Le groupe de travail III du Giec recherchait, avant le 17 décembre 2017, des « personnes hautement motivées à agir en tant que bénévoles scientifiques…  Les postes permettront aux volontaires de s'impliquer dans le processus du GIEC  et pour aider à assurer la qualité et la robustesse d'un rapport  important ».
Les critères sont les suivants : «  avoir un doctorat, une maîtrise ou une étude en cours dans un sujet lié à l'interface entre le changement climatique et la terre ». Mais « les candidats retenus travailleront selon les règles et procédures du Giec ». Or ces procédures prévoient  que « les auteurs sont choisis à partir de listes établies par les gouvernements membres, les organisations observatrices et les bureaux (coprésidents et vice-présidents) du groupe de travail ou de l'équipe spéciale produisant le rapport ». Ce sont là des critères très politiques, militants et restrictifs qui ne laissent aucune place au débat contradictoire avec des auteurs connus pour leurs publications ou travaux conduisant à des conclusions héliocentriques (causes du réchauffement d’origine solaire).
Les procédures de sélection prévoient également des critères socio-économiques « assurant une représentation géographique  appropriée des experts des pays en développement et…  l'équilibre entre les sexes ». L’objectif est louable de vouloir « soutenir la formation de la prochaine génération de scientifiques d'évaluation », mais la compétence scientifique est-elle d’essence géographique ou de genre ? Tous ces critères relèvent plus de la politique que de la science et font partie de procédures d’élaboration de « consensus sociaux ».