresses
    « Les épisodes de sécheresse du dernier millénaire étaient d’une plus grande ampleur et d’une durée plus longue que ceux observés dans de nombreuses régions depuis le début du XXe siècle (degré de confiance élevé) ». (Rapport GIEC - AR5)
  • Concernant les inondations
    « On peut dire avec un degré de confiance élevé que des inondations plus importantes que celles observées depuis 1900 se sont produites au cours des cinq derniers siècles dans le nord et le centre de l’Europe, dans l’ouest de la région méditerranéenne et dans l’est de l’Asie ». (Rapport GIEC - AR5 § 2.6.2 et 5.5.5)
  • Concernant les cyclones
    « La confiance reste faible quant aux changements d’activités sur le long terme des cyclones tropicaux".... "les chiffres actuels n’indiquent pas de tendance significative dans la fréquence des cyclones tropicaux par rapport au passé" (« Résumé 2013 pour les décideurs » du Giec p. 7/60). En nombre, il n’y a donc pas de tendance significative. Ajoutons, concernant leur puissance que l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA)  dénombre de 1924 à 2017 plus de 24 cyclones de force> 5, soit environ un tous les 4 ans.[3]

Une autre étude reprise par Ban ki Moon, Secrétaire générale de l’ONU, et présentée à Davos en 2015 pourrait paraître sérieuse. Elle est intitulée "Planetary Boundaries  (PB): Guiding human development on a changing planet" (revue Sciences Express, publiée le 15 janvier 2015).

Pourtant ses auteurs reconnaissent la faiblesse de leurs preuves sur les quelques risques suivants :

  • Concernant la biodiversité
    L’étude PB retient trois concepts :
    - Variabilité Phylogénétique des Espèces (PSV), mais les données sont « non disponibles au niveau mondial ».
    -Taux Mondial d’Extinction . … Mais, « il peut y avoir un risque important dans l’utilisation du taux d’extinction comme variable de contrôle ».
    - Indice d’Intégrité de la Biodiversité (BII). …,mais, « en raison d'un manque de preuves…, nous avons proposé une frontière préliminaire à 90% de la BII, mais avec une très large gamme d'incertitude (90-30 de%) qui reflète les grandes lacunes dans nos connaissances sur le BII-Terre système fonctionnement relation » .
    L’étude PB reconnait que « nous ne savons ni les niveaux, ni les types de perte de biodiversité, qui peuvent éventuellement déclencher des changements non linéaires ou irréversibles du Système-Terre ».
  • Concernant l’acidification des océans
    L’étude PB ajoute en même temps  que "l'hétérogénéité géographique est importante pour suivre la nature des limites pour les océans du monde". et que "aucune nouvelle preuve n’a émergé pour suggérer que la limite proposée devrait  être ajustée".
  • Concernant les particules fines
    L’étude PB reconnait que « la connaissance définitive des sources ou caractéristiques des spécificités de particules fines PM25 qui seraient en corrélation à long terme avec la mortalité fait défaut »…. « En conséquence, les estimations des causes de morbidité attribuées à la pollution de l’air ambiant dans ces endroits, ont dû être fondées sur des extrapolations ». Rien n’est évoqué dans l’étude sur l’impact des vents de sable, des poussières volcaniques et des pollens emportés à plus de 3.000 m d’altitude[4].

Citons, également, un rapport de référence intitulé "Global Estimates 2014 - People displaced by disasters", établi par deux institutions reconnues par l’ONU, le Norwegian Refugee Comite (NRC)  et l’Internal Displacement Monitoring et

  • Concernant les réfugiés climatiques
    Les auteurs ne parlent pas de « réfugiés climatiques », mais des conséquences liées aux "catastrophes liées aux risques géophysiques", en précisant qu’il s’agit de "risques naturels liés au hasard "[5]. Les auteurs expliquent l’évolution : "Les chiffres, dit l’étude, ont augmenté parce que les villes ont triplé de dimension, parce que les mesures de prévention sont plus efficaces et qu’il y a donc plus de survivants qui sont déplacés". Il ne faut pas confondre les personnes fuyant la pauvreté et celles qui sont déplacées suite à une catastrophe naturelle, dont les conséquences sont toujours proportionnelles à leur degré de pauvreté.

Citons, enfin, un ensemble d’études

  • Concernant l’avenir des états insulaires du pacifique
    Le Giec évoque une hausse moyenne sur l’ensemble de la planète de l’ordre de 1,8 à 3,1 mm/an.  Mais, il faut noter que la période d’enregistrement de données satellitaires, qui permettent de quantifier les variations du niveau marin, est courte (moins de 20 ans) au regard des constantes de temps des phénomènes observés[6].
    Il importe de prendre beaucoup de recul pour relativiser ces chiffres et bien voir la situation générale de ces îles. :
    Ces îles sont situées entre les plaques  tectoniques « pacifique » et « australienne ». Ces plaques dérivent dans des directions différentes à la vitesse de 12 cm/an (Dubois et al., 1977). et varie en fonction de la tectonique locale (Pelletier et al., 1998 ; Bergeot et al., 2009).  Ces mouvements rapides sont à l’origine :
    - de volcans qui ont émergé au milieu de fosses de plus de 7.500 m de profondeur
    - de séismes qui peuvent provoquer des mouvements verticaux des îles. Par exemple les îles  Torrès ont subi un mouvement ascendant estimé à plus de 50 cm en 1997 (déformation cosismique) puis sont descendues lentement de 11 cm sur la même période (subsidence intersismique). (Ballu et al.2011)
    Enfin, ces îles sont au centre des zones touchées par le phénomène El Nino qui crée un « empilement » des eaux océaniques du côté de l’Australie-Indonésie. Le niveau marin y est plus haut de 60 centimètres par rapport à celui des côtes du Pérou-Équateur. En période de El Niño, le niveau marin monte dans la partie Est du bassin Pacifique par l’action combinée de la dilatation thermique et de l’affaiblissement des alizés; en contrepartie, une baisse du niveau marin est observée à l’ouest du bassin  (McPhaden, 2004).
    Toutes ces études scientifiques montrent à quel point les mesures de niveau relatif entre les îles du Pacifique et de l’Océan ne sont pas significatives pour établir quelque prévision que ce soit.

2.5- Sonnons plutôt l'alerte contre la pauvreté...

Le concept de « pollution globale » a pour but de faire peur, même si celui de « pollution locale » est une réalité. Dès lors qu’on parle de pollution globales et planétaires, on est rapidement dans le discours incantatoire plus que dans la preuve scientifique. Certains n’en doutent pas et mettent en avant le catastrophisme éclairé. Pour une prétendue bonne cause, il faudrait mentir un peu et faire peur pour mobiliser les opinions. Un tel comportement est plus démobilisateur qu’autre chose sur le long terme.
La seule alerte qui mériterait d'être sonnée, c'est celle de la lutte contre la pauvreté. Ce ne sont pas les solutions pseudo écologiques qui donneront des solutions: la frugalité par précaution ne sauvera pas la planète et le partage n'apporte pas de solution à long terme... même si frugalité et partage sont des vertus qu'il convient de pratiquer pour se convertir.  Il y a des règles dans le commerce international qui sont bien plus graves car elles mettent en concurrence les riches et les pauvres. Dans ce genre de situation, on sait à l'avance qui sont les perdants. 

3- Le texte du Manifeste.

Le cri d’alarme des quinze mille scientifiques sur l’état de la planète » a été traduit dans le journal « Le Monde »
La revue « BioScience » a publié le 13 nov. 2017, ce manifeste, signé par 15 364 scientifiques de 184 pays.
L’article a été rédigé par  William J. Ripple, Christopher Wolf, Thomas M. Newsome, Mauro Galetti, Mohammed Alamgir, Eilleen Crist, Mahmoud I. Mahmoud et William F. Laurance.

Le texte est le suivant :
Il y a vingt-cinq ans, en 1992, l’Union of Concerned Scientists et plus de 1 700 scientifiques indépendants, dont la majorité des lauréats de prix Nobel de sciences alors en vie, signaient le « World Scientists’Warning to Humanity ». Ces scientifiques exhortaient l’humanité à freiner la destruction de l’environnement et avertissaient : « Si nous voulons éviter de grandes misères humaines, il est indispensable d’opérer un changement profond dans notre gestion de la Terre et de la vie qu’elle recèle. » Dans leur manifeste, les signataires montraient que les êtres humains se trouvaient sur une trajectoire de collision avec le monde naturel. Ils faisaient part de leur inquiétude sur les dégâts actuels, imminents ou potentiels, causés à la planète Terre, parmi lesquels la diminution de la couche d’ozone, la raréfaction de l’eau douce, le dépérissement de la vie marine, les zones mortes des océans, la déforestation, la destruction de la biodiversité, le changement climatique et la croissance continue de la population humaine. Ils affirmaient qu’il fallait procéder d’urgence à des changements fondamentaux afin d’éviter les conséquences qu’aurait fatalement la poursuite de notre comportement actuel.
Les auteurs de la déclaration de 1992 craignaient que l’humanité ne pousse les écosystèmes au-delà de leurs capacités à entretenir le tissu de la vie. Ils soulignaient que nous nous rapprochions rapidement des limites de ce que la biosphère est capable de tolérer sans dommages graves et irréversibles. Les scientifiques signataires plaidaient pour une stabilisation de la population humaine, et expliquaient que le vaste nombre d’êtres humains – grossi de 2 milliards de personnes supplémentaires depuis 1992, soit une augmentation de 35 % – exerce sur la Terre des pressions susceptibles de réduire à néant les efforts déployés par ailleurs pour lui assurer un avenir durable. Ils plaidaient pour une diminution de nos émissions de gaz à effet de serre (GES), pour l’abandon progressif des combustibles fossiles, pour la réduction de la déforestation et pour l’inversion de la tendance à l’effondrement de la biodiversité.
En ce vingt-cinquième anniversaire de leur appel, il est temps de se remémorer leur mise en garde et d’évaluer les réponses que l’humanité lui a apportées en examinant les données de séries chronologiques disponibles. Depuis 1992, hormis la stabilisation de l’amenuisement de la couche d’ozone stratosphérique, non seulement l’humanité a échoué à accomplir des progrès suffisants pour résoudre ces défis environnementaux annoncés, mais il est très inquiétant de constater que la plupart d’entre eux se sont considérablement aggravés. Particulièrement troublante est la trajectoire actuelle d’un changement climatique potentiellement catastrophique, dû à l’augmentation du volume de GES dégagés par le brûlage de combustibles fossiles, la déforestation et la production agricole – notamment les émissions dégagées par l’élevage des ruminants de boucherie. Nous avons en outre déclenché un phénomène d’extinction de masse, le sixième en 540 millions d’années environ, au terme duquel de nombreuses formes de vie pourraient disparaître totalement, ou en tout cas se trouver au bord de l’extinction d’ici à la fin du siècle.
L’humanité se voit aujourd’hui adresser une seconde mise en garde motivée par ces inquiétantes tendances. Nous mettons en péril notre avenir en refusant de modérer notre consommation matérielle intense mais géographiquement et démographiquement inégale, et de prendre conscience que la croissance démographique rapide et continue est l’un des principaux facteurs des menaces environnementales et même sociétales. En échouant à limiter adéquatement la croissance de la population, à réévaluer le rôle d’une économie fondée sur la croissance, à réduire les émissions de GES, à encourager le recours aux énergies renouvelables, à protéger les habitats naturels, à restaurer les écosystèmes, à enrayer la pollution, à stopper la « défaunation » et à limiter la propagation des espèces exotiques envahissantes, l’humanité omet de prendre les mesures urgentes indispensables pour préserver notre biosphère en danger.
Les responsables politiques étant sensibles aux pressions, les scientifiques, les personnalités médiatiques et les citoyens ordinaires doivent exiger de leurs gouvernements qu’ils prennent des mesures immédiates car il s’agit là d’un impératif moral vis-à-vis des générations actuelles et futures des êtres humains et des autres formes de vie. Grâce à un raz-de-marée d’initiatives organisées à la base, il est possible de vaincre n’importe quelle opposition, aussi acharnée soit-elle, et d’obliger les dirigeants politiques à agir. Il est également temps de réexaminer nos comportements individuels, y compris en limitant notre propre reproduction (l’idéal étant de s’en tenir au maximum au niveau de renouvellement de la population) et en diminuant drastiquement notre consommation par tête de combustibles fossiles, de viande et d’autres ressources.
La baisse rapide des substances destructrices de la couche d’ozone dans le monde montre que nous sommes capables d’opérer des changements positifs quand nous agissons avec détermination. Nous avons également accompli des progrès dans la lutte contre la famine et l’extrême pauvreté. Parmi d’autres avancées notables, il faut relever, grâce aux investissements consentis pour l’éducation des femmes et des jeunes filles, la baisse rapide du taux de fécondité dans de nombreuses zones, le déclin prometteur du rythme de la déforestation dans certaines régions, et la croissance rapide du secteur des énergies renouvelables. Nous avons beaucoup appris depuis 1992, mais les avancées sur le plan des modifications qu’il faudrait réaliser de manière urgente en matière de politiques environnementales, de comportement humain et d’inégalités mondiales sont encore loin d’être suffisantes.
Les transitions vers la durabilité peuvent s’effectuer sous différentes formes, mais toutes exigent une pression de la société civile, des campagnes d’explications fondées sur des preuves, un leadership politique et une solide compréhension des instruments politiques, des marchés et d’autres facteurs. Voici – sans ordre d’urgence ni d’importance – quelques exemples de mesures efficaces et diversifiées que l’humanité pourrait prendre pour opérer sa transition vers la durabilité :

  1. privilégier la mise en place de réserves connectées entre elles, correctement financées et correctement gérées, destinées à protéger une proportion significative des divers habitats terrestres, aériens et aquatiques – eau de mer et eau douce ;
  2. préserver les services rendus par la nature au travers des écosystèmes en stoppant la conversion des forêts, prairies et autres habitats originels ;
  3. restaurer sur une grande échelle les communautés de plantes endémiques, et notamment les paysages de forêt ;
  4. ré-ensauvager des régions abritant des espèces endémiques, en particulier des superprédateurs, afin de rétablir les dynamiques et processus écologiques ;
  5. développer et adopter des instruments politiques adéquats pour lutter contre la défaunation, le braconnage, l’exploitation et le trafic des espèces menacées ;
  6. réduire le gaspillage alimentaire par l’éducation et l’amélioration des infrastructures ;
  7. promouvoir une réorientation du régime alimentaire vers une nourriture d’origine essentiellement végétale ;
  8. réduire encore le taux de fécondité en faisant en sorte qu’hommes et femmes aient accès à l’éducation et à des services de planning familial, particulièrement dans les régions où ces services manquent encore ;
  9. multiplier les sorties en extérieur pour les enfants afin de développer leur sensibilité à la nature, et d’une manière générale améliorer l’appréciation de la nature dans toute la société ;
  10. désinvestir dans certains secteurs et cesser certains achats afin d’encourager un changement environnemental positif ;
  11. concevoir et promouvoir de nouvelles technologies vertes et se tourner massivement vers les sources d’énergie vertes tout en réduisant progressivement les aides aux productions d’énergie utilisant des combustibles fossiles ;
  12. revoir notre économie afin de réduire les inégalités de richesse et faire en sorte que les prix, les taxes et les dispositifs incitatifs prennent en compte le coût réel de nos schémas de consommation pour notre environnement ;
  13. déterminer à long terme une taille de population humaine soutenable et scientifiquement défendable tout en s’assurant le soutien des pays et des responsables mondiaux pour atteindre cet objectif vital.

