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La pause du réchauffement climatique de 1998 à 2012 a été réelle

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Publication : 30 octobre 2020

Le GWPF (Global Warming Policy Foundation), cercle britannique de réflexion et d'influence sur le climat fondé en 2009, vient de faire état d’une nouvelle analyse mondiale de la température mondiale de l'air. David Whitehouse, rédacteur scientifique du GWPF a fait état le 23/09/20 de la publication faite par des chercheurs de l'Université de Tongji à Shanghai mettant en lumière le récent hiatus très débattu de la température mondiale. 
Ils ont trouvé une tendance au refroidissement sur la période 1998–2012 qui était significativement différente de celle de l'intervalle 1970–1997 qui se caractérise par un réchauffement important. Ils concluent : « nos résultats fournissent de nouvelles preuves de la récente interruption du réchauffement climatique » et soulignent « le potentiel de l'utilisation des isotopes des précipitations pour suivre les changements climatiques ».

Information "les2ailes.com"

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"L'écologie, nouveau jardin de l'Eglise" : Revue de presse

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Publication : 6 octobre 2020

L’écologie, nouveau jardin de l’église - Dialogue et controverse, pour que justice et paix s’embrassent (Lyon, Peuple Libre, nov. 2020). Fabien REVOL - Stanislas de LARMINAT, Préface du Père Nicolas BUTTET, cofondateur d’Eucharistein.

- Fabien REVOL est théologien et universitaire, co-Responsable du pôle « Développement Intégral, Ecologie, Ethique » de l’UR « Confluence Sciences et Humanités » et Titulaire de la Chaire Jean Bastaire de l’Université Catholique de Lyon.
- Stanislas de LARMINAT, agronome et bio-éthicien, a publié d’autres ouvrages sur l’écologie, dont le dernier était également le fruit d’un dialogue avec des représentants du GIEC : « Climat, et si la vérité nous rendait libre » (TerraMare, 2016). Il a entrepris, à pied autour de la France mariale, une retraite itinérante, temps de prière et de dialogue.

Livre à commander à votre libraire (ou en ligne, par exemple: la Procure) ou directement au diffuseur AVM Diffusion.

Comme le dit le Père Nicolas BUTTET, dans sa préface: « Fabien Revol et Stanislas de Larminat échangent entre eux… Une telle démarche apparaît comme prophétique dans l’Église catholique de notre temps. Il est si difficile en effet d’oser le dialogue, d’affronter avec maturité humaine et liberté intérieure les divergences de vue ou d’opinion dans l’Église ».

L'ouvrage a été l'objet de certaines revues de presse: 

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"L'écologie, nouveau jardin de l'Eglise" : Résumé

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Publication : 6 octobre 2020

Laissez vous tenter par un nouvel ouvrage, pour vous, pour faire un cadeau, ou pour préparer vos bibliothèques tournantes: 
L’écologie, nouveau jardin de l’église - Dialogue et controverse, pour que justice et paix s’embrassent (Lyon, Peuple Libre, nov. 2020). Fabien REVOL - Stanislas de LARMINAT, Préface du Père Nicolas BUTTET, cofondateur d’Eucharistein.

- Fabien REVOL est théologien et universitaire, co-Responsable du pôle « Développement Intégral, Ecologie, Ethique » de l’UR « Confluence Sciences et Humanités » et Titulaire de la Chaire Jean Bastaire de l’Université Catholique de Lyon.
- Stanislas de LARMINAT, agronome et bio-éthicien, a publié d’autres ouvrages sur l’écologie, dont le dernier était également le fruit d’un dialogue avec des représentants du GIEC : « Climat, et si la vérité nous rendait libre » (TerraMare, 2016). Il a entrepris, à pied autour de la France mariale, une retraite itinérante, temps de prière et de dialogue.

Livre à commander à votre libraire (ou en ligne, par exemple: la Procure) ou directement au diffuseur AVM Diffusion.

Comme le dit le Père Nicolas BUTTET, dans sa préface: « Fabien Revol et Stanislas de Larminat échangent entre eux… Une telle démarche apparaît comme prophétique dans l’Église catholique de notre temps. Il est si difficile en effet d’oser le dialogue, d’affronter avec maturité humaine et liberté intérieure les divergences de vue ou d’opinion dans l’Église ».

Les divergences philosophiques et scientifiques, théologiques et pastorales, écologiques et politiques, n’ont pas manqué entre les auteurs. Elles sont évoquées dans l’introduction de l’ouvrage :

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Écologisme et « théorie du Care » : deux idéologies de même inspiration.

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Publication : 29 septembre 2020

En quoi l’éthique du care et la philosophie morale des « biens communs » sont-ils à rapprocher ?
La philosophie du Care, est une dialectique de la vulnérabilité qui joue du rapport "fort/faible": L’ensemble de la communauté internationale nous pousse, progressivement, dans une éthique très contestable, celle de l’éthique de responsabilité [1]. Elle inclut, bien sûr, une éthique de la solidarité, une éthique du respect des droits de l’homme, mais sans se poser la question de savoir de quel homme on parle. L’éthique du Care  peut être bonne, mais qui n’est pas suffisante, dans la mesure où elle relève d’un certain relativiste de ce qui mérite un soin et de ce qu’est le soin à apporter.
L’écologisme, avec son slogan : « prendre soin du climat », ou « prendre soin de la planète » rentre dans une éthique du même ordre. Comment cela ?

Analyse « les2ailes.com »

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Le temps se fait court (1Co 7,29): « Urgence écologique » ou « Cap vers le port » ?

