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 Réchauffement climatique et rayons cosmiques

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Publication : 29 mars 2022

"Un problème bien posé est à moitié résolu" 
(John Dewey, "Logic; the theory of inquiry", 1938)

Il ne suffit pas d’être critique sur la thèse du Giec qui voit dans l’activité humaine une cause essentielle de la période chaude climatique actuelle en montrant, par exemple, l’incongruité consistant à ne retenir que les 150 dernières années d'observations  Comment ces modèles peuvent-ils, sur une période aussi courte, expliquer le réchauffement du moyen-âge et le refroidissement du petit âge glaciaire ? Par ailleurs les modèles du Giec n’ont recours à aucune probabilité calculée, mais à ce qu’il qualifie de probabilités subjectives (AR5 GT2, § 2.6.2). Enfin, le G.I.E.C. reconnait qu’il est conduit à éliminer certains facteurs pour limiter la complexité, en particulier le rôle des nuages : dans leurs modèles, le G.I.E.C.  ne retient que « des conditions de ciel clair … ». !
Il ne suffit pas, même si c’est indispensable, de quantifier une relation de cause à effet entre les variations d’activité solaire et les variations de températures pour être convaincu que le soleil est le principal moteur de la mécanique climatique. À cette fin, il faut avoir recours à une discipline : l’identification des systèmes complexes.
Pour approfondir le sujet, il faut expliquer le mécanisme de cet impact solaire sur le climat. Et en particulier le lien entre les rayons cosmiques et la formation des nuages.
En 2010, la faculté de Physique de l’université Nationale du Vienam a présenté la soutenance de thèse de Nguyễn Văn Hiệp, spécialiste de physique nucléaire. Son mémoire était intitulé « Réchauffement climatique et rayons cosmiques ». Nous reprendrons, ci-dessous, une grosse partie de ce document, à la fois précis et suffisamment clair pour vulgariser les travaux de 1997 menés par Svensmark et Friis-Christensen[3]. Ces scientifiques ont découvert que la couverture nuageuse globale de la planète était en étroite corrélation avec l’intensité du rayonnement cosmique galactique, laquelle est à son tour modulée par le cycle d’activité solaire dont l’abondance des taches solaires est une mesure. La terre est en partie protégée du rayonnement cosmique par le champ magnétique qui règne à l’intérieur du système solaire, lequel est perturbé par le vent solaire dont l’intensité fluctue en fonction de l’activité solaire. L’intensité du vent solaire et le champ magnétique qu’il transporte ont plus que doublé au cours du siècle dernier[4]. L’augmentation du champ magnétique est telle qu’au cours de cette même période l’intensité des rayons cosmiques qui atteignent la terre a diminué d’environ 15%.
Reste  encore à essayer de comprendre ce que sont les rayons cosmiques et les fameux aérosols indispensables à la formation des nuages. Telle est l’objectif de cet article.

Source principale : thèse de Nguyễn Văn Hiệp (2010)

Analyse: "les2ailes.com"

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LE DARWINISME? HASARD ou NECESSITE ?

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Publication : 3 mars 2022

La grande aventure de la vie commence sur terre depuis il y a 3,5 à 4,5 milliards d’années avec l’apparition des bactéries. L'apparition de la vie est-elle le fruit du Hasard ou d'une Nécessité pour reprendre les termes de l'essai sur la philosophie naturelle de la biologie moderne, écrit en 1970 par le biologiste Jacques Monod ?
On dispose de quelques séries de fossiles qui permettent de penser à une descendance nombreuse d'une même origine. Mais, comment expliquer cette merveilleuse diversité? Nous proposons de "zoomer" sur deux théories évolutives: celle de Charles Darwin et celle de Christiaan de Duve. 

Analyse "les2ailes.com

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Comment expliquer la période chaude contemporaine  ?