Pour éviter une misère généralisée et une perte catastrophique de biodiversité, l’humanité doit adopter une alternative plus durable écologiquement que la pratique qui est la sienne aujourd’hui. Bien que cette recommandation ait été déjà clairement formulée il y a vingt-cinq ans par les plus grands scientifiques du monde, nous n’avons, dans la plupart des domaines, pas entendu leur mise en garde. Il sera bientôt trop tard pour dévier de notre trajectoire vouée à l’échec, car le temps presse. Nous devons prendre conscience, aussi bien dans nos vies quotidiennes que dans nos institutions gouvernementales, que la Terre, avec toute la vie qu’elle recèle, est notre seul foyer ». 

 

[1] Sur les 923 signataires français, on trouve  essentiellement des biologistes travaillant à l’INRA (133), du CIRAD (17), de l’Agro-Paris-Tech (20), Muséum national d’Histoire Naturelle (32),  IFREMER (26), Mais surtout, l’immense majorité des chercheurs cités au CNRS (184), dans les laboratoires d’université (150) et à l’Institut de Recherche pour le développement.

[2] La liste des signataires est la suivante

  • William J. Ripple, affiliés au Global Trophic Cascades Program du Département des écosystèmes forestiers et de la société de l'Oregon State University, à Corvallis
  • Christopher Wolf , affiliés au Global Trophic Cascades Program du Département des écosystèmes forestiers et de la société de l'Oregon State University, à Corvallis
  • Thomas M. Newsome affiliés au Global Trophic Cascades Program du Département des écosystèmes forestiers et de la société de l'Oregon State University, à Corvallis et affilié au Center for Integrative Ecology de l'Université Deakin, à Geelong, en Australie, et à l'École des sciences de la vie et de l'environnement de l'Université de Sydney, en Australie.
  • Mauro Galetti is affiliated with the Instituto de Biociências, Universidade Estadual Paulista, Departamento de Ecologia, in São Paulo, Brazil. Mauro Galetti est affilié à l'Instituto de Biociências, Universidade Estadual Paulista, Departamento de Ecologia, à São Paulo, au Brésil.Mohammed Alamgir is affiliated with the Institute of Forestry and Environmental Sciences at the University of Chittagong, in Bangladesh.
  • Mohammed Alamgir est affilié à l'Institut des sciences forestières et environnementales de l'Université de Chittagong, au Bangladesh.Eileen Crist is affiliated with the Department of Science and Technology in Society at Virginia Tech, in Blacksburg.
  • Eileen Crist est affiliée au Département de la science et de la technologie dans la société à Virginia Tech, à Blacksburg.Mahmoud I. Mahmoud is affiliated with the ICT/Geographic Information Systems Unit of the National Oil Spill Detection and Response Agency (NOSDRA), in Abuja, Nigeria.
  • Mahmoud I. Mahmoud est affilié à l'Unité des systèmes d'information géographique et des TIC de l'Agence nationale de détection et d'intervention en cas de déversement de pétrole (NOSDRA), à Abuja, au Nigéria.William F. Laurance is affiliated with the Centre for Tropical Environmental and Sustainability Science and the College of Science and Engineering at James Cook University, in Cairns, Queensland, Australia.
  • William F. Laurance est affilié au Centre de science de l'environnement et de la durabilité tropicale et au Collège des sciences et de l'ingénierie de l'Université James Cook, à Cairns, Queensland, en Australie.

Les signataires français sont : 

      

