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L’avantage de l’ignorance

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Publication : 1 novembre 2019

Entre deux Citoyens d'une Ville, s'éleva jadis un différend: l'un était menteur et fort habile, l'autre paysan et ignorant. Le premier sur son concurrent, voulait emporter l'avantage, prétendait que tout homme sage était tenu de l'honorer. C'était un homme sot ; car pourquoi révérer des observations mal décrites ? La raison m'en semble petite. 
Le second devinait tout sec : « Au Giec, vous vous croyez considérables à considérer l’homme coupable ? Que sert de répéter cela incessamment ? Les causes du réchauffement, au soleil sont dues, suivant des cycles d’activité bien connus. Ayant pour tout laquais votre science seulement, la République a bien affaire de gens qui calculent pour rien : Je ne sais d'homme nécessaire que celui qui travaille à produire des biens. Nous en usons, Dieu sait ! Notre travail occupe; l'artisan, le vendeur, celui qui fait la jupe, et celle qui la porte, et vous, qui débattez, de l’homme l’infinie nuisance, grâce à des budgets publics usurpés ».
Ces mots remplis de pertinence eurent le sort qu'ils méritaient : L'homme habile se tut, ne savait plus que dire. Le gueux avait plus raison qu'une satire. Le menteur quitta le lieu que nos gens habitaient. Bien qu’il se crut habile, le savant resta sans asile ; il reçut partout des mépris: L'autre reçut partout quelque faveur nouvelle. Cela décida leur querelle.
Laissez dire les menteurs ; le bon sens a son prix.

D'après La Fontaine

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LE CLIMATOLOGUE QUI SE LAISSE TOMBER DANS UN PUITS 

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Publication : 1 novembre 2019

Un Climatologue, un jour, se laissa choir, au fond d'un puits de carbone. Nul ne lui dit : « Pauvre bête ! Tel un âne, tu n’as pas su voir, la vérité au-dessus de ta tête ! »
Cette aventure en soi, sans aller plus avant, peut servir de leçon à la plupart des hommes. Parmi ce que de gens sur la terre nous sommes, il en est peu qui fort souvent ne se plaisent d'entendre dire qu'aux taches du Soleil les mortels peuvent lire.
Mais les écrits du Giec, que tous vénèrent, affirmant la cause humaine du réchauffement, nient jusqu’à la Providence ?
Or du hasard il ne serait point de science : s'il en était, on aurait tort de l'appeler hasard, ou fortune, ou sort, toutes choses très incertaines.
Or, les émissions humaines,  elles, seraient certaines, et l’ignorance serait au sein  de ceux qui n’en croiraient rien !
Notre âne ignorait ce qui vient des étoiles ! Ce que la nuit des temps enferme dans leurs voiles ? À quelle utilité ? Pour exercer l'esprit de ceux qui de la sphère et du globe ont écrit ? Pour nous faire éviter des maux inévitables ? Nous rendre la décroissance incontournable ? Et causant du dégoût pour nos biens détenus, les convertir en maux, nous répète l’ONU ?
Ce serait erreur, ou plutôt crime de le croire : le firmament se meut ; les astres font leur cours, le soleil nous luit tous les jours.
Au fil des siècles, son activité se revêt de taches noires, Sans que nous en puissions autre chose inférer que la nécessité de luire et d'éclairer, d'amener les saisons, et leur douce clémence, de verser sur la terre certaines influences. Du reste, en quoi répond au sort toujours divers ce train toujours égal dont marche l'univers ?
Charlatans, faiseurs d'horoscope, arrêtez vos conférences climatiques en Europe ; Emmenez avec vous les menteurs en même temps. Vous ne méritez pas plus de foi que ces gens.
Je m'emporte un peu trop ; revenons à l'histoire de cet observateur qui fut contraint de boire l’eau de son puits. Outre la vanité de son art mensonger, C'est l'image de ceux qui croient aux chimères cependant qu'ils sont en danger, soit pour eux, soit pour leurs affaires.

D'après La Fontaine

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Pas d'ordination de « viri probati » mariés ! Vers une Écologie intégrale de la sexualité humaine !