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Publication : 13 février 2022

"Je n'ai jamais rien appris d'une personne qui était d'accord avec moi."
(Dudley Field Malone)

 Il est certes tentant de critiquer les modèles du Giec, en montrant, par exemple, l’incongruité consistant à ne retenir que les 150 dernières années d'observations [1] ! Comment ces modèles peuvent-ils, sur une période aussi courte, expliquer le réchauffement du moyen-âge et le refroidissement du petit âge glaciaire ? Par ailleurs les modèles du Giec n’ont recours à aucune probabilité calculée, mais à ce qu’il qualifie de probabilités subjectives (AR5 GT2, § 2.6.2) [2]. Enfin, le G.I.E.C. reconnait qu’il est conduit à éliminer certains facteurs pour limiter la complexité, en particulier le rôle des nuages : dans leurs modèles, le G.I.E.C.  ne retient que « des conditions de ciel clair [3]… ». Pourquoi cela? Parce que, dit le G.I.E.C., « l’introduction de nuages compliquerait grandement les objectifs de la recherche[4] ». Ce point est particulièrement incompréhensible quand on sait le rôle des rayons cosmiques sur la création des nuages (voir video qui suit)
Mais, il ne suffit pas de critiquer les modèles du GIEC. Pour expliquer que le soleil est le principal moteur de la mécanique climatique, il faut avoir recours à une discipline : l’identification des systèmes complexes. C’est le seul moyen de quantifier une relation de cause à effet entre les variations d’activité solaire et les variations de températures.  
Mais, on aura raison de dire que c’est encore insuffisant et qu’il faut expliquer le mécanisme de cet impact.
Un des grands spécialistes de la cosmoclimatologie est Henrick Svensmark. Nous recommandons la vidéo ci-jointe au cours de laquelle ce scientifique Danois explique le rôle des rayons cosmiques sur les couches de nuage: « Quand un fort champ magnétique émane du soleil ça diminue la quantité de rayons cosmiques qui balaie la terre ce qui  signifie qu'il y aura moins de nuages pour nous tenir au frais. Au contraire un soleil paresseux avec un champ magnétique faible laisse pénétrer davantage de rayons cosmiques qui eux-mêmes produisent plus de nuages qui contribuent à refroidir la terre. ».

 

Source: Youtube - Conférence d'Henrick Svensmark - 23.11.2018

Traduction : « les2ailes.com » 

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Évènements extrêmes et réchauffement climatique ? Aucune tendance positive claire !

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Publication : 5 février 2022

"La nature est ainsi faite. On s'habitue à tout"
(R.J. Palacio, "White bird:..." 2022)

Quatre professeurs italiens des universités de Milan, Vérone et Padoue, Gianluca Alimonti, Luigi Mariani, Franco Prodi & Renato Angelo Ricci ont publié le 13 janvier 2022, dans la revue « The European Physical Journal Plus » un article intitulé : « Évaluation critique des tendances des événements extrêmes en période de réchauffement climatique ».
Cet article passe en revue la bibliographie récente sur les séries chronologiques de certains événements météorologiques extrêmes et les indicateurs de réponse connexes afin de comprendre si une augmentation de l'intensité et/ou de la fréquence est détectable. L’article commence par le résumé suivant :
Les changements globaux les plus robustes dans les extrêmes climatiques se trouvent dans les valeurs annuelles des vagues de chaleur (nombre de jours, durée maximale et chaleur cumulée), tandis que les tendances globales dans l'intensité des vagues de chaleur ne sont pas significatives. L'intensité des précipitations quotidiennes et la fréquence des précipitations extrêmes sont stationnaires dans la majeure partie des stations météorologiques. L'analyse des tendances des séries chronologiques des cyclones tropicaux montre une invariance temporelle substantielle et il en va de même pour les tornades aux États-Unis. Dans le même temps, l'impact du réchauffement sur la vitesse du vent de surface reste peu clair. L'analyse est ensuite étendue à certains indicateurs mondiaux de réponse aux événements météorologiques extrêmes, à savoir les catastrophes naturelles, les inondations, les sécheresses, la productivité des écosystèmes et les rendements des quatre principales cultures (maïs, riz, soja et blé). Aucun de ces indicateurs de réponse ne montre une tendance positive claire des événements extrêmes. En conclusion, sur la base des données d'observation, la crise climatique que, selon de nombreuses sources, nous vivons aujourd'hui, n'est pas encore évidente. Il serait néanmoins extrêmement important de définir des stratégies d'atténuation et d'adaptation qui tiennent compte des tendances actuelles.