  • Eric ABADIE, chercheur à l’IFREMER,
  • Ahmed ABBES, CNRS
  • Nadine ABOUL-HASSAN, étudiante à l’Université du Cap
  • Mehdi ADJEROUD, Directeur de recherche à l’IRD
  • Antoine AFFOUARD, Ingénieur R&Den biodiversité à l’INRIA
  • Mikael AGOPIANTZ, Physicien à l’Université de Lorraine
  • Albert AGOULON, maître de conférences à l’ONIRIS de Nantes
  • Omar LALOUI, étudiant à LSCE
  • Cédric ALAUX, Assistant à l’INRA
    Béatrice ALBERT, chercheur à Paris-Sud
  • Céline ALBERT, étudiante
  • Jérôme ALBRE, Assistant à Université de Corse
  • Joan-Manel ALFARO-LUCAS, Msc à l’IFREMER
  • François ALAL, chercheur à l’IFREMER
  • Bernard AMIAUD, professeur à l’université de Lorraine
  • Marcel AMICHOT, Scientifique à l’INRA-CNRS de l’ISA
  • Marc ANCRENAZ, Directeur scientifique à l’HUTAN
  • Christophe ANDALO, assistant d’Université
  • Martin ANDRADE RESTREPO, étudiant à Paris-Diderot,
  • Anaïs ANDRE, Msc de Biodiversité
  • Bruno ANDRIEU, sénior à l’INRA
  • Annie-Claude ROCHE, chercheur retraité du CBM-CNRS
  • Marie-Charlotte ANSTETT, Assistante au CNRS
  • Pierre-Olivier ANTOINE, professeur de paléontologie à l’Institut des Sciences de l’Evolution à Montpellier
  • Arnaud APOTEKER, directeur à DAC
  • Eleonora AQUILINI, Post-Doc en microbiologie au CNRS de Montpellier
  • Pierre ARNAL, étudiant au MNHN,
  • Sophie ARNAUD HAOND, écologiste
  • Satah ASDAR, étudiant à l’Université de Bretagne occidentale
  • Maryam ASFARI, immunologiste retraité à l’INSERM
  • Daniel AUCLAIR, écologiste retraité à l’INRA
  • Stéphane AULANIER, professeur à l’Université de Toulouse
  • Olivier AUMONT, océanographe à l’IRD
  • Didier AURELLE, professeur de biologie à Aix-Marseille
  • Angel AVADI, chercheur au CIRAD
  • Jean-Christophe AVARRE, chercheur en biologie à l’IRD
  • Sakina-Dorothée AYATA, professeur à la Sorbone, CNRS et UMPC-Paris-6
  • Clémentine AZAM, PhD au musée d’histoire naturelle
  • Julien BACHELIER, Botaniste à Berlin
  • Cécile BACLES, Chercheur au CNRS
  • Brigitte BAGNOL, anthropologue à Sydney
  • Elisa BALDRIGI, post-doc à l’IFREMER
  • Yves BALKANSKI, dr. adj. à l’institut Pascal
  • Liliana BALLESTEROS-MEJIA, Post-doc au Musée d’Histoire naturelle
  • Mathieu BARBIER, au CNRS
  • Nicolas BARBIER, Chercheur à l’IRD, UMR et AMAP
  • Pietro BARBIERI, étudiant à l’INRA
  • Agnès BARDONNET, chercheur à l’INRA
  • Bruno BARENTON, PhD à l’INRA
  • Avner BAR-HEN, Professeur au CNAM
  • Chéïma BARHOUMI, étudiant à l’ISEM de Montpellier
  • Jean-Alix BARRAT, Professeur à l’Université de Bretagne occidentale
  • Sylvain BART, étudiant à l’INRA
    Fabien BARTHELAT, Coordinateur au ministère de l’environnement
  • Yves BAT, chercheur au MNHN,
  • Suzanne BASTIAN, Professeur à l’ONIRIS
  • Thomas BASTIAN, écologiste
  • Ana BASTOS, Post-Doc au LSCE
  • Guillaume BAUDOUIN, PhD à l’IBRI
  • Jérôme BAUDRIER, à l’IFREMER
  • Alex BAUMEL, chercheur à Aix-Marseille
    Rémy BEAUDOUIN, chercheur à l’INERIS
  • Arnaud BECHET, chercheur à Tour du Valat
  • Catherine BELIN, ingénieur à l’IFREMER
  • Imane BELKACEMI, étudiant à l’ITSAP
  • Maxime BELONDRADE, Msc à établissement français du Sang
  • Luc-P BELZUNCES, Directeur de 1ère classe à l’INRA
    Susan BENGTSON NASH, professeur à l’Université de Griffith
  • Matthew-James BENNETT, Msc à Pierre et Marie Curie
  • Piotr BENTKOWSKI, biologiste à l’INSERM-UPMC
  • Sabrina BERLENDIS, Post-doc à l’UBO
  • Jeffrey BERNUS, Scientifique au Parc National de Guadeloupe
  • Dominique BEROULE, chercheur au CNRS,
  • Didier BERT, ingénieur à l’INRA
  • Fabrice BERTILE, chercheur au CNRS-Strasbourg
  • Arnaud NERTRAND, Sénior à l’IRD
  • Colette BERTRAND, Chercheur à l’INRA,
  • Guillaume BESNARD, chercheur au CNRS-UPS
  • Jebri BEYREM, Phd à LOCEAN
  • Clotilde BIARD, professeur à Pierre et Marie Curie
  • Françoise BINET, chercheur au CNRS
  • Francesco BISIAK, PhD à l’EMBL de Grenoble
  • José-Luis BLANCO-PASTOR, post-Doc à l’INRA
  • Agathe BLANDIN, étudiante à l’EPHE
  • Olivier BLIGHT, professeur à Avignon
  • Léo BLONDET, étudiant au CSIRO
  • Joana Boavida, post-Doc à l’IFREMER
  • Stéphanie BODIN, étudiant à ISE de Montpellier
  • Marie-Béatrice BOGEAT-TRIBOULOT, chercheur à l’INRA
  • Sébastien BOINOT, étudiant à l’INRA de Montpellier
  • Frédéric BOIS, chercheur à l’INERIS
  • Loic BOLLACHE, professeur à université de Bourgogne FC
  • Eric BONCOMPAGNI, professeur à Université Côte d’Azur
  • Etienne BONCOURT, étudiant à université de Grenoble
  • François BONHOMME, Dr de recherche au CNRS
  • Maxime BONHOMME, professeur à Université à Toulouse
  • Vincent BONHOMME, professeur à Université à Toulouse
  • Anne BONIS, écologiste au CNRS
  • Jean-Marc BONMATIN, chercheur au CNRS
  • Elsa BONNAUD, Assistant à Paris Sud
  • Pierre BONNET, PhD au CIRAD
  • Marie BONNIN, directeur de recherche à l’IUEM
  • Marcelo BONVICINO, étudiant à Paris-8
  • Célia BORDIER, étudiante à l’INRA
  • Frederic BORNE, Chercheur au CIRAD
  • Nicolas BOROWIEC, entomologiste à l’INRA
  • Umberto BOSI, PhD à l’INRIA-Bordeaux
  • Bertrand BOUCHARD, vétérinaire au CNRS
  • Olivier Boucher, directeur de recherche au CNRS et Institut PS Laplace (IPSL)
  • Alain BOULANGE, professeur, UEM
  • Christophe BOUNI, Dr à l’AScA
  • Malo BOURGET, étudiant à Rennes-1
  • Paul BOURGINE, à l’UNESCO
  • Gilles BOURGOIN, professeur à Vetagro-Sup
  • Yoann BOURHIS, écologiste à l’INRA
  • Jérôme BOURJEA, chercheur à l’IFREMER
  • Julie BOUSQUET, consultant à Coop’Conseils
  • Simon BOWRING, climatologue au LSCE
  • Julie BRASCHI, étudiante à l’IMBE
  • Alain BRAUMAN, sénior à l’IRD
  • Matthieu BRAVIN, chercheur au CIRAD
  • François BRETAGNOLLE, professeur à Université de Bourgogne
  • Michel BREUIL, professeur au ministère de l’Education,
  • Frédéric BRIAND, professeur, au CIESM
  • Joël BRIED
  • Julien BRILLARD, chercheur à l’INRA
  • Sébastien BRITTON, sénior au CNRS-IPBS de Toulouse
  • Anne-Laure BROCHET, chercheur au LPO
  • Charlène BROCHOIRE
  • Sébastien BROSSE, Professeur à Université de Toulouse
  • Carine BROUAT, écologiste à l’IRD
  • Renaud BROUQUISSE, directeur de Recherche de l’INRA
  • Louise BROUSSEAU, PhD à l’IRD
  • Lucas BRUNET, étudiant à l’IRSTEA
  • Daniel BRUNO, Post-Doc à l’IRSTEA,
  • Rémi BUCHET, ingénieur à l’IFREMER
  • Birgit-Katharina BUDDE, post-doc à l’INRA
  • Alexandre BUDRIA, écologiste à l’Agence française de la biodiversité
  • Evelyne BUFFAN-DUBAU, professeur à Toulouse-3
  • Mathieu BUORO, chercheur à l’INRA
  • Christian BURBAN, entomologiste à l’INRA
  • Paco BUSTAMANTE, professeur à la Rochelle
  • Alain BUTET, sénior au CNRS
  • Pauline BUYSSE, ingénieur
  • Manuel CABALLER-GUTIERREZ, assistant au Musée d’Histoire naturelle
  • Alejandro CABEZAS-CRUZ, chargé de recherche à l’INRA
  • Thomas CAIGNARD, étudiant à l’INRA-Bordeaux
  • Martijn CALLENS, post-Doc au CNRS-CEFE
  • Guillaume CAMBRAY, chercheur à l’INRA
  • Roberto CANTONI, post-Doc à Sciences Po
  • Xavier CAPET, physicien au CNRS-LOCEAN
  • Marta CARBONI, Post-Doc au CNRS
  • Gaël CARO, lecteur à l’université de Lorraine
  • Thibault CARON, étudiant à l’ESE-Paris-Sud
  • Matthieu CARRE, Chercheur au CNRS-LOCEAN,
  • Marion CARTERET, chercheur
  • Thomas CARTIER-MICHAUD, Post-Doc au CNRS-Marseille
  • Iker CASTEGE, chercheur à Biarritz
  • Thibault CATRY, chercheur à l’IRD
  • François CATZEFIS, directeur de Recherche à Montpellier
  • Bernard CAZELLES, professeur, Université Pierre et Marie Curie
  • Hélène CECILIA, ingénieur à l’INRA
  • Céline TEPLITSKY, chercheur au CNRS
  • Marianne CERF, chercheur à l’INRA
  • Frank CEZILLY, professeur à Université de Bourgogne ,
  • Karine CHALVET-MONFRAY, professeur à l’INRA-VetAgro Sup
  • Patrick CHAMES, chef d’équipe au CRCM
  • Antony CHAMPION, chercheur à l’IRD
  • Elodie CHAPUIS, chercheur à l’IRD
  • Jean-Louis CHAPUIS, chercheur au Musée d’Histoire naturelle
  • Damien CHARABIDZE, Université de Lille
  • Anne CHARMANTIER, Sénior au CNRS
  • Grégory CHARRIER, Lecteur à Université de Brest
  • Guillaume CHARRIER, Chercheur à l’INRA
    Maryvonne CHARRIER, assistant à Université de Rennes
  • Pierre CHARRIER, étudiant à l’INRA
  • Guillaume CHARRIERE, professeur à Université de Montpellier
  • Aurélien CHATEIGNER, Post-Doc à l’INRA
  • Eric CHAUMILLON, professeur à la Rochelle
  • Eric CHAUVET, sénior au CNRS
  • Thibaud CHAUVIN, étudiant à l’INRA
  • Maxime CHAUVINEAI, Fonctionnaire à l’Agence française de Biodiversité
  • Tarik CHECHAK, directeur à la société Cousteau
  • Julie CHENOT, étudiante à l’IMBE
  • Anne CHENUIL, chercheur au CNRS
  • Yves CHEREL, directeur de recherche au CNRS
  • Isabel CHILLON, Post-doc à l’EMBL Grenoble
  • François CHIRON, Maître de Conférence à Agro Paris Tec
  • Tiphaine CHOUVELON, chercheur en écologie marine
  • Nan-Chin CHU, Affaires internationales à l’IFREMER
  • Philippe CIAIS, cycle du Carbone au LSCE
  • Laure CIVEYREL, Professeur à l’UPS de Toulouse
  • David CLAESSEN, professeur, Normale Sup
  • Guillaume CLAIR, chercheur à EAWAG
  • Fabien CLAIREAU, étudiant au Musée d’histoire naturelle
  • Guy CLAIREAUX, professeur
  • Julien CLAUDE, assistant, à l’ISE-CNRS Montpellier
  • Jean CLOBERT, écologiste, directeur classe exceptionnelle à Academia Europaea-CNRS
  • Arnaud COCHARD, étudiant, INRA
  • Francis CODRON, professeur
    Michael COEURDASSIER, Maître de Conférence, Université Franche Comté
  • Dominique COLINET
  • Hervé COLINET, chercheur permanent au CNRS
  • Adrien COMTE, étudiant à IUEM
  • Chantal CONAND, professeur émérite à la Réunion
  • Lucie CONCHOU, Post-Doc à l’INRA
  • Fabien L. CONDAMINE, chercheur au CNRS-ISEM
  • Patrick COQUILLARD, Professeur à Université de Nice
  • Marion CORDONNIER, étudiante à Claude Bernard de Lyon
  • Xochitl CORMON, Post-Doc à Hambourg
  • Gabriel CORNIC, professeur Honoraire à Paris-Saclay,
  • Camille CORON, assistant, Paris-Sud
  • Jérôme CORTET, Professeur à Paul Valéry de Montpellier
  • Claudia COSIO, professeur à Univ. de Reims
  • Jean-François COSSON, Sénior à l’INRA
  • Julien COTE, chercheur au CNRS
  • Anne COUDRAIN, directeur honoraire de l’IRD
  • Laurent COUNILLON, Professeur à Univ. cote d’Azur
  • Frank COURCHAMP, directeur de recherche CNRS
  • Christine COUSTAU, Direct. de recherche CNRS
  • Marie-Agnès COUTELLEC, chercheur à l’INRA
  • Lydie COUTURIER, post-Doc à l’UBO
  • Denis COUVET, professeur à Musée d’Histoire naturelle,
  • François CRICUOLO, chercheur au CNRS-Strasbourg
  • Anton CROMBACH, chef d’équipe au CIRB, collège de France