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Publication : 25 septembre 2020

« Les laïcs....ont le droit [et même parfois le devoir] de s’ouvrir à ces mêmes pasteurs ....dans la mesure de leurs connaissances, de leurs compétences et de leur situation, et de  manifester leur sentiment en ce qui concerne le bien de l’Église » (Lumen gentil 37)

Le groupe de travail interdicasteriel du Saint-Siège sur l’écologie intégrale a publié la version française de En chemin pour la sauvegarde de la maison commune 5 ans après Laudato si.
L’introduction commence par cette phrase : « ‘Le temps se fait court’ (1Co 7, 29). Cette exhortation…, nous l’entendons aujourd’hui résonner avec urgence ». Urgence climatique ou appel à nous tourner vers la terre nouvelle ? Saint Paul utilise un terme technique de la navigation : « littéralement, le temps a cargué ses voiles : quel que soit le temps restant à courir jusqu’à la parousie,  de toute façon, dans le Christ ressuscité, le monde à venir est déjà présent »[1]. Notre vie est comme une navigation toujours orientée vers le port. 

Transcription : « les2ailes.com »

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L’écologie : « chemin d’évangélisation » ou prosélytisme ?

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Publication : 13 septembre 2020

La revue « Limite » du 25.4.2017 interrogeait ainsi Gautier Bès de Berk  « Pensez-vous que l’écologie intégrale… puisse être un chemin d’évangélisation pour notre monde sécularisé ? ». Il répondait : « Tout dépend de ce qu’on cherche par l’évangélisation. Si c’est attendre de celui qui ne l’est pas qu’il devienne catho, alors c’est d’avance voué à l’échec et l’écologie intégrale n’apportera rien. Si l’évangélisation, c’est mettre les évangiles en mouvement, aller chercher dans notre quotidien là où ils rentrent en questionnement avec nos pratiques et accrochent nos contradictions, alors l’écologie intégrale peut devenir un moteur intéressant pour nourrir notre propre démarche… ».
Patrice de Plunkett n’a pas le même regard: « L’écologie est enfin un chemin d’évangélisation et de témoignage catholique. Ni superflu ni dissidence, on est dans le cœur du message chrétien ! ».
Vincent Neymon, parle de son côté de l’écologie intégrale comme d’un « outil d’évangélisation »[1].
Il y a dans ces sémantiques une confusion entre les concepts d’évangélisation, de cheminement avec les incroyants, et de nécessité de « l’exigence de la rencontre pour rejoindre les personnes là où elles sont », comme le disait le pape François au cours d’une audience  le 18.11.2019.
La peur écologique est certes un signe des temps. Mais la tolérance et le subjectivisme également, la sexualité comme objet de consommation aussi. Nul ne penserait à évoquer comme un chemin d’évangélisation de notre temps l’idée de partager avec nos contemporains, un peu de subjectivisme. Quant à certaines communautés religieuses qui ont rejoint la génération 68 en faisant la promotion  de la libération sexuelle pour être dans l’ère du temps, on sait les ravages que ces discours ont fait dans l'Église. On pourrait également évoquer l’évangélisation du prolétariat par des pasteurs qui ont pensé devoir faire « un bout de chemin » avec le marxisme?
Alors est-il si sûr que rejoindre les personnes sensibles à l’écologie doive passer par une collaboration avec la peur écologique, même un tant soit peu ?  
Avant de parler de « chemin d’évangélisation », il faudrait préciser ce que l'Église entend par évangélisation.

Analyse "les2ailes.com"

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Un pèlerin complètement « cramé »!

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Publication : 2 septembre 2020


Non que le soleil soit déplaisant pour un pèlerin. Il est simplement propice à une réflexion sur ce qualificatif populaire , « cramé » ! Le mot évoque un individu dont la prise de parole devient difficile : il est brûlé, carbonisé, non parce qu’il serait fou, « barge » ou complètement « tapé » comme on dit. En réalité son discours est repéré. Il est donc radié du monde consensuel. Au long des chemins, il se bat pour un peu plus de vérité dans les pastorales écologiques. Mais, comme le disait  Henri de Montherlant (La Reine morte, 1942, page 221), « Le bruit de la vérité les épouvante comme la crécelle d'un lépreux ». Un pèlerin « cramé » marche avec une crécelle!
Faut-il s’émouvoir de se sentir « cramé »? Le journaliste Raphaël Enthoven, pourtant peu recommandable, parle avec humour d’Alain Finkielkraut: « l’avantage d’être cramé depuis une éternité, c’est que les ailes ne brûlent plus... Sa longévité sur le court force le respect mais l’expose à se faire battre par des amateurs. J’ai parfois le sentiment [qu’il] n’imagine pour lui qu’une seule fin : la crucifixion où il verrait la preuve qu’il a raison. »

Il ne s’agit pas de se donner une posture de crucifié, ni de prétendre avoir le talent de Finkielkraut, mais simplement de comprendre que les écologistes qui s’acharnent à « cramer» leurs contradicteurs sont hélas souvent des écologues amateurs qui n’ont comme source que les lieux de consensus, médias, ONG ou politiques.

On ne devrait pas dire « il est cramé », mais « il s’est cramé ». En effet, le cramé n’a pas vraiment été « adroit comme les serpents, et candide comme les colombes » (Mt 10,16) . Sa parole était plutôt du genre « tranchante [comme une] épée quelconque à deux tranchants » (Hébreux 4:12).

Dans ce combat pour la vérité, qui est le plus « cramé »?

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