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De quoi n'avez-vous pas peur ? Le menteur et le diviseur à la manœuvre ?

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Publication : 31 août 2020

"C’est un triomphe pour la science:
nous avons établi les estimations
pour la capacité de chargement de la planète,
nommément en dessous de 1 milliard de personnes"
 
(Hans Joachim Schellnhuber)[1]

En matière de santé: peur du virus, du cancer, du handicap, de la mort ; en matière de sécurité: peur dans les trains de banlieue, des casseurs dans les manifs, du viol de nos jeunes filles, des immigrés  en matière d’écologie : peur des OGM, du réchauffement climatique, de la disparition de l’ozone, du glyphosate, d’une pénurie d’eau, des virus coronariens, des pesticides, de la 6ème extinction des espèces et des abeilles, de la surpopulation, de la raréfaction des ressources et du jour du dépassement planétaire, de la sixième extinction des espèces, peur pour les générations futures, peur du risque en général…
De quoi n'avons-nous pas peur ?
La peur ne serait-elle pas devenue un instrument de gouvernance ?
Qui et comment sont véhiculées ces peurs ? Les gouvernants qui, avec des règles et des interdits, ne font en réalité qu’amplifier les craintes, accroître la crédulité sur les risques, … Les medias qui jouent de la peur pour vendre du papier à des lecteurs rêvant de trouver le lendemain une nouvelle plus rassurante. Hélas … !
La jeunesse est particulièrement exposée, faute d’expérience, elle n’a pas appris à prendre du recul sur les allégations anxiogènes. Les programmes scolaires considèrent le consensus comme un acquit de la science, alors que le consensus n’est qu’un argument d’autorité qui n’apporte aucune autorité aux arguments avancés.
En des temps où, même les chrétiens, ont des difficultés à croire à l’existence du démon, on est en droit de s’interroger : la peur serait-elle d’essence diabolique ?
Le bon moyen de résister à la peur : la joie ! "N'ayez pas peur! … Soyez dans la joie"  (Jean 6, 20  ... Matthieu 5, 12),  "dans la joie … que donne l'abondance de toutes choses"   (Deutéronome 28, 47).

Analyse "les2ailes.com"

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Une avalanche de publications scientifiques contredisant le GIEC !

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Publication : 9 avril 2020

"Le réel, c'est ce qui résiste". (Hegel)[1]
"Moins l’intelligence adhère au réel,
plus elle rêve de révolution" 
(Raymond Aron) [1bis]

Pourquoi la communauté des chrétiens sensibles à l’écologie ignore-t-elle l'existence de cette accumulation de publications scientifiques contredisant les thèse du Giec? Pourtant,
1- Une étude française avait déjà invalidé en 2016 les conclusions du Giec. 
Son auteur avait d’ailleurs rencontré le président de l’Académie Pontificale des Sciences. Celui-ci avait reconnu, à la suite de cette rencontre, que "l'Académie pontificale des sciences devrait informer le Vatican, y compris le Saint-Père, sur le degré élevé de complexité pour identifier les facteurs spécifiques ayant un fort impact sur notre climat, de sorte qu'à l'heure actuelle, on ignore si et dans quelle mesure une augmentation de la concentration atmosphérique de CO2 provoque l'augmentation observée de la température de notre climat" [1 ter].  Qu’était-il sorti concrètement de cette recommandation, quelques semaines avant la publication de Laudato si? Peut-être simplement l’ajout d’un paragraphe conclusif, à la fin du chapitre sur « l’état de la maison », (Chapitre 1): « l’Église n’a pas la prétention de juger des questions scientifiques …, mais j’invite à un débat honnête et transparent» (§ 188 ).
2- L’absence évidente de consensus
Le Chancelier de l'Académie Pontificale des sciences est probablement le responsable personnel d'une faute professionnelle en ayant laissé passer le § 23 de Laudato si prétendant qu’« il existe un consensus scientifique très solide qui indique que nous sommes en présence d’un réchauffement préoccupant du système climatique …. [dont] la plus grande partie … est due à la grande concentration de gaz à effet de serre ». Toute personne de bonne volonté, soucieuse de vérité, se devrait de suivre l'appel de l'Encyclique à un "débat honnête et transparent". Mais est-il possible d'être honnête sans accepter, au moins personnellement, de prendre conscience:
2.1-des observations  soulignées invalidant les thèses du Giec et démontrant que c'est vers le soleil qu'il faut se tourner pour expliquer la période chaude contemporaine ?
2-2- des centaines d’études publiées en ce sens entre 2016 et 2019 et écrites par des milliers d'auteurs réputés dans les universités des quatre coins du monde ?