  • Astrid CRUAUD, chercheur à l’INRA
  • Philippe CRUAUD, PhD à l’APHP
  • Antonin CRUMIERE, étudiant à L’ENS Lyon
  • Sarah CUBAYNES, professeur à l’EPHE
  • Jean CURY, étudiant, à l’Institut Pasteur
  • Cyrille CZEHER, entomologiste
  • Sylvie DALLOT, chercheur à l’INRA-Montpellier
  • Mattia DAMIANI, chercheur, à l’IRSTEA
  • Franck JN d’AMICO, professeur à Univ. de Pau
  • Damien CHEVALLIER, chercheur au CNRS
  • Jérémy DANIEL, ingénieur à l’IFREMER
  • Jean DAVID, chercheur émérite au CNRS
  • Romain DAVID, biologiste à l’IMBEMC-CNRS
  • Christine DAVID-BEAUSIRE, sénior au LOPS/IUEM de Brest
  • Dominique DAVOULT, professeur à Paris 6
  • Damien DAVID, anthropologiste au CNRS
  • Anouk de BAKKER, post-Doc à la Rochelle
  • Frank de BAKKER, professeur à IESEG de Management
  • Angeles de CARA, CNRS
  • Antoine de DARUVAR, professeur Univ. de Bordeaux
  • Hubert de FORESTA, sénior, IRD
  • Sophie de GRISSAC, chercheur
  • Alexandre de KOSHKO, directeur de recherche à l’IRD
  • Denis de la BROISE, Microbiologiste, Univ. de Bret. Occidentale
  • Ghislain de MARSILLY, professeur, Membre de l’Académie des Sciences
  • Thibaud DECAENS, professeur au CNRS-Montpellier
  • François-Xavier DECHAUME-MONCHARMONT, assistant, Univ de Bourgogne
  • Frank DEDEINE, Assistant, Univ. de Tours
  • Nicolas DEGUINES, chercheur
  • Claude DEJOUX, Directeur de recherche à l’IRD
  • Cedric DEL RIO, étudiant au Musée d’Histoire Naturelle
  • Mathilde DELAUNAY, Musée d’Histoire Naturelle
  • Julien DELORD, Univ de Toulouse
  • Nicolas DEPIERRE, assistant, Paris Sud
  • Christophe DELYE, Biologiste à l’INRA
  • Gaëlle DEMARRE, chercheur au Collège de France
  • Arthur DEMENE, PhD à l’INRA
  • Frantz DEPAULIS, chercheur au CNRS
  • Solange DESAGHER, chercheur au CNRS
  • Julie DESHAYES, océanographe au CNRS
  • Laurence DESPRES, professeur à Univ. Grenoble
  • Frank DHERMAIN, Président du GECEM
  • Marie-France DIGNAC, chercheur à l’INRA
  • Delphine DISSARD, PhD à l’IRD
  • Gauthier DOBIGNY, chercheur à l’IRD
  • Guillaume DODET
  • Johen DOLAN, Directeur de recherche au CNRS
  • Matthieu DOLBEAULT, étudiant, à Normale Sup
  • Blandine DOLIGEZ, chercheur au CNRS
  • Pablo DOMINGUEZ, sénior au CNRS
  • Dominique-Angèle VUITTON, professeur émérite Univ. de Bourgogne
  • Fanny DOMMANGET, chercheur à l’IRSTEA
  • Marie-Claude DOP, chercheur Free Lance
  • Thierry DORE, Professeur à Agro-Paris-Tech
  • Julien DOSSIER, expert en stratégie Carbone chez Quattrolibri
  • Guilhem DOULCIER, étudiant, Normale Sup
  • Jean-François DOUSSIN, professeur à LISA, Paris Est- CNRS
  • Catherine DREANNO, chercheur
  • Vincent DROISSART, chercheur à l’IRD
  • Nicolas DUBOS, au MNHN
  • Catherine DUBREUIL, assistant à l’IRBI
  • Florence DUBS, PhD
  • Frédéric DUCARME, Dr au Musée National d’Histoire naturelle
  • Rémi DUFLOT, écologiste à l’INRA
  • Olivier DUHENE, étudiant à l’ISARA Lyon
  • Anguy DULORMNE, Maître de Conférence
  • Jean-François DUMAS, Biochimiste à l’INERM de Tours
  • Patrick DUNCAN, Chercheur émérite au CNRS
  • Mathilde DUPEYRON, étudiante à l’IRD
  • Sylvain DUPIRE, PhD à l’IRSTEA
  • Marlene DUPRAZ, post-Doc au CNRS
  • Virginie DUPUY, biologiste au CIRAD
  • Patrick DURAND, chercheur au CNRS de Montpellier
  • Laurent DURIEUX, chercheur à l’IRD
  • Michel DURU, directeur de recherche à l’INRA
  • Gérard DUVALLET, Professeur émérite à Univ. Montpellier 3
  • Emilie EGEA, écotoxicologue à la Fondation ROVALTAIN
  • Oumayma EL ATTAR, étudiant à école Vétérinaire de Toulouse
  • Mariane ELIAS, chercheur au CNRS
  • Laure EMPERAIRE, sénior à l’IRD
  • Julien ENGEL, botaniste à l’ICTB
  • Jérôme ENJALBERT, chercheur à l’INRA
  • Manfred ENSTIPP, Post doc à l’IPHC-CNRS
  • Daniel EPRON, professeur à Univ. de Lorraine
  • Gilles ESCARGUEL, Professeur à Univ Lyon-1
  • Jean-Michel ESCOUBAS, chercheur au CNRS
  • Antoine ESNOUF, PhD à l’INRA
  • Estelle BILLARD, étudiante à Univ de Nantes
  • Heather ETCHEVERS, Biologiste à INSERM Aix-Marseille
  • Etienne ROUBY, étudiant à Univ. Pierre et Marie Curie
  • Nicolas FANIN, chercheur à l’INRA,
  • Michel-Pierre FAUCON, professeur à l’UniLaSalle
  • Laurence FAUCONNET, Post-Doc
  • Simon FELLOUS, chercheur à l’INRA
  • Fabien FERCHAUD, Chercheur à l’INRA
  • Juan FERNANDEZ-MANJARRES, chercheur au CNRS
  • Régis FERRIERE, professeur à ENS d’Arizona
  • Virgil FIEVET, Professeur à Univ. de Bordeaux
  • Emeric FIGUET, étudiant à l’ISEM
  • Alessandro FISOGNI, post-doc à Univ. de Lille
  • Hélène FLEURBAEY, étudiant à l’ENS/UPMC
  • Benoît FONTAINE, ingénieur au Musée National d’Histoire Naturelle
  • Sandrine FONTAINE, ingénieur au CNRS
  • Marie-Béatrice FOREL, assistant au Musée National d’Histoire Naturelle
  • Pierre-Michel FORGET, professeur au Musée National d’Histoire Naturelle
  • Thomas FOUCART, PhD à Univ. de Rennes
  • Julien FOUCAUD, ingénieur à l’INRA
  • Marie-Alice FOUJOLS, Climatologue à l’IPSL
  • Lisa FOURTUNE, étudiante à Sète
  • Antoine FRAIMOUT, post-Doc à l’INRA
  • Sara FRAIXEDAS, Post Doc
  • Alain FRANC, Sénior à l’INRA
    Thibaut FRANCE, étudiant
  • Charlotte FRANCESIA, chercheur à l’ONCFS
  • Franck BOUE, biologiste à l’ANSES
  • Christophe FRANCOIS, chercheur au CNRS
  • François SARAH, étudiant à l’INRA
  • François GUEROLS, professeur à l’univ. de Lorraine
  • Françoise GAUTIER, PhD à Univ. des Antilles
  • Frédérique SANTI, généticien à l’INRA
  • Thibaut FREJAVILLE, PhD à Bordeaux
  • Grégoire FRESCHET, chercheur au CNRS
  • Guillaume FRIED, chercheur à l’ANSES
  • Jean-Marc FRIGERIO, informaticien à l’INRA
  • Clémentine FRITSCH, chercheur au CNRS
  • Jérôme FUCHS, professeur au Musée National d’Histoire Naturelle
  • Boris FUMANAL, professeur à l’INRA-Auvergne
  • Julien FUMEY, post-Doc au CNRS Paris Sud
  • Sophie GACHET, assistant univ d’Aix-Marseille
  • Leslie GAGER, étudiant à l’IUEM
  • Elie GAGET, étudiant au MNHN
  • Maxime GALAN, écologiste à l’INRA
  • Susan GALLON, écologiste à l’AFB
  • Mélina GALLOPIN, Professeur à Paris Sud
  • Anthony GANDIN, assistant à Univ. de Lorraine
  • Benoît GANGLOFF, écologiste au Musée National d’Histoire Naturelle
  • J GANGLOFF, post-Doc au CNRS
  • Aurélie GARNIER, étudiante
  • Eric GARNIER, directeur de recherche au CNRS
  • Pauline GARNIER-GERE, chercheur à l’INRA
  • Stéphane GASPARINI, professeur à Pierre et Marie Curie
  • Jean-Luc GATTI, directeur de recherche à l’INRA
  • Jean-Pierre GATTUSO, sénior au CNRS et à l’IDDRI
  • Cédric GAUCHEREL, chercheur à l’INRA
  • Jean-Claude GAUDIN, chercheur à l’INRA
  • Maïlys GAUTHIER, étudiante à l’IRSTEA
  • Eve GAZAVE, chercheur au CNRS
  • Ilse GEIJZENDORFFER, sénior à l’ICMW
  • Théo GERARDIN, étudiant à l’INRA
  • Stephane GERMAIN, chercheur à l’INSERM
  • Benoît, Maître de Conférence au CNRS-Avignon
  • Sylvaine GIAKOUMI, chercheur à CNRS Nice
  • Corentin GIBERT, Paléontologue à Lyon
  • François-Marie GIBON, sénior à l’IRD
  • Luc GIGORD, biodiversité au CBN de Mascarin
  • Lauren GILLESPIE, au CNRS
  • François GILLET, professeur à Univ de Bourgogne
  • Emmanuelle GILLOT-FROMONT, professeur à VetAgroSup
  • Alain GIODA, climatologue à l’INRA
  • Jérôme M.W. GIPPET, PhD à Lyon1
  • Patrick GIRAUDOUX, professeur à Université de Franche Comté
  • Martin GIURFA, Professeur de classe exceptionnelle au CNRS Toulouse
  • Sophie GODIN-BEEKMANN, directeur de recherche au CNRS
  • Michel GOLDBERG, professeur à la Rochelle
  • Adriane G GONZALEZ, Post-Doc
  • Inès GONZALEZ-CALVO, étudiante à CIRB Collège de France
  • Santiago GONZALEZ-MARTINEZ, directeur de recherche à l’INRA
  • Isabelle GOUBET, Professeur à La Rochelle
  • Philippe GOURLAY, PhD à l’ONIRIS, Nantes
  • Aurélie GOUSSET, à l’UCA
  • Damien GOUTTE-GATTA, post-Doc au CNRS
  • Pierre-Henri GOUYON au Muséum d’Histoire Naturelle
  • Marianne GRABER, Professeur à la Rochelle
  • Aurore GRANDIN, étudiante
  • Frédéric GRANDJEAN, professeur à Univ. de Poitiers
  • Laurent GRANJON, chercheur à l’IRD
  • Bruno GRANOUILLAC, à l’IRD
  • Séraphine GRELLIER, Assistant à Univ de Tours-CNRS
  • David GREMILLET, écologiste au CNRS
  • Alexandre GRONDIN, chargé d recherche à l’IRD
  • Elisabeth M. GROSS, professeur à Univ. de Lorraine
  • Nicolas GROSS chercheur à l’INRA
  • Christoph GRUNAU, Professeur à Univ. de Perpignan
  • Jean-François GUEGAN, Professeur à l’IRD
  • Loreleï GUERY, Post-doc au CNRS
  • Hélène GUETAT-BERNARD, sociologue à l’UMIFRE de Pondichéry
  • François GUILHAUMON, chercheur à l’IRD
  • Robin GUILHOT, étudiant à l’INRA
  • Jean-Michel GUILLON, chercheur à Paris Sud
  • Stéphane GUITET, PhD forêt
  • Céline GUIVARCH, sénior au CIRED, école des Ponts
  • Hansy HABERKORN
  • Nadia HADDAD, professeur à Véto Alfort
  • Zofia HAFTEK-TERREAU, PhD à ENSA Lyon
  • Jérôme HAMELIN, Directeur de recherche à l’INRA
  • Arndt HAMPE, directeur de recherche à l’INRA
  • Julien HARAN, entomologue au CIRAD
  • Hans J. HARTMANN, sénior à Univ La Rochelle
  • Lionel HAUTIER au CNRS
  • Julien HAY, assistant à Univ de Brest
  • Philipp HEEB, directeur de recherche au CNRS
  • Lars-Eric HEIMBURGER, Chercheur au CNRS-Aix-Marseille et au MOI
  • Hélène VEHEYDEN, chercheur à l’INRA
  • Claude HENRY, professeur à Sciences Po
  • Mickaël HENRY, chercheur à l’INRA
  • Myrlam HEURETZ, chercheur à l’INRA
  • Mark HEWISON, directeur de recherche à l’INRA
  • Afeissa HICHAM-STEPHANE, PhD à Dijon
  • Frédérique HILLIOU, ingénieur à l’INRA
  • Julien HIRSCHINGER, PhD à Véto de Toulouse
  • Valérie HOCHER, chercheur à l’IRD
  • Michael HONS, Biologiste à l’EMBL
  • Martine HOURS, sénior à l’IFSTTAR
  • Jean-Bernard HUCHET, PhD au Musém d’Histoire Naturelle
  • Thierry HUCK, chercheur au CNRS
  • Thierry HUILLET, chercheur au CNRS-Pontoise
  • Philippe HUNEMAN, Directeur de recherche au CNRS-IHPST
  • Arnaud HURSTEL, chercheur indépendant à l’OCS
  • Claire INDELCATO, étudiante à l’ENS Lyon
  • Isabelle CHIVILO, médecin
  • Francis ISSELIN-NONDEDEU , professeur à univ. de Tours, CNRS
  • Hélène JACQUES, vétérinaire à l’IUCN
  • Hervé JACTEL, sénior à l’INRA
  • Benoît JAILLARD, chercheur à l’INRA
  • Benjamin
  • Eric ABADIE, chercheur à l’IFREMER,
  • Ahmed ABBES, CNRS
  • Nadine ABOUL-HASSAN, étudiante à l’Université du Cap
  • Mehdi ADJEROUD, Directeur de recherche à l’IRD
  • Antoine AFFOUARD, Ingénieur R&Den biodiversité à l’INRIA
  • Mikael AGOPIANTZ, Physicien à l’Université de Lorraine
  • Albert AGOULON, maître de conférences à l’ONIRIS de Nantes
  • Omar LALOUI, étudiant à LSCE