Source: Springer Link - The European Physical Journal Plus -13.1.2022

Transcription: les2ailes.com

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Cyclone Batsirai à la Réunion : Le simplisme climatique, arme de séduction massive

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Publication : 4 février 2022

12 blessés, 860 000 personnes barricadées, 30 000 privées d'eau et 74 000 d'électricité ! Certes, le cyclone Batirai n’a pas été des plus violents, mais c’est une occasion de s’interroger sur les allégations classiques concernant la responsabilité du réchauffement climatique. Déjà à l’occasion de l’ouragan Irma, qui avait fait plus d’une centaine de morts, Emmanuel Macron avait affirmé, à New-York le 19/09/2017, qu'« il y a toujours eu des ouragans dans cette région, mais leur violence et leur fréquence est clairement corrélée avec le phénomène de réchauffement ». Qu’en est-il ?
Source: Tribune LSDJ du 4.2.2022 de Stanislas de Larminat

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Chemin d'évangélisation? Orientations pour une pastorale de l’écologie intégrale

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Publication : 4 février 2022

Pour recentrer notre pastorale de l'écologie, il faut revenir aux messages novateurs de Laudato si:

  • L’écologie intégrale, qui n’est pas l’intégralité de l’écologie mais l’intégralité des relations entre l’homme, Dieu, lui-même, son prochain, et la création. 
  • La théologie de la relation (« tout est lié »), mériterait également d’être développée et expliquée. Dans cette expression, il ne faut pas tant voir des relations de cause à effet que des relations essentielles de dépendance : la créature est en péril quand elle oublie son créateur car « tout est lié ».
  • La théologie de la création, autour du thème "tout est donné". La vie est donnée à chacun, mon prochain m'est confié, la création est un don. Ces dons nous obligent: notre vocation est don.
  • La vision eschatologique de Laudato si, de notre divinisation qui pourrait être éclairée à la lumière du Concile: « l’attente de la nouvelle terre, loin d’affaiblir en nous le souci de cultiver cette terre, doit plutôt le réveiller. ... Car, …tous ces fruits de notre nature et de notre industrie, que nous aurons propagés sur terre selon le commandement du Seigneur et dans son Esprit, nous les retrouverons plus tard, mais purifiés de toute souillure, illuminés, transfigurés, lorsque le Christ remettra à son Père, un Royaume éternel et universel  »  (Gaudium et spes, n° 39-2 et 3).

Nos démarches de pastorale écologique se limitent-elles au cœur du message de Laudato si?

Analyse: les2ailes.com

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TROU D’OZONE : DEPUIS 35 ANS, ON CONNAIT L’INFLUENCE SOLAIRE !

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Publication : 1 février 2022

Il est des anniversaires qui passent inaperçus. Celui de la publication scientifique de Hurd C. Willet, en février 1962, en est un exemple. Il fut un des premiers à remarquer une corrélation très significative « entre le nombre de tâches solaires et la moyenne mondiale de l’ozone total ». Voilà une occasion de prendre du recul sur le trou d’ozone dont on a longtemps dit qu’il était causé par les émissions humaines de gaz ChloroFluoroCarbonés (CFC). Pour plus d'information, télécharger ICI un dossier complet, voir Video : « Le mystère des cycles solaires » et lire la suite:

Analyse : Les2ailes.com

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