L'Église est-elle prête à se laisser bousculer ?
Elle se grandirait à ne pas se laisser aller à une forme de « mondanité » condamnée par le Pape lui-même : « La mondanité signifie utiliser les critères du monde, suivre les critères du monde et choisir selon les critères du monde …[2] " Il existe une menace qui parcourt le monde. C’est celle de la « mondialisation de l’uniformité hégémonique » caractérisée par la « pensée unique[2bis] ». Un peu comme un  antidote à ce virus de la pensée unique, le Pape François dit que, "L'Eglise est appelée à sortir d'elle-même et à aller vers les périphéries» Il y aurait  quelque chose d’indécent à évoquer l’idée que des dissidents climatiques puissent faire partie de ces périphéries vers lesquelles l'Église craint d’aller. Indécent, car quand le pape appelle à rejoindre les périphéries, il pense aux plus pauvres étouffés par des conditions d’existence difficiles, « parfois inhumaines, où l’espérance ne respire pas, étouffe [3]».
Peut-être le dissident aurait-il, pourtant, un message essentiel à transmettre ! L’Eglise est-elle prête à se laisser bousculer en suscitant en son sein des dialogues contradictoires ? Ou au contraire, au nom d’une cause de conversion, certes, indispensable, préfère-t-elle surfer sur le discours de peur ambiant ? Pourtant, la vérité pourrait rendre libre d’aller vers une conversion beaucoup plus profonde, non celle qui passe par des écogestes inefficaces, mais qui conduit à une véritable écologie intégrale.

Analyse : « les2ailes.com »

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Comment expliquer la période chaude contemporaine  ?

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Publication : 13 février 2022

Il est certes tentant de critiquer les modèles du Giec, en montrant, par exemple, l’incongruité consistant à ne retenir que les 150 dernières années d'observations [1] ! Comment ces modèles peuvent-ils, sur une période aussi courte, expliquer le réchauffement du moyen-âge et le refroidissement du petit âge glaciaire ? Par ailleurs les modèles du Giec n’ont recours à aucune probabilité calculée, mais à ce qu’il qualifie de probabilités subjectives (AR5 GT2, § 2.6.2) [2]. Enfin, le G.I.E.C. reconnait qu’il est conduit à éliminer certains facteurs pour limiter la complexité, en particulier le rôle des nuages : dans leurs modèles, le G.I.E.C.  ne retient que « des conditions de ciel clair [3]… ». Pourquoi cela? Parce que, dit le G.I.E.C., « l’introduction de nuages compliquerait grandement les objectifs de la recherche[4] ». Ce point est particulièrement incompréhensible quand on sait le rôle des rayons cosmiques sur la création des nuages (voir video qui suit)
Mais, il ne suffit pas de critiquer les modèles du GIEC. Pour expliquer que le soleil est le principal moteur de la mécanique climatique, il faut avoir recours à une discipline : l’identification des systèmes complexes. C’est le seul moyen de quantifier une relation de cause à effet entre les variations d’activité solaire et les variations de températures.  
Mais, on aura raison de dire que c’est encore insuffisant et qu’il faut expliquer le mécanisme de cet impact.
Un des grands spécialistes de la cosmoclimatologie est Henrick Svensmark. Nous recommandons la vidéo ci-jointe au cours de laquelle ce scientifique Danois explique le rôle des rayons cosmiques sur les couches de nuage: « Quand un fort champ magnétique émane du soleil ça diminue la quantité de rayons cosmiques qui balaie la terre ce qui  signifie qu'il y aura moins de nuages pour nous tenir au frais. Au contraire un soleil paresseux avec un champ magnétique faible laisse pénétrer davantage de rayons cosmiques qui eux-mêmes produisent plus de nuages qui contribuent à refroidir la terre. ».

 

Source: Youtube - Conférence d'Henrick Svensmark - 23.11.2018

Traduction : « les2ailes.com » 

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Faut-il limiter les naissances pour sauver la planète?

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Publication : 27 juin 2022

Le Figaro-Magazine du 24 juin 2022 donne la parole à Antoine Bueno, ESSEC, essayiste, prospectiviste et à Fabrice Hadjadj, SCIENCES-PO, philosophe et père d’une famille nombreuse sur ce thème. Le premier plaide pour un «permis de procréer» afin de lutter contre le réchauffement de la planète. Le second défend les raisons qui peuvent pousser un couple à faire l’amour sans «le dernier rapport du GIEC» ouvert sur le lit.

Nous proposons de prendre parti dans ce débat. 

Transcription: les 2ailes.com

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Les grenouilles qui demandent un roi

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Publication : 18 mai 2022

Les grenouilles se lassant

De l'état démocratique,

Par leurs clameurs firent tant

Qu’ils demandèrent un pouvoir plus citoyen,

Un roi subsidiaire sachant juger sagement .

Il leur tomba du ciel un roi bedonnant :

Ce roi fit toutefois un tel bruit en tombant,

Que la gent marécageuse,

Gent fort sotte et fort peureuse,

S'alla cacher sous les eaux,

Jouir de jeux et autres plaisirs,

Dans les trous du marécage,

Sans oser de longtemps regarder au visage

Celui qu'elles croyaient être un géant nouveau.