  • Cédric ALAUX, Assistant à l’INRA
    Béatrice ALBERT, chercheur à Paris-Sud
  • Céline ALBERT, étudiante
  • Jérôme ALBRE, Assistant à Université de Corse
  • Joan-Manel ALFARO-LUCAS, Msc à l’IFREMER
  • François ALAL, chercheur à l’IFREMER
  • Bernard AMIAUD, professeur à l’université de Lorraine
  • Marcel AMICHOT, Scientifique à l’INRA-CNRS de l’ISA
  • Marc ANCRENAZ, Directeur scientifique à l’HUTAN
  • Christophe ANDALO, assistant d’Université
  • Martin ANDRADE RESTREPO, étudiant à Paris-Diderot,
  • Anaïs ANDRE, Msc de Biodiversité
  • Bruno ANDRIEU, sénior à l’INRA
  • Annie-Claude ROCHE, chercheur retraité du CBM-CNRS
  • Marie-Charlotte ANSTETT, Assistante au CNRS
  • Pierre-Olivier ANTOINE, professeur de paléontologie à l’Institut des Sciences de l’Evolution à Montpellier
  • Arnaud APOTEKER, directeur à DAC
  • Eleonora AQUILINI, Post-Doc en microbiologie au CNRS de Montpellier
  • Pierre ARNAL, étudiant au MNHN,
  • Sophie ARNAUD HAOND, écologiste
  • Satah ASDAR, étudiant à l’Université de Bretagne occidentale
  • Maryam ASFARI, immunologiste retraité à l’INSERM
  • Daniel AUCLAIR, écologiste retraité à l’INRA
  • Stéphane AULANIER, professeur à l’Université de Toulouse
  • Olivier AUMONT, océanographe à l’IRD
  • Didier AURELLE, professeur de biologie à Aix-Marseille
  • Angel AVADI, chercheur au CIRAD
  • Jean-Christophe AVARRE, chercheur en biologie à l’IRD
  • Sakina-Dorothée AYATA, professeur à la Sorbone, CNRS et UMPC-Paris-6
  • Clémentine AZAM, PhD au musée d’histoire naturelle
  • Julien BACHELIER, Botaniste à Berlin
  • Cécile BACLES, Chercheur au CNRS
  • Brigitte BAGNOL, anthropologue à Sydney
  • Elisa BALDRIGI, post-doc à l’IFREMER
  • Yves BALKANSKI, dr. adj. à l’institut Pascal
  • Liliana BALLESTEROS-MEJIA, Post-doc au Musée d’Histoire naturelle
  • Mathieu BARBIER, au CNRS
  • Nicolas BARBIER, Chercheur à l’IRD, UMR et AMAP
  • Pietro BARBIERI, étudiant à l’INRA
  • Agnès BARDONNET, chercheur à l’INRA
  • Bruno BARENTON, PhD à l’INRA
  • Avner BAR-HEN, Professeur au CNAM
  • Chéïma BARHOUMI, étudiant à l’ISEM de Montpellier
  • Jean-Alix BARRAT, Professeur à l’Université de Bretagne occidentale
  • Sylvain BART, étudiant à l’INRA
    Fabien BARTHELAT, Coordinateur au ministère de l’environnement
  • Yves BAT, chercheur au MNHN,
  • Suzanne BASTIAN, Professeur à l’ONIRIS
  • Thomas BASTIAN, écologiste
  • Ana BASTOS, Post-Doc au LSCE
  • Guillaume BAUDOUIN, PhD à l’IBRI
  • Jérôme BAUDRIER, à l’IFREMER
  • Alex BAUMEL, chercheur à Aix-Marseille
    Rémy BEAUDOUIN, chercheur à l’INERIS
  • Arnaud BECHET, chercheur à Tour du Valat
  • Catherine BELIN, ingénieur à l’IFREMER
  • Imane BELKACEMI, étudiant à l’ITSAP
  • Maxime BELONDRADE, Msc à établissement français du Sang
  • Luc-P BELZUNCES, Directeur de 1ère classe à l’INRA
    Susan BENGTSON NASH, professeur à l’Université de Griffith
  • Matthew-James BENNETT, Msc à Pierre et Marie Curie
  • Piotr BENTKOWSKI, biologiste à l’INSERM-UPMC
  • Sabrina BERLENDIS, Post-doc à l’UBO
  • Jeffrey BERNUS, Scientifique au Parc National de Guadeloupe
  • Dominique BEROULE, chercheur au CNRS,
  • Didier BERT, ingénieur à l’INRA
  • Fabrice BERTILE, chercheur au CNRS-Strasbourg
  • Arnaud NERTRAND, Sénior à l’IRD
  • Colette BERTRAND, Chercheur à l’INRA,
  • Guillaume BESNARD, chercheur au CNRS-UPS
  • Jebri BEYREM, Phd à LOCEAN
  • Clotilde BIARD, professeur à Pierre et Marie Curie
  • Françoise BINET, chercheur au CNRS
  • Francesco BISIAK, PhD à l’EMBL de Grenoble
  • José-Luis BLANCO-PASTOR, post-Doc à l’INRA
  • Agathe BLANDIN, étudiante à l’EPHE
  • Olivier BLIGHT, professeur à Avignon
  • Léo BLONDET, étudiant au CSIRO
  • Joana Boavida, post-Doc à l’IFREMER
  • Stéphanie BODIN, étudiant à ISE de Montpellier
  • Marie-Béatrice BOGEAT-TRIBOULOT, chercheur à l’INRA
  • Sébastien BOINOT, étudiant à l’INRA de Montpellier
  • Frédéric BOIS, chercheur à l’INERIS
  • Loic BOLLACHE, professeur à université de Bourgogne FC
  • Eric BONCOMPAGNI, professeur à Université Côte d’Azur
  • Etienne BONCOURT, étudiant à université de Grenoble
  • François BONHOMME, Dr de recherche au CNRS
  • Maxime BONHOMME, professeur à Université à Toulouse
  • Vincent BONHOMME, professeur à Université à Toulouse
  • Anne BONIS, écologiste au CNRS
  • Jean-Marc BONMATIN, chercheur au CNRS
  • Elsa BONNAUD, Assistant à Paris Sud
  • Pierre BONNET, PhD au CIRAD
  • Marie BONNIN, directeur de recherche à l’IUEM
  • Marcelo BONVICINO, étudiant à Paris-8
  • Célia BORDIER, étudiante à l’INRA
  • Frederic BORNE, Chercheur au CIRAD
  • Nicolas BOROWIEC, entomologiste à l’INRA
  • Umberto BOSI, PhD à l’INRIA-Bordeaux
  • Bertrand BOUCHARD, vétérinaire au CNRS
  • Olivier Boucher, directeur de recherche au CNRS et Institut PS Laplace (IPSL)
  • Alain BOULANGE, professeur, UEM
  • Christophe BOUNI, Dr à l’AScA
  • Malo BOURGET, étudiant à Rennes-1
  • Paul BOURGINE, à l’UNESCO
  • Gilles BOURGOIN, professeur à Vetagro-Sup
  • Yoann BOURHIS, écologiste à l’INRA
  • Jérôme BOURJEA, chercheur à l’IFREMER
  • Julie BOUSQUET, consultant à Coop’Conseils
  • Simon BOWRING, climatologue au LSCE
  • Julie BRASCHI, étudiante à l’IMBE
  • Alain BRAUMAN, sénior à l’IRD
  • Matthieu BRAVIN, chercheur au CIRAD
  • François BRETAGNOLLE, professeur à Université de Bourgogne
  • Michel BREUIL, professeur au ministère de l’Education,
  • Frédéric BRIAND, professeur, au CIESM
  • Joël BRIED
  • Julien BRILLARD, chercheur à l’INRA
  • Sébastien BRITTON, sénior au CNRS-IPBS de Toulouse
  • Anne-Laure BROCHET, chercheur au LPO
  • Charlène BROCHOIRE
  • Sébastien BROSSE, Professeur à Université de Toulouse
  • Carine BROUAT, écologiste à l’IRD
  • Renaud BROUQUISSE, directeur de Recherche de l’INRA
  • Louise BROUSSEAU, PhD à l’IRD
  • Lucas BRUNET, étudiant à l’IRSTEA
  • Daniel BRUNO, Post-Doc à l’IRSTEA,
  • Rémi BUCHET, ingénieur à l’IFREMER
  • Birgit-Katharina BUDDE, post-doc à l’INRA
  • Alexandre BUDRIA, écologiste à l’Agence française de la biodiversité
  • Evelyne BUFFAN-DUBAU, professeur à Toulouse-3
  • Mathieu BUORO, chercheur à l’INRA
  • Christian BURBAN, entomologiste à l’INRA
  • Paco BUSTAMANTE, professeur à la Rochelle
  • Alain BUTET, sénior au CNRS
  • Pauline BUYSSE, ingénieur
  • Manuel CABALLER-GUTIERREZ, assistant au Musée d’Histoire naturelle
  • Alejandro CABEZAS-CRUZ, chargé de recherche à l’INRA
  • Thomas CAIGNARD, étudiant à l’INRA-Bordeaux
  • Martijn CALLENS, post-Doc au CNRS-CEFE
  • Guillaume CAMBRAY, chercheur à l’INRA
  • Roberto CANTONI, post-Doc à Sciences Po
  • Xavier CAPET, physicien au CNRS-LOCEAN
  • Marta CARBONI, Post-Doc au CNRS
  • Gaël CARO, lecteur à l’université de Lorraine
  • Thibault CARON, étudiant à l’ESE-Paris-Sud
  • Matthieu CARRE, Chercheur au CNRS-LOCEAN,
  • Marion CARTERET, chercheur
  • Thomas CARTIER-MICHAUD, Post-Doc au CNRS-Marseille
  • Iker CASTEGE, chercheur à Biarritz
  • Thibault CATRY, chercheur à l’IRD
  • François CATZEFIS, directeur de Recherche à Montpellier
  • Bernard CAZELLES, professeur, Université Pierre et Marie Curie
  • Hélène CECILIA, ingénieur à l’INRA
  • Céline TEPLITSKY, chercheur au CNRS
  • Marianne CERF, chercheur à l’INRA
  • Frank CEZILLY, professeur à Université de Bourgogne ,
  • Karine CHALVET-MONFRAY, professeur à l’INRA-VetAgro Sup
  • Patrick CHAMES, chef d’équipe au CRCM
  • Antony CHAMPION, chercheur à l’IRD
  • Elodie CHAPUIS, chercheur à l’IRD
  • Jean-Louis CHAPUIS, chercheur au Musée d’Histoire naturelle
  • Damien CHARABIDZE, Université de Lille
  • Anne CHARMANTIER, Sénior au CNRS
  • Grégory CHARRIER, Lecteur à Université de Brest
  • Guillaume CHARRIER, Chercheur à l’INRA
    Maryvonne CHARRIER, assistant à Université de Rennes
  • Pierre CHARRIER, étudiant à l’INRA
  • Guillaume CHARRIERE, professeur à Université de Montpellier
  • Aurélien CHATEIGNER, Post-Doc à l’INRA
  • Eric CHAUMILLON, professeur à la Rochelle
  • Eric CHAUVET, sénior au CNRS
  • Thibaud CHAUVIN, étudiant à l’INRA
  • Maxime CHAUVINEAI, Fonctionnaire à l’Agence française de Biodiversité
  • Tarik CHECHAK, directeur à la société Cousteau
  • Julie CHENOT, étudiante à l’IMBE
  • Anne CHENUIL, chercheur au CNRS
  • Yves CHEREL, directeur de recherche au CNRS
  • Isabel CHILLON, Post-doc à l’EMBL Grenoble
  • François CHIRON, Maître de Conférence à Agro Paris Tec
  • Tiphaine CHOUVELON, chercheur en écologie marine
  • Nan-Chin CHU, Affaires internationales à l’IFREMER
  • Philippe CIAIS, cycle du Carbone au LSCE
  • Laure CIVEYREL, Professeur à l’UPS de Toulouse
  • David CLAESSEN, professeur, Normale Sup
  • Guillaume CLAIR, chercheur à EAWAG
  • Fabien CLAIREAU, étudiant au Musée d’histoire naturelle
  • Guy CLAIREAUX, professeur
  • Julien CLAUDE, assistant, à l’ISE-CNRS Montpellier
  • Jean CLOBERT, écologiste, directeur classe exceptionnelle à Academia Europaea-CNRS
  • Arnaud COCHARD, étudiant, INRA
  • Francis CODRON, professeur
    Michael COEURDASSIER, Maître de Conférence, Université Franche Comté
  • Dominique COLINET
  • Hervé COLINET, chercheur permanent au CNRS
  • Adrien COMTE, étudiant à IUEM
  • Chantal CONAND, professeur émérite à la Réunion
  • Lucie CONCHOU, Post-Doc à l’INRA
  • Fabien L. CONDAMINE, chercheur au CNRS-ISEM
  • Patrick COQUILLARD, Professeur à Université de Nice
  • Marion CORDONNIER, étudiante à Claude Bernard de Lyon
  • Xochitl CORMON, Post-Doc à Hambourg
  • Gabriel CORNIC, professeur Honoraire à Paris-Saclay,
  • Camille CORON, assistant, Paris-Sud
  • Jérôme CORTET, Professeur à Paul Valéry de Montpellier
  • Claudia COSIO, professeur à Univ. de Reims
  • Jean-François COSSON, Sénior à l’INRA
  • Julien COTE, chercheur au CNRS
  • Anne COUDRAIN, directeur honoraire de l’IRD
  • Laurent COUNILLON, Professeur à Univ. cote d’Azur
  • Frank COURCHAMP, directeur de recherche CNRS
  • Christine COUSTAU, Direct. de recherche CNRS
  • Marie-Agnès COUTELLEC, chercheur à l’INRA
  • Lydie COUTURIER, post-Doc à l’UBO
  • Denis COUVET, professeur à Musée d’Histoire naturelle,
  • François CRICUOLO, chercheur au CNRS-Strasbourg
  • Anton CROMBACH, chef d’équipe au CIRB, collège de France
  • Astrid CRUAUD, chercheur à l’INRA
  • Philippe CRUAUD, PhD à l’APHP
  • Antonin CRUMIERE, étudiant à L’ENS Lyon
  • Sarah CUBAYNES, professeur à l’EPHE
  • Jean CURY, étudiant, à l’Institut Pasteur
  • Cyrille CZEHER, entomologiste
  • Sylvie DALLOT, chercheur à l’INRA-Montpellier
  • Mattia DAMIANI, chercheur, à l’IRSTEA
  • Franck JN d’AMICO, professeur à Univ. de Pau