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Publication : 31 octobre 2019

Les enquêtes d’opinion publique semblent indiquer que plus de 90% des français, catholiques ou non, sont favorables à la recommandation du document final du synode sur l’Amazonie d’ordonner des personnes mariées. Mais quels sont les sondés qui ont lu ce document ? Qui explique aujourd’hui le sens de la sexualité et le signe constitué par l’ordination de prêtres célibataires ? Les réflexions qui suivent voudraient porter sur :
- La corporalité homme-femme d’Adam et Ève, dont la Genèse explique qu’elle est à l’image du Créateur
- Le Big-bug ontologique qu’a constitué le péché originel jusqu’à modifier la corporalité de nos premiers parents, leur sexualité n’en demeurant pas moins un vestige de la beauté originelle du créateur.
- Le pourquoi, dans ce contexte, du célibat du Christ lui-même et donc de la continence des clercs.
Faute de réponses à ces questions, toute l’actualité synodale reste incompréhensible à nos contemporains pour qui la sexualité devient un droit, dans le mariage ou hors mariage, ou qui acceptent les publicités de Gleeden menant des campagnes « pro-adultère ». Personne ne s’insurge contre les sites de pornographie faisant tant de dégâts auprès des jeunes, mais également au sein même des couples. Certains parents s’émerveillent devant leurs jeunes adolescents qui vivent des expériences de cohabitation précoces et certains enseignants vont jusqu’à recommander aux jeunes adolescents de faire leurs expériences hétéro ou homosexuelles. Tout se passe comme si notre époque considérait que l’exercice de la sexualité était l’aboutissement ultime de la liberté individuelle. La sexualité devient un droit. Dès lors, le commun des mortels pense que les prêtres devraient avoir les « mêmes droits ».

Comment notre société peut-elle alors comprendre ce que le document synodal recommande : l’ordination de personnes « qui ont un diaconat permanent fécond » (sic § 111)  et non pas l’ordination de viri probati, c'est-à-dire d’hommes éprouvés, comme le font croire les commentateurs. A quoi seraient-ils éprouvés ? S’agirait-il de l’« obligation de garder la continence parfaite » qui est faite par le droit canon aux diacres, comme à tous les autres clercs. La tentation est grande de ricaner, un peu comme le fit Sarah, la femme incrédule d’Abraham, et d’imaginer qu’il s’agit d’une épreuve qui serait imposée aux clercs.
Seule une réflexion anthropologique préalable permet de voir en quoi ces règles se sont imposées comme une évidence vécue, au fil des siècles, par les clercs eux-mêmes. Nous sommes face à un véritable handicap de nos sociétés à comprendre des thèmes qui relèvent d’une vraie écologie intégrale de la sexualité. Aujourd’hui plus que jamais, les prêtres et les diacres nous appellent à mieux comprendre toute la signification de la sexualité humaine.

Analyse: "les2ailes.com"

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 Notre « mère-Terre » ou notre « sœur la Terre » ? Paganisme ou catholicisme ?

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Publication : 28 octobre 2019

« La nature n’est pas une mère,
elle est une sœur et même une sœur cadette,
une petite sœur dont on peut rire et que l’on peut aimer »
(Gilbert Keith Chesterson) [1]

Les medias s’emparent de l’actualité du Synode sur l’Amazonie pour faire croire que le synode en appelle à un retour aux traditions ancestrales et indigènes de notre « mère la Terre ». Nous proposons ici de lire en détail ce que dit le rapport final adopté par les pères synodaux et les contextes exacts de ses citations. On rappellera que Laudato si reprend l’expression de Saint-François d’Assise : « sœur notre mère la Terre »[1bis]. Tout discours magistériel mérite d’être travaillé à la lumière de ce que  Benoit XVI appelait l’herméneutique de la continuité. Y a-t-il une continuité dans la tradition de l'Église à parler de « terre-mère » ? Si oui, elle pourrait répondre, certes avec un caractère très minoritaire, de la tradition franciscaine. Reste à mieux connaître l’analyse franciscaine de l’ajout du mot « sœur » dans l’expression « notre sœur la terre-mère ». Le père Georges Morin, franciscain, montre que « l’appellation ‘sœur’ donnée à la terre marque la limite » de la maternité de la terre. La terre « n’est pas cependant la source absolue de l’être et de la vie ; elle est elle-même une créature, au même titre que les autres réalités cosmiques ». Le père Georges Morin dénonce cette « image archaïque de la « mère nourricière » dont notre vie dépend ».