Or il était hypocrite et menteur:

Évoquant l’écologie, à la première il fit peur;

Mais elle osa quitter sa tanière.

S’approcha, en récriminant 

Contre les virus dont le roi exposa le danger.

Une autre la suivit, le roi jouant

Des risques de guerre et de pénuries.

Il en vint une fourmilière ;

Et leur troupe à la fin se rendit familière

Jusqu'à sauter sur l’épaule du roi.

Le bon sire le souffre et joue toujours  de l’effroi.

Dieu en a bientôt la cervelle rompue :

« Donnez-nous, dit ce peuple, un roi qui se remue. »

L’institution mondialiste leur envoie une grue 

Qui les croque, qui les tue,

Qui les gobe à son plaisir ;

Et grenouilles de se plaindre.

Et Dieu de leur dire :« Eh quoi ? votre désir

A ses lois croit-il nous astreindre ?

Vous auriez dû premièrement

Garder votre gouvernement ;

Mais, ne l'ayant pas fait, il vous devait suffire

Que votre premier roi fut.

De celui-ci contentez-vous,

De peur d'en rencontrer un pire.»

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Marcel Leroux : "Le réchauffement climatique est un mythe !"

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Publication : 28 avril 2022

«A chaque fois que vous vous retrouvez à penser comme la majorité des gens, faites une pause, et réfléchissez...»
(Mark Twain, nom de plume de Samuel Langhorne Clemens, (1835-1910) écrivain, essayiste et humoriste américain)

Aujourd’hui, il n’est presque plus possible de participer à un colloque consacré à l’agriculture sans que soient évoqués le réchauffement climatique et l’effet de serre. Préoccupation majeure de l’agriculteur, la question du climat suscite un intérêt évident car ses aléas ont des répercussions immédiates sur les résultats des exploitations.
Marcel Leroux, professeur en climatologie à l’université Jean Moulin de Lyon III et directeur depuis 1986 du Laboratoire de Climatologie, Risques, Environnement (CNRS), est l’auteur du premier livre de climatologie en français traduit en anglais, La Dynamique du temps et du climat (éditions Dunod, 1996). Après la parution de The Meteorology and Climate of tropical Africa, aux Editions Springer en 2001, il achève son troisième ouvrage, Global Warning, myth or reality, qui sera disponible en décembre. Pour ce climatologue iconoclaste, qui conteste la validité des modèles informatiques actuels, les variations climatiques s’expliquent tout naturellement, lorsque l’on prend en compte ce qu’il appelle les anticyclones mobiles polaires (AMP), vastes lentilles d’air glacial de 1500 mètres d’épaisseur et de 2.000 à 3.000 km de diamètre, générées quotidiennement par les pôles et se déplaçant vers l’équateur.
Nous retranscrivons les deux interviews qu'il avait donné, avant son décès,
- dans Agriculture et Environnement en octobre 2004
- et dans La Nouvelle Revue d’Histoire n°31, Juillet/août 2007 (pp. 15-18 le 26/9/2007 (Paru dans le dernier numéro de la revue NRH)

Source: L'échelle de Jacob, 23 avril 2022

Transcription: Les2ailes.com

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Quand Karl Marx était (malgré tout) lucide

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Publication : 28 avril 2022

« La vérité n’est-elle pas tout simplement ce que le gouvernement ordonne, la recherche n’étant qu’un tiers superflu et importun, mais qu’il faut se garder de désavouer complètement, à cause de l’étiquette ? »
(Karl Marx – Remarques à propos de la récente instruction Prussienne sur la censure -1843)

« À toute époque, les idées de la classe dominante sont les idées dominantes ; autrement dit, la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est en même temps la puissance spirituelle dominante. La classe qui dispose des moyens de la production matérielle dispose en même temps, de ce fait, des moyens de la production intellectuelle, si bien qu’en général, elle exerce son pouvoir sur les idées de ceux à qui ces moyens font défaut. Les pensées dominantes ne sont rien d’autre que l’expression en idées des conditions matérielles dominantes, ce sont ces conditions conçues comme idées, donc l’expression des rapports sociaux qui font justement d’une seule classe la classe dominante, donc les idées de sa suprématie. Les individus qui composent la classe dominante ont, entre autres choses, une conscience aussi, et c’est pourquoi ils pensent. Il va de soi que, dans la mesure où ils dominent en tant que classe et déterminent une époque dans tout son champ, ils le font en tous domaines ; donc, qu’ils dominent, entre autre choses, comme penseurs aussi, comme producteurs de pensées ; bref, qu’ils règlent la production et la distribution des idées de leur temps, si bien que leurs idées sont les idées dominantes de l’époque. »

Source: Karl Marx – L’idéologie Allemande – 1845
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