 

  • Damien CHEVALLIER, chercheur au CNRS
  • Jérémy DANIEL, ingénieur à l’IFREMER
  • Jean DAVID, chercheur émérite au CNRS
  • Romain DAVID, biologiste à l’IMBEMC-CNRS
  • Christine DAVID-BEAUSIRE, sénior au LOPS/IUEM de Brest
  • Dominique DAVOULT, professeur à Paris 6
  • Damien DAVID, anthropologiste au CNRS
  • Anouk de BAKKER, post-Doc à la Rochelle
  • Frank de BAKKER, professeur à IESEG de Management
  • Angeles de CARA, CNRS
  • Antoine de DARUVAR, professeur Univ. de Bordeaux
  • Hubert de FORESTA, sénior, IRD
  • Sophie de GRISSAC, chercheur
  • Alexandre de KOSHKO, directeur de recherche à l’IRD
  • Denis de la BROISE, Microbiologiste, Univ. de Bret. Occidentale
  • Ghislain de MARSILLY, professeur, Membre de l’Académie des Sciences
  • Thibaud DECAENS, professeur au CNRS-Montpellier
  • François-Xavier DECHAUME-MONCHARMONT, assistant, Univ de Bourgogne
  • Frank DEDEINE, Assistant, Univ. de Tours
  • Nicolas DEGUINES, chercheur
  • Claude DEJOUX, Directeur de recherche à l’IRD
  • Cedric DEL RIO, étudiant au Musée d’Histoire Naturelle
  • Mathilde DELAUNAY, Musée d’Histoire Naturelle
  • Julien DELORD, Univ de Toulouse
  • Nicolas DEPIERRE, assistant, Paris Sud
  • Christophe DELYE, Biologiste à l’INRA
  • Gaëlle DEMARRE, chercheur au Collège de France
  • Arthur DEMENE, PhD à l’INRA
  • Frantz DEPAULIS, chercheur au CNRS
  • Solange DESAGHER, chercheur au CNRS
  • Julie DESHAYES, océanographe au CNRS
  • Laurence DESPRES, professeur à Univ. Grenoble
  • Frank DHERMAIN, Président du GECEM
  • Marie-France DIGNAC, chercheur à l’INRA
  • Delphine DISSARD, PhD à l’IRD
  • Gauthier DOBIGNY, chercheur à l’IRD
  • Guillaume DODET
  • Johen DOLAN, Directeur de recherche au CNRS
  • Matthieu DOLBEAULT, étudiant, à Normale Sup
  • Blandine DOLIGEZ, chercheur au CNRS
  • Pablo DOMINGUEZ, sénior au CNRS
  • Dominique-Angèle VUITTON, professeur émérite Univ. de Bourgogne
  • Fanny DOMMANGET, chercheur à l’IRSTEA
  • Marie-Claude DOP, chercheur Free Lance
  • Thierry DORE, Professeur à Agro-Paris-Tech
  • Julien DOSSIER, expert en stratégie Carbone chez Quattrolibri
  • Guilhem DOULCIER, étudiant, Normale Sup
  • Jean-François DOUSSIN, professeur à LISA, Paris Est- CNRS
  • Catherine DREANNO, chercheur
  • Vincent DROISSART, chercheur à l’IRD
  • Nicolas DUBOS, au MNHN
  • Catherine DUBREUIL, assistant à l’IRBI
  • Florence DUBS, PhD
  • Frédéric DUCARME, Dr au Musée National d’Histoire naturelle
  • Rémi DUFLOT, écologiste à l’INRA
  • Olivier DUHENE, étudiant à l’ISARA Lyon
  • Anguy DULORMNE, Maître de Conférence
  • Jean-François DUMAS, Biochimiste à l’INERM de Tours
  • Patrick DUNCAN, Chercheur émérite au CNRS
  • Mathilde DUPEYRON, étudiante à l’IRD
  • Sylvain DUPIRE, PhD à l’IRSTEA
  • Marlene DUPRAZ, post-Doc au CNRS
  • Virginie DUPUY, biologiste au CIRAD
  • Patrick DURAND, chercheur au CNRS de Montpellier
  • Laurent DURIEUX, chercheur à l’IRD
  • Michel DURU, directeur de recherche à l’INRA
  • Gérard DUVALLET, Professeur émérite à Univ. Montpellier 3
  • Emilie EGEA, écotoxicologue à la Fondation ROVALTAIN
  • Oumayma EL ATTAR, étudiant à école Vétérinaire de Toulouse
  • Mariane ELIAS, chercheur au CNRS
  • Laure EMPERAIRE, sénior à l’IRD
  • Julien ENGEL, botaniste à l’ICTB
  • Jérôme ENJALBERT, chercheur à l’INRA
  • Manfred ENSTIPP, Post doc à l’IPHC-CNRS
  • Daniel EPRON, professeur à Univ. de Lorraine
  • Gilles ESCARGUEL, Professeur à Univ Lyon-1
  • Jean-Michel ESCOUBAS, chercheur au CNRS
  • Antoine ESNOUF, PhD à l’INRA
  • Estelle BILLARD, étudiante à Univ de Nantes
  • Heather ETCHEVERS, Biologiste à INSERM Aix-Marseille
  • Etienne ROUBY, étudiant à Univ. Pierre et Marie Curie
  • Nicolas FANIN, chercheur à l’INRA,
  • Michel-Pierre FAUCON, professeur à l’UniLaSalle
  • Laurence FAUCONNET, Post-Doc
  • Simon FELLOUS, chercheur à l’INRA
  • Fabien FERCHAUD, Chercheur à l’INRA
  • Juan FERNANDEZ-MANJARRES, chercheur au CNRS
  • Régis FERRIERE, professeur à ENS d’Arizona
  • Virgil FIEVET, Professeur à Univ. de Bordeaux
  • Emeric FIGUET, étudiant à l’ISEM
  • Alessandro FISOGNI, post-doc à Univ. de Lille
  • Hélène FLEURBAEY, étudiant à l’ENS/UPMC
  • Benoît FONTAINE, ingénieur au Musée National d’Histoire Naturelle
  • Sandrine FONTAINE, ingénieur au CNRS
  • Marie-Béatrice FOREL, assistant au Musée National d’Histoire Naturelle
  • Pierre-Michel FORGET, professeur au Musée National d’Histoire Naturelle
  • Thomas FOUCART, PhD à Univ. de Rennes
  • Julien FOUCAUD, ingénieur à l’INRA
  • Marie-Alice FOUJOLS, Climatologue à l’IPSL
  • Lisa FOURTUNE, étudiante à Sète
  • Antoine FRAIMOUT, post-Doc à l’INRA
  • Sara FRAIXEDAS, Post Doc
  • Alain FRANC, Sénior à l’INRA
    Thibaut FRANCE, étudiant
  • Charlotte FRANCESIA, chercheur à l’ONCFS
  • Franck BOUE, biologiste à l’ANSES
  • Christophe FRANCOIS, chercheur au CNRS
  • François SARAH, étudiant à l’INRA
  • François GUEROLS, professeur à l’univ. de Lorraine
  • Françoise GAUTIER, PhD à Univ. des Antilles
  • Frédérique SANTI, généticien à l’INRA
  • Thibaut FREJAVILLE, PhD à Bordeaux
  • Grégoire FRESCHET, chercheur au CNRS
  • Guillaume FRIED, chercheur à l’ANSES
  • Jean-Marc FRIGERIO, informaticien à l’INRA
  • Clémentine FRITSCH, chercheur au CNRS
  • Jérôme FUCHS, professeur au Musée National d’Histoire Naturelle
  • Boris FUMANAL, professeur à l’INRA-Auvergne
  • Julien FUMEY, post-Doc au CNRS Paris Sud
  • Sophie GACHET, assistant univ d’Aix-Marseille
  • Leslie GAGER, étudiant à l’IUEM
  • Elie GAGET, étudiant au MNHN
  • Maxime GALAN, écologiste à l’INRA
  • Susan GALLON, écologiste à l’AFB
  • Mélina GALLOPIN, Professeur à Paris Sud
  • Anthony GANDIN, assistant à Univ. de Lorraine
  • Benoît GANGLOFF, écologiste au Musée National d’Histoire Naturelle
  • J GANGLOFF, post-Doc au CNRS
  • Aurélie GARNIER, étudiante
  • Eric GARNIER, directeur de recherche au CNRS
  • Pauline GARNIER-GERE, chercheur à l’INRA
  • Stéphane GASPARINI, professeur à Pierre et Marie Curie
  • Jean-Luc GATTI, directeur de recherche à l’INRA
  • Jean-Pierre GATTUSO, sénior au CNRS et à l’IDDRI
  • Cédric GAUCHEREL, chercheur à l’INRA
  • Jean-Claude GAUDIN, chercheur à l’INRA
  • Maïlys GAUTHIER, étudiante à l’IRSTEA
  • Eve GAZAVE, chercheur au CNRS
  • Ilse GEIJZENDORFFER, sénior à l’ICMW
  • Théo GERARDIN, étudiant à l’INRA
  • Stephane GERMAIN, chercheur à l’INSERM
  • Benoît, Maître de Conférence au CNRS-Avignon
  • Sylvaine GIAKOUMI, chercheur à CNRS Nice
  • Corentin GIBERT, Paléontologue à Lyon
  • François-Marie GIBON, sénior à l’IRD
  • Luc GIGORD, biodiversité au CBN de Mascarin
  • Lauren GILLESPIE, au CNRS
  • François GILLET, professeur à Univ de Bourgogne
  • Emmanuelle GILLOT-FROMONT, professeur à VetAgroSup
  • Alain GIODA, climatologue à l’INRA
  • Jérôme M.W. GIPPET, PhD à Lyon1
  • Patrick GIRAUDOUX, professeur à Université de Franche Comté
  • Martin GIURFA, Professeur de classe exceptionnelle au CNRS Toulouse
  • Sophie GODIN-BEEKMANN, directeur de recherche au CNRS
  • Michel GOLDBERG, professeur à la Rochelle
  • Adriane G GONZALEZ, Post-Doc
  • Inès GONZALEZ-CALVO, étudiante à CIRB Collège de France
  • Santiago GONZALEZ-MARTINEZ, directeur de recherche à l’INRA
  • Isabelle GOUBET, Professeur à La Rochelle
  • Philippe GOURLAY, PhD à l’ONIRIS, Nantes
  • Aurélie GOUSSET, à l’UCA
  • Damien GOUTTE-GATTA, post-Doc au CNRS
  • Pierre-Henri GOUYON au Muséum d’Histoire Naturelle
  • Marianne GRABER, Professeur à la Rochelle
  • Aurore GRANDIN, étudiante
  • Frédéric GRANDJEAN, professeur à Univ. de Poitiers
  • Laurent GRANJON, chercheur à l’IRD
  • Bruno GRANOUILLAC, à l’IRD
  • Séraphine GRELLIER, Assistant à Univ de Tours-CNRS
  • David GREMILLET, écologiste au CNRS
  • Alexandre GRONDIN, chargé d recherche à l’IRD
  • Elisabeth M. GROSS, professeur à Univ. de Lorraine
  • Nicolas GROSS chercheur à l’INRA
  • Christoph GRUNAU, Professeur à Univ. de Perpignan
  • Jean-François GUEGAN, Professeur à l’IRD
  • Loreleï GUERY, Post-doc au CNRS
  • Hélène GUETAT-BERNARD, sociologue à l’UMIFRE de Pondichéry
  • François GUILHAUMON, chercheur à l’IRD
  • Robin GUILHOT, étudiant à l’INRA
  • Jean-Michel GUILLON, chercheur à Paris Sud
  • Stéphane GUITET, PhD forêt
  • Céline GUIVARCH, sénior au CIRED, école des Ponts
  • Hansy HABERKORN
  • Nadia HADDAD, professeur à Véto Alfort
  • Zofia HAFTEK-TERREAU, PhD à ENSA Lyon
  • Jérôme HAMELIN, Directeur de recherche à l’INRA
  • Arndt HAMPE, directeur de recherche à l’INRA
  • Julien HARAN, entomologue au CIRAD
  • Hans J. HARTMANN, sénior à Univ La Rochelle
  • Lionel HAUTIER au CNRS
  • Julien HAY, assistant à Univ de Brest
  • Philipp HEEB, directeur de recherche au CNRS
  • Lars-Eric HEIMBURGER, Chercheur au CNRS-Aix-Marseille et au MOI
  • Hélène VEHEYDEN, chercheur à l’INRA
  • Claude HENRY, professeur à Sciences Po
  • Mickaël HENRY, chercheur à l’INRA
  • Myrlam HEURETZ, chercheur à l’INRA
  • Mark HEWISON, directeur de recherche à l’INRA
  • Afeissa HICHAM-STEPHANE, PhD à Dijon
  • Frédérique HILLIOU, ingénieur à l’INRA
  • Julien HIRSCHINGER, PhD à Véto de Toulouse
  • Valérie HOCHER, chercheur à l’IRD
  • Michael HONS, Biologiste à l’EMBL
  • Martine HOURS, sénior à l’IFSTTAR
  • Jean-Bernard HUCHET, PhD au Musém d’Histoire Naturelle
  • Thierry HUCK, chercheur au CNRS
  • Thierry HUILLET, chercheur au CNRS-Pontoise
  • Philippe HUNEMAN, Directeur de recherche au CNRS-IHPST
  • Arnaud HURSTEL, chercheur indépendant à l’OCS
  • Claire INDELCATO, étudiante à l’ENS Lyon
  • Isabelle CHIVILO, médecin
  • Francis ISSELIN-NONDEDEU , professeur à univ. de Tours, CNRS
  • Hélène JACQUES, vétérinaire à l’IUCN
  • Hervé JACTEL, sénior à l’INRA
  • Benoît JAILLARD, chercheur à l’INRA
  • Benjamin JAILLET, Software development à l’INRA
  • JAILLET, Software development à l’INRA
  • Dominique JAMET, professeur à Univ de Toulon
  • Jean-Louis JAMET, professeur à Univ de Toulon
  • Anaïs JANC, étudiante à CNRS-CEB
  • Jean-Louis JANEAU, Hydrologiste à l’IRD
  • Philippe JARNE, chercheur au CNRS de Montpellier
  • Nathalie JAS, sénior à l’INRA
  • Thomas JAUD
  • Fred JEAN, professeur Univ de Brest
  • Jean-Baptiste RIOU,
  • Jean-François RUAULT, chercheur à l’IRSTEA
  • Jean Jacques JAEGER, Professeur émérite à Université de Poitiers
  • Jean Luc PROBST, CNRS , chercheur à l’ECOLAB, de Toulouse
  • Jean-Marc FROMENTIN, Chercheur à l’ IFREMER
  • Jean-Marc LOUVET, Technicien à l’INRA
  • Martin JEANMOUGIN, PhD au Muséum Nat. d’histoire naturelle
  • Laurent JEGOU, Maitre de Conf à Univ. de Toulouse
  • Ian R. JENKINSON, chercheur à ACRO
  • Frédéric JIGUET, professeur à CNRS et Muséum d’Hist Naturelle
  • Richard JOFFRE, sénior au CNRS
  • Pauline JONCOUR, Bioinformaticienne à l’IGFL
  • Sarah JONES, Assistante
  • Josselin CLO, étudiant à UMR-AGAP
  • Komba JOSSIE-KONOYIMA, Maître de Conférence à Univ. de Sierra Leone
