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« Pour pouvoir continuer à dîner en ville, la bourgeoisie accepterait n’importe quel abaissement » (Extrait de « C’était de Gaulle », par Alain Peyrefitte).
Dans son blog, le journaliste italien Aldo Maria Valli[1], développe les travaux de Mattias Desmet dans son ouvrage « Psychologie du totalitarisme. » (Ed Pelckmans, Be. Kalmthout- janv 2022). Ce professeur belge de psychologie à l’université de Gand explique que la liberté d’expression est plus importante que jamais. En effet, la formation de la masse est comme l'hypnose de groupe, induite par la voix du leader, cette voix doit toujours être entendue, atteindre tout le monde et ne pas être dérangée par des interférences. Peu de gens remettent cette voix en question. Si vous le faites, vous serez commodément catalogué par les théoriciens du complot.
Il est donc important de parler comme une voix dissidente, non seulement pour l’effet que cette parole a sur les autres, mais aussi pour l’effet qu’il a sur nous-mêmes. Nous vivons dans une société où il n'y a désormais plus de place que pour un seul récit.
Mattias Desmet est inspiré par la philosophe et penseuse politique Hannah Arendt et le sociologue et psychologue Gustave Le Bon.
Cette analyse de Mattias Desmet, faite à propose de la crise du Covid, s’applique bien aux grandes hystéries écologiques. Nous transcrivons ce travail après avoir simplement remplacé le mot COVID par celui de réchauffement climatique.
Site Aldo Maria Valli, 15 oct 2022
Transcription: "les2ailes.com"