Analyse « les2ailes.com »

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"Environnement en France": un référentiel dogmatique

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Publication : 26 octobre 2019

Il y a 25 ans, à l’automne 1994, paraissait la première édition d’un rapport intitulé « L’environnement en France ». Le gouvernement a publié son édition  2019 : « rapport de synthèse - l’environnement en France ». Il est préfacé par le ministre Elisabeth Borne. Il est sensé fournir une vision synthétique de l’état de l’environnement et propose des approches systémiques sur ce qu’ils qualifient de « grands enjeux ».
Nous citons ce document car, pour la première fois depuis qu’il existe, il introduit le concept scientifique des « 9 limites de la planète », thème que nous avions analysé en détail le 4 juillet 2015.
Le rapport qualifie cette approche d’« innovante » car elle permettrait d’examiner « le bien-être des Français au travers de l’analyse des principales fonctions de vie (se loger, se nourrir, se déplacer) vue sous le prisme des limites planétaires ».
Ce concept de « 9 limites planétaires », était né avec la publication, le 15 janvier 2015, une prétendue étude scientifique intitulée : "Planetary Boundaries: Guiding human development on a changing planet". Dix neuf auteurs y analysent une série de neuf critères justifiant, selon eux, des entraves à l’activité humaine sous forme de "limites planétaires".
Johan Rockström,  un des co-auteurs, a longuement présenté les conclusions au « forum économique mondial » de Davos, les 21-24 janvier 2015. Or ce document montrait les « limites », sans jeu de mot, de ce concept. Les auteurs reconnaissaient eux-mêmes que sur chacun des 9 thèmes, il était  tantôt impossible de conclure, tantôt qu’ils ne disposaient pas d’indicateurs, ni d’historiques de données.
Nous ne reprendrons pas ici l’analyse faite en 2015 par « les2ailes.com »

Source : « Rapport de synthèse - l’environnement en France »

Commentaire "les2ailes.com"

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"Petit catéchisme sur le péché originel" selon Totus-tuus

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Publication : 16 octobre 2019

Dans un article précédent, nous expliquions les risques  de confusion entre les concepts de monde créé et de  monde naturel.  Ce questionnement n’est pas qu’un exercice sémantique. Une meilleure compréhension théologique de la création est fondamentale dans toute réflexion sur l’écologie. Cette confusion conduit à se méprendre sur des expressions comme « garder la création »  ou « protéger la nature ». Voilà des expressions qui sont sources de confusion si la nature n’est, en définitive, qu’un état dégradé de la création ? L’essentiel ne serait-il pas plutôt de se protéger du mal, du malin qui a précipité et précipite encore toute la création dans une nature corrompue ?
Nous reprenons ici les commentaires de Matthieu Boucart, un laïc, juriste de formation, né vers 1973, qui a créé un blog s’inspirant du philosophe Claude Tresmontant . Il y a publié un « Petit catéchisme sur le péché originel » qui développe ce qu’est la thèse originale de Mgr Léonard ». Il faut toutefois rappelé, qu’il s’agit d’une thèse méta-historique évoquée par de nombreux auteurs allant de saint Jean-Paul II à saint Augustin, et de penseurs et théologiens orthodoxes russes, de Nicolas Berdiaev et Vladimir Lossky à Olivier Clément[1], et aussi le Père Frédéric Masset, Pierre Milliez, Bernard Sesboué[2], le père Gaston Fessard, le Père Florent Urfels[3], etc...

Transcription « les2ailes.com »

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En quoi les risques environnementaux sont-ils-avérés ?

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Publication : 16 octobre 2019

 

Dans de nombreux articles de ce blog, nous mettons en garde sur les fausses allégations santé concernant des problématiques environnementales locales, et sur les graves erreurs des modèles attribuant à l’homme les pollutions planétaires telles que le réchauffement climatique ou le trou d’ozone.
Nous considérons comme un acquit nos arguments. Il n’est pas inutile de rappeler ici sur quoi nous nous fondons.

 Analyse: "les2ailes.com"

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