  • Elsa JOURDAIN, sénior, à l’INRA
  • Valentin JOURNE, étudiant à l’INRA
  • Jonathan JUMAU, au CNRS
  • Jean-Luc JUNG, écologiste à l’Univ. de Brest
  • Suzanna KACZMARSHA, post-Doc à l’EMBL
  • Faouzia KALALI, Maître de Conférence à Univ de Rouen
  • Gwénaël KAMINSKI, professeur à Univ de Toulouse
  • Mohsen KAYAL, biologiste à Univ. de Perpignan
  • Gaël KERGOAT, chercheur à l’INRA
  • Frida KEUPER, chercheur à l’INRA
    Abderrahman KHILA, investigator au CNRS
  • Namsuk KIM, post-doc au collège de France
  • Florian KLETTY, PhD au CNRS
  • Rémi KNAFF à l’INRA
  • Serge KREITER, professeur à Agro Montpellier
  • Suraj KRISHNA, étudiante de Paris Sud
  • Pierrick LABBE, assistant à Univ de Montpellier
  • Jacques LABONNE, chercheur à l’INRA
  • Sophie LABRUT, à l’ONIRIS
  • Eric LACOMBE, professeur à l’Univ. de Montpellier
  • Michel LAFON, linguiste à CNRS
  • Beryl LAITUNG, Professeur, univ. de Bourgogne
  • Félix LALLEMAND, étudiante à Muséum d’Histoire Naturelle
  • Amaury LAMBERT, professeur de Math à Paris-6 et collège de France
  • Jay Ram LAMICHHANE, chercheur à l’INRA
  • Sven LAMING, post-doc à l’IFREMER
  • Anne-Sofie LANSO, Post-doc au LSCE
  • Mathieu LAPARIE, chercheur en Norvège
  • Laurent LAPLAZE, dir de recherche à l’IRD
  • Sébastien LARRUE, Senior à Univ. de Auvergne
  • Pierre-Eric LAURI, sénior à l’INRA
  • Benjamin LAUZIER, professeur à Univ. de Nantes
  • Sébastien LAVERGNE, chercheur au CNRS Grenoble
  • Claire LAVIGNE, chercheur à l’INRA
  • Gwenaelle LE BLAY, professeur à Univ. de Brest
  • Hugo LE CHEVALLIER, ingénieur au CNRS
  • Valérie LE CORRE, Chercheur à l’INRA
  • Gonéri LE COZANNET, chercheur au FGS
  • Nicolas LE DANTEC, chercheur au CEREMA
  • Cécile LE LANN, professeur à Univ. de Rennes
  • Vincent LE ROUX, Maître de Conférence au CNRS-Picardie
  • Xavier LE ROUX, sénior à l’INRA
  • Isabelle LE VIOL, Maître de Conférence au Muséum d’Hist naturelle
  • Camila LEANDRO, étudiante au CEFE
  • Raphael LEBLOIS, chercheur à l’INRA
  • Marc LEBOUVIER, chercheur au CNRS
  • Jean-Dominique LEBRETON, directeur de recherche émérite au CNRS
  • Sébastien LEBRETON, Post-doc à Univ de Marseille Aix
  • Sylvie LECOLLINET, biologiste à l’ANSES
  • Guillaume LEDUC, au CEREGE-CNRS
    Marlène LEFEBVRE, à l’INRA
  • Sébastien LEFEBVRE, professeur à VetAgroSup
  • Stéphane LEGENDRE, chercheur à l’ENS
  • Marine LEGRAND, post-Doc à l’INRA-LISIS
  • Christophe LEJEUSNE, Professeur à Univ. Pierre et Marie Curie
  • Patrick LEMAIRE, chercheur à CNRS-Univ de Montpellier
  • Frédérick LEMARCHAND, professeur à Univ de Caen
  • Karin LEMBERGER, Pathologiste au Zoo de Faunapath
  • Audrey LEMERCIER, Phd
  • Jonathan LENOIR, Professeur à Université de Picardie
  • Thomas LENORMAND, dire. de recherche au CNRS
  • Marc F. LENSINK, CNRS
  • Olivier LEPAIS, Chercheur à l’INRA
  • Boris LEROY, Maître de Conférence au museum National d’Histoire Naturelle
  • Céline LEROY, chercheur à l’IRD
  • Amélie LESCROËL, écologiste
  • Maud LEVEQUE, Pos-doc au CHU Montpellier
  • Harold LEVREL, professeur à AgroParisTech
  • Blandine L’HEVEDER, Océanographe à IPSL
  • Blaise LI, Ingénieur à Institut Pasteur
  • Kevin LIAUTAUD, étudiant au CNRS
  • Mathieu LIHOREAU au CNRS
  • Allison LOCONTO, Sociologue à l’INRA
  • Nicolas LOEUILLE, professeur à Univ. Pierre et Marie Curie
  • Eric LOMBAERT, Ingénieur à l’INRA
  • Fabien LOMBARD, professeur à Sorbonne et Univ. Pierre et Marie Curie
  • Brian LOONEY, Microbiologiste à INRA-Nancy
  • Clément LOPEZ, étudiant
  • Rosana LOPEZ, Post-Doc à l’INRA
  • Andès LOPEZ-SEPULCRE, chercheur au CNRS
  • Carlos LOPEZ-VAAMONDE, chercheur à l’INRA et IRBI,
  • Claire LOREL, étudiante au MNHN
  • Louise SOUQUET, étudiante à l’IGF de Lyon
  • Denis LOUSTAU, sénior à l’INRA
    Lilian LOYER, science atmosphérique
  • Emile LUNA-LAURENT, environnementaliste
  • Nathalie MACHON, professeur à Muséum d’histoire Naturelle
  • Eric MACHU, chercheur à l’IRD
  • Franck MADDI, Botaniste au SHNLH
  • Sophie MADELRIEUX à l’IRSTEA
  • Marcia MAHR, sénior au CNRS-IUEM
  • Fabienne MAIGNAN, chercheur au LSCE
  • Ludovic MAILLERET, chercheur à l’INRA-CNRS-INRIA
  • Thibaut MALAUSA, chercheur à l’INRA
  • Sylvie MANGUIN, chercheur à l’IRD
  • Raphaël MANLAY, PhD à l’AgroParisTech
  • Alejandro MANZANO-MARIN, Post-doc à l’INRA
  • François MAON, professeur de stratégie et responsabilité Sociale à l’IESEG
  • Benoît MARçAIS, sénior à l’INRA
  • Cyril MARCHAND, écologiste à l’IRD
  • Eric MARCON, chercheur à AgroParisTech
  • Emmanuel MARQ, professeur à Université de Versailles SQ
  • Stéphanie MARIETTE, chercheur à l’INRA
  • Marine ROBUCHON, Post-doc
  • Didier MARQUER, professeur à Univ de Franche Comté
  • Claire MARSDEN, Professeur à Agro Montpellier
  • François-Marie MARTIN, étudiant à l’IRSTEA
  • Guillaume MARTIN, Chercheur au CNRS
  • Marie-Caroline MARTIN, professeur
  • Adrian MARTINEZ-ASENSIO, Post-doc à CNRS-La Rochelle
  • Yves MARTIN-PREVEL, à l’IRD
  • Bruno MARY, chercheur à l’INRA
  • Martin MARZLOFF, chercheur à l’IFREMER
  • Jean-Charles MASSABUAU, directeur de recherche au CNRS Bordeaux
  • Raia-Silvia MASSAD, chercheur à l’INRA
  • Damien MASSALOUX, ingénieur à ISARA-Lyon
  • Estelle MASSERET, professeur à Univ. de Montpellier
  • Valérie MASSON-DELMOTTE, Climatologue à Univ Paris, IPSL, LSCE et CEA
  • Catherine MATIAS, sénior statistique CNRS Univ Pierre et Marie Curie
  • Aourell MAUFFRET, à l’IFREMER
  • Vanessa MAURIE, écologiste au GREGE
  • Maxime BURST, Maître de Conférence à Univ. de Lorraine
  • Pierre MAZZEGA, chercheur au CNRS
  • J. Scott McCAINS, chercheur
  • Andrew McCARTHY, chef d’équipe à l’EMBL Grenoble
  • Karen McCOY, chercheur au CNRS
  • Matthew McLEAN, étudiant à l’IFREMER
  • Frédéric MEDAIL, professeur à Univ Aix-Marseille
  • Yves MEINARD, Chercheur au CNRS et Univ. Paris-Dauphine
  • Loriane MENDEZ, étudiante Univ de la Rochelle
  • Laura MENDOZA, Post-doc en math
  • Adèle MENNERAT, Professeur
  • François MENNERAT, Physicien
  • Jeannine MENNERAT, professeur
  • Emmanuel MENONI, Office National de la Chasse
  • Mikaa MEREF, professeur à l’ILERI
  • Bastien MERIGOT, professeur à Univ. de Montpellier
  • Luis MERINO-MARTIN, Post-Doc à l’INRA
  • François MESLEARD, Professeur, à Univ. d’Avignon
  • Pascal MESOCHINA, écologiste
  • Nicolas METZL, sénior au CNRS
  • Julien MEYER, chercheur à Univ. de Grenoble et CNRS
  • Adeline MEYNIER, étudiante à Lyon-3
  • Simon MEYNIER, étudiant à l’IRSTEA
  • Bruno MICHEL, chercheur au CIRAD
  • Michel MONSIGNY, Professeur au CNRS et Univ. d’Orléans
  • Lorraine MICHELET, chercheur à l’ANSES
  • Thierry MICOL, Chef de département au LPO
  • Paul MIGUET, Phd écologie
  • Jean-Baptiste MIHOUB, Maître de Conférence à la Sorbone et Paris-6
  • Alexandre MILLION, Maître de Conférence à Univ. Aix Marseille
  • Laetitia MINGUEZ, Chercheur au CNRS et LIEC
  • Christophe MINIER, professeur à Univ. de Normandie
  • Elliott MIOT, étudiant à Institut Pasteur
  • Véronica MIRO-PINA, étudiante au CIRB- Collège de France
  • Jean-François MOLINO, sénior à l’IRD
  • Karine MONCEAU, Maître de Conférence à Univ. la Rochelle
  • Jean-Yves MONDAIN-MONVAL, Chercheur à l’ONCFS
  • Fanny MONDET, à l’INRA
  • Thibaud MONNIN, directeur de recherche au CNRS et Univ Pierre et Marie Curie
  • Catherine MONNOT, Chercheur à l’INSERM
  • Gabriel MONTOAY, chercheur au CNRS
  • Joseph MORAN, professeur à Univ. de Strasbourg
  • Serge MORAND, au CNRS de Montpellier
  • Soizic MORIN, chercheur à l’IRSTEA
  • Xavier MORIN, chercheur au CNRS
  • Jennifer MORINAY, étudiante
  • Fabien MOULLEC, étudiante au MARBEC
  • Nicolas MOUQUET, dir de recherche au CNRS
  • Sara MOUTAILLER, chercheur à l’ANSES
  • Kamila MUCHOWSKA, post-doc à Univ de Strasbourg
  • Jérôme MUNZINGER, chercheur à l’IRD
  • Victoria NAIPAL, Sciences de la Terre au LSCE, CEA, CNRS, UVSQ
  • Olivier NAMY, Direc de recherche au CNRS
  • Devaraju NARAYANAPPA, Chercheur au LSCE, CEA
  • Miguel NAVASCUES, Généticien à l’INRA
  • Thomas NESME , professeur à Univ Bordeaux
  • Marie NEVOUX, chercheur à l’INRA
  • Thi Ngoc Anh NGUYEN, étudiant à l’IRD
  • Delphine NICOLAS, chercheur à Fondation Tour du Valat
  • Violaine NICOLAS, Assistant au Muséum d’Histoire naturelle
  • Marie-France NIEVALES, Professeur Université des Philippines
  • Annemarijn NIJMEIJER, étudiant au CIRAD
  • Natacha NIKOLIC, chercheur à l’ARBRE
  • Macha NIKOLSKI, au CNRS de Bordeaux
  • Vincent NOEL, chercheur au CNRS
  • Philippe NORMAND ; au CNRS de Lyon
  • Morgane NOUVIAN, Post-Doc à Université de Constance
  • Guillaume ODONNE, PhD au CNRS
  • Andreas ODORICO, étudiant au CNRS
  • Mylene OGLIASTRO, Virologue à l’INRA
  • Albert OLIOSO, à l’INRA
  • Olivier AZNAR
  • Frédéric OLIVIER, professeur à Museum d’Histoire Naturelle
  • Ronald OOMEN
  • Lulla OPATOWSKI, à Univ. de Versailles St-Q
  • Vincent ORAIN,
  • Didier ORANGE, Sénior à l’IRD
  • Paul ORTAIS, Systèmes Embarqués Aérospatiaux
  • Alix ORTEGA, vétérinaire
  • Olga OTERO, Maitre de Conf Univ de Poitiers
  • Tiphaine OUISSE, PhD à Univ. de Rennes
  • Jean-Marc OURCIVAL, Chercheur au CNRS
  • Nathan PACOUREAU, étudiant au CNRS
  • Christine PAILLARD, direct. de recherche au CNRS et LEMAR et IUEM
  • Yoan PAILLET, chercheur à l’IRSTEA,
  • Spyridon PAPARRIZOS, post-doc au LSCE
  • Deborah PARDO, Modelisateur au British Antartic Survey
  • Lucie PASTOR, chercheur à l’IFREMER
  • Marianela PATACCINI, étudiante à l’IFREMER
  • Christophe PAUPY, chercheur à l’IRD
  • Julie PAUWELS, étudiante au Museum d’Hist. Naturelle
  • Jean PECCOUD, Assistant à Univ. de Poitiers
  • Laure PECQUERIE, chercheur à l’IRD
  • Marie PELE, éthologue
  • Dominique PELLETIER, Sénior à l’IFREMER
  • Corine PELLUCHON, Professeur de morale et de philosophie politique à Paris-Est
  • Elfie PERDEREAU, Post-Doc à l’IRBI
  • Grégoire PEREZ, Assistant à Univ de Franche Comté
  • Georges PERIQUET, professeur émérite Univ. de Tours
  • Charles PERRIER au CNRS
  • Quentin PERRIER, chercheur en économie des énergies au CIRED
  • Marie-Jeanne PERROT-MINNOT, Maître de Conférence au CNRS de Bourgogne-Franche Comté
  • Stéphane PESCE, chercheur à l’IRSTEA
  • Julien PETILLON, professeur à Univ. de Rennes
  • Fabien PIASECKI, Sciences citoyennes au NGO
  • Christian PICHOT, Chercheur à l’INRA
  • Pierre JOUVENTIN, directeur de recherche au CNRS
  • David PINAUD, chercheur au CNRS -CEBC
  • Silvain PINAUD, étudiant au CNRS IHPE
  • Sylvain PINCEBOURDE, chercheur au CNRS de Tours
  • Françoise PINSARD, Informaticien au CNRS
  • Cyril PIOU, chercheur au CIRAD
  • Maryline PIOZ, chercheur à l’INRA
    Guillaume PITON, Post-doc à l’IRSTEA,
  • André PITET
  • Frederic PLANCHON, Chercheur au LEMAR
  • Riwal PLOUGONVEN, professeur de dynamique des océans et d’atmosphère à Polytechnique
  • Gaël PLUMECOCQ, Economiste à l’INRA
  • Marylène POIRIE, professeur à Univ. de Côte d’Azur
  • Laurence POIRIER, Maître de Conférence à Univ. de Nantes
  • Marco POMPILI, au Collège de France
  • Almudena PONCE-SALVATIERRA, post-Doc à l’EMBL
  • Jean-Marc PONS, Professeur au Museum Nat. d’histoire Naturelle
  • Dominique PONTON, sénior à l’IRD
  • Stéphane PONTON, à l’INRA
  • Marie PORTAIL, Chercheur
  • Karen POTTIN, Maître de Conférence à Univ. Pierre et Parie Curie- Paris-6°
  • Simon POUIL, étudiant à Univ. de la Rochelle
  • Bertrand POURRUT, Assistant à ISA Lille
  • Adrien C. POZZI, Aisstant à Univ. de Lyon
  • Valentine PRAT, Post-Doc à IHU Liryc
  • Karine PRINCE, Post-Doc à Museum d’Hist. Naturelle
  • Andreas PRINZING, Professseur à Univ. de Rennes
  • Anne PROBST, directeur de recherche au CNRS
  • Juliana PROSPERI, chercheur au CIRAD
  • Jorian PRUDHOMME, PhD
  • Franck PRUGNOLLE, Chercheur au CNRS
  • Jérôme PRUNIER, post-doc au CNRS
  • Benoît PUJOL, Chercheur au CNRS, ENSFEA, IRD, …
  • Angélique QUILICHINI, assistant, à Univ. de Toulouse
  • Paul QUINDROIT, étudiant
  • Hervé QUIQUAMPOIX, sénior à l’INRA
  • Philippe QUIRION, sénior économiste au CNRS et CIRED
  • Olivier RAGUENES
  • François RAMADE, Professeur émérite au SNPN, membre d’honneur de l’IUCN, Fac. d’Orsay
  • Jean-Yves RASPLUS, direct. de recherche à l’INRA
  • Cyrille B.K. RATHGEBER, sénior à l’INRA
  • Jonathan RAULT, écologiste
  • Pascal RAUX, chercheur économiste à Univ. de Brest (IUEM)
  • Michel RAYMOND, direct. de recherche au CNRS
  • Maria RAZZAUTI-SANFELIU, post-doc à l’INRA
  • Charlotte RECAPET, Maître de Conf. à Université de Pau
  • Emilie REDON, PhD en climat urbain
  • Baptiste REGNERY
  • Maxime REJOU-MECHAIN, Chercheur à l’IRD
  • Denise REMY, professeur d’éthique à VetAgroSup
  • Julien RENOULT, chercheur au CNRS
  • Sylvie RETAUX, Direct. de recherche au CNRS
  • Frédéric REVERS, chercheur à l’INRA
  • Philippe REYNAUD, entomologiste à l’ANSES
  • Emilie RIBAULT, Cot vétérinaire à Univ. de Manchester
  • Charlotte RICAUD, consultant
  • Gaëtan RICHARD, étudiant au CEBC
  • Pierre RICHARD, Direct. de recherche au CNRS de la Rochelle
  • Céline RICHOMME, Manager à l’ANSES
  • Loïc RIDOU, assistant au CNRS
  • Thierry RIGAUD, dir. de recherche au CNRS
  • Alexandre ROBERT, professeur au Muséum d’histoire Naturelle
  • Tony ROBILLARD, professeur au Muséum d’histoire Naturelle
  • Jean-Patrice ROBIN, sénior au CNRS
  • Silvia-Teresa RODRIGUEZ-RAMILO, généticien à l’INRA
  • Charlotte ROEMER, étudiant au MNHN
  • David ROIZ, chercheur à l’IRD
  • Estela ROMERO, chercheur au CNRS
  • Josiane RONCHAIL, Climatologue à Paris-7 et au LOCEAN
  • Jeanne ROPARS, Post-Doc à l’Institut Pasteur
  • Séverine ROQUES, généticien à l’IRSTEA
  • Cristina ROQUET, chercheur au CNRS
  • Magali ROSSI, forestier au FSC
  • Natacha ROSSI, PhD au CRCA
  • Samuel ROTURIER, Assistant à l’AgroParisTech
  • François ROUSSET, Sénior au CNRS Montpellier
  • Raphaël ROUSSET, PhD au CNRS
  • Philippe ROUX, chercheur à l’IRSTEA
  • Magdalena RUIZ-RODRIGUEZ, post-Doc à Sorbonne et Univ Pierre et Marie Curie
  • Cornelia RUMPEL, dir. de recherche au CNRS
  • Arne SAATKAMP, Maître de Conf. à CNRS et Univ. de Aix Marseille et IRD
  • Sylvie SABATIER, chercheur au CIRAD
  • François SABOT, direct. de recherche à l’IRD
    Ivan SACHE, professeur à l’AgroParisTech
  • Alex SALAS-LOPEZ, PhD au CNRS
  • Jean-Baptiste SALLEE, Chercheur au CNRS
  • Mélanie SALOMEZ, à l’Univ. de Montpellier-2
  • Matthieu SALPETER, anthropologiste à l’IRD
  • Jacques SAMARUT, Professeur honoraire à l’ENS Lyon
  • Magali SAN CRISTOBAL, Sénior à l’INRA
  • Wilfried SANCHEZ, à la Fondation Scientifique Rovaltain
  • Andrea SANCHEZ MESEGUER, Post-doc, au CNRS
  • Jean-Christophe SANDOZ, Direct. de recherche au CNRS
  • Arthur ANGUET, PhD
  • Claire SARAUX, Chercheur à l’IFREMER
    Jean-Pierre SARTHOU, professeur Agro à Univ de Toulouse
  • Sabine SAUVAGE, ingénieur au CNRS
  • Daniel SAUVARD, Entomologiste à l’INRA
  • Vincent SAUZEAU, PhD à l’INSERM
  • Raphaël SAVELLI, étudiant
  • Vincent SCAO, Paléoclimatologue à la Commission des énergie atomique et alternatives
  • Renaud SCHEIFLER, Maitre de Conf à Univ. de Bourgogne
  • Laure SCHNEIDER-MAUNOURY, étudiant au Muséum d’Histoire naturelle
  • Quentin SCHULL, Phd
  • Ivan SCOTTI, Sénior à l’INRA
  • Jean SECONDI, assistant à Univ d’Angers
  • Philippe SEGERS, Chef du projet européen HPC, Modèles numériques GENCI
  • Richard EMPERE, Directeur du MOI au CNRS
  • Bénédicte SENGENES, Professeur de musique - Education Nationale
  • Gilles-Eric SERALINI, Criigen à Caen
  • Bruno SERRANITO, PhD
  • Jérôme SERVONNAT, chercheur au LSCE
  • David SHEEREN, professeur à l’ENSA Toulouse
  • Myriam SIEGWART, Ingénieur INRA
  • Marie SIGAUD, Biologiste à l’Univ. d’Oxford
  • Sonja SILIJAK-YAKOVLEV, Biologiste au CNRS, Paris-Sud
  • David SILLAM-DUSSES, Professeur à Univ. Paris-Sud
  • Jean-François SILVAIN, président de la fondation Pour la recherche en biodiversité (FRB)
  • Adriana SIMES, Ingénieur
  • Guillaume SIMIONI, Chercheur à l’INRA
  • Alexis SIMON, étudiant
  • Benoît SIMON-BOUHET, professeur à l’Univ. de la Rochelle
  • Carole SINFORT, professeur à SupAgro de Montpellier
  • Lina SKANDRANI, Chercheur au Muséum d’Hist. naturelle et à l’UNESC
  • Morgan SMITS, étudiant à l’IFREMER
  • Mar SOBRAL, chercheur au CNRS
  • Alice SOCCODATO, PhD au CNES
  • Mirca T. SOFONEA, Enseignant à Univ. de Montpellier
  • Jérémie SOUCHET, étudiant au CNRS
  • Antoine SOULAS, mathématicien à Normal Sup
  • Sabrina SPEICH, professeur de Climatologie à Normal Sup
  • Joël SPIROUX de VENDOMOIS, docteur au CRIIGEN
  • Sabine STACHOWSKI, chercheur à l’IFREMER
  • Linda STAMMITTI, ingénieur à Univ. de Bordeaux
  • Pierre STEPHAN, Chercheur au CNRS
  • Cédric SUEUR, Professeur à Univ. de Strasbourg
  • Yong SUN, Post-doc au LSCE
  • Marc SUQUET, Chercheur
  • Rossana SUSSARELLU, chercheur à l’IFREMER
  • Sergio SVISTOONOFF, chercheur à l’IRD
  • Kevin TALLEC, PhD à l’IFREMER
  • Laurent TATIN, au Conservatoire des espaces naturels
  • Jean-Denis TAUPIN, Sénior à l’IRD et Univ. de Montpellier
  • Nigel TAYLOR, Post-Doc au RISMW
  • Cédric TENTELIER, Assistant à Univ. de Pau
  • Jean-Michel TERRES, agri-environnementaliste
  • Marie-Eve TERRIER, Chef de service à la DD de la protection des populations
  • Jacques TESTART, Direct. de recherche à l’INSERM
  • Christophe THEBAUD, Professeur à Univ. de Toulouse
  • Gaël THEBAUD, chercheur
  • Lieven THERRY, Post-Doc au CNRS
  • Hervé THERY, géographe au CNRS
  • Charles THEVENIN, étudiant à Pierre et Marie Curie
  • Sophie THEVENON, chercheur au CIRAD
  • Virginie THIERRY, chercheur à l’IFREMER, IRD, CNRS et UBO
  • Alexandre THOUZEAU, consultant
  • Gérard THOUZEAU, Directeur de recherche au CNRS
  • Tazzio TISSOT, Univ. de Montpellier
  • Antoine TIXIER, ingénieur civil
  • Kevin TOUGERON, PhD à univ. de Rennes
  • Jordan TOULLEC, PhD à IUEM-UBO
  • Yann TREMBLAY, chercheur à l’IRD
  • Sandra TRIBOR, Botaniste au conservatoire et jardin botanique de Genève
  • Marc TROUSSELLIER, direct. de recherche au CNRS
  • Minh-Xuan TRUONG, étudiant au Museum d’Hist Naturelle
  • Laure TURCATI, chercheur à Univ Pierre et Marie Curie
  • Jean VACELET, biologiste au CNRS
  • Sébastien VALVERDE, Post-doc au Collège de France
  • Martijn VAN DEN BEL, archéologiste à l’INRAP
  • Matthijs VAN DER GEEST, Post-doc au MARBEC
  • Tom J.M. VAN DOOREN, Chercheur au CNRS et IEES
  • Grégoire VANDECASTEELE, cardiologue à l’INSERM
  • Olivier VANHOLSBEECK, Computer Scientist à l’UGLYLAB
  • Brigitte VAN VLIET-LANOE, Chercheur émérite au CNRS et IUEM
  • Francisco VEAS, Professeur à l’IRD
  • Errol VELA, Professeur à Univ. de Montpellier
  • Christian VELOT, généticien à Univ. de Paris-Sud
  • Oriol VERDENY-VILALTA, chargée de recherche à l’YNSECT
  • Catherine VERGELY-VANDRIESSE, Professeur à univ. de Bourgogne
  • Alexis VERGER, biologiste au CNRS
  • Eric O. VERGER, Chercheur à SupAgro de Montpellier
  • Simon VERLYNDE, Chercheur
  • Koen VERMEIR, Chercheur au CNRS
  • Didier VESINET
  • Laurence VIAL, chercheur au CIRAD
  • Vincent A. VIBLANC, Chercheur au CNRS
  • Ghislain VILLIEDENT, Chercheur au CIRAD
    Matthias VIGNON, Assistant à Univ. de Pau et INRA
  • Sandrine VILLETTE, Biophysicien au CNRS
  • Richard VILTE, Chimiste à l’INRA
  • Giovanni VIMERCATI, post-doc à Univ. d’Angers
  • Flora VINCENT, PhD à l’IBENS
  • Grégoire VINCENT, Chercheur à l’IRD
  • Christopher VIOT, Chercheur au CIRAD
  • Jérémie VIVIANI, étudiant
  • Natalia VIZCAINO PALOMAR, Post-doc à INRA-Bordeaux
  • Catherine VOISON, Professeur d’Art à Pairs-1
  • Florence VOLAIRE, Chercheur à INRA et CNRS
  • Michel VOLOVITCH, Professeur émérite à Normal Sup
  • Natacha VOLTO, Ingénieur au CNRS et LIENSs
  • Gwenaël VOURC’H, Chercheur à l’INRA
  • Sophie VRIZ, Professeur à Univ. Paris-Diderot
  • Claire WAELBROEK, paleoclimatologue au CNRS
  • Eivind WAERSTED, étudiant à Polytechnique
  • Alexandra WALCZAK, Chercheur au CNRS
  • François WARLOP, Agronome au GRAB
  • Rémi WATTIER, Professeur à univ. de Bourgogne
  • Gérard WEISBUCH, sénior à Normale Sup
  • Bénédicte WENDEN, Biologiste à l’INRA
  • Joël WHITE, assistant à Univ. de Toulouse
  • Claude WICKER-THOMAS, directeur de recherche au CNRS
  • Claudia WIEGAND, Professeur à Univ. de Rennes-1
  • Laurane WINANDY, Post doc à Univ. de Toulouse-3
  • Guy WOPPELMANN, Professeur des sciences de la terre
  • Maxime WORINGER, Mathématicien, Institut Pasteur
  • Mark WRIGHT, biologiste à Univ. de Toulouse
  • Antoine WYSTRACH, au CNRS
  • Sacha YESILALTAY, étudiants à Normale Sup
  • Benjamin YGUEL, Post doc au MNHN
  • Axelle ZACAÏ, PhD à univ. de Bourgogne
  • Diane ZAROSO-LACOSTE, Post-Doc à université de Paris-Sud
  • Michaël ZUGARO, Direct. de recherche au CNRS

 

[3] Le spécialiste des cyclones Franck Roux  est formel : « On n’observe pas d’augmentation du nombre ni de l’intensité de l’activité cyclonique sur une période de 40 ans »;

[4] Il ne s’agit pas ici de nier l’existence de pollutions graves locales comme celle de New Delhi en nov. 2017. La situation rappelle celle du  grand Smog  à Londres en 1952. La pollution atmosphérique serait-elle un souci de riches et un problème de pauvres ? Hélas, moins les pays sont développés, plus les villes sont polluées.

[5] Les chiffres indiqués dans l’étude sont, par ordre décroissants : le Typhon Haiyan = 4.1 millions de personnes déplacées,  le Typhon Trami = 1.7 millions, le Tremblement de terre de Visayas = 0.35 millions,  le Typhon Man-Yi (Japon) = 0.260 millions, les Inondations Alberta canada = 0.120 millions... Tous ces évènements ne sont pas liés au x variations climatiques.

[6] Mais, en 2012, on a découvert que l’altimètre Topex B, embarqué sur le satellite américano-européen Topex-Poséidon, a fourni des mesures avec des biais de se situant entre 0,9 mm et 1,5 mm.