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Pas de limite aux ressources naturelles ?

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Publication : 7 novembre 2020

Lorsque l’écologie affirme les limites de la planète, cette limite est bien avérée, selon la masse des atomes de la planète. Cependant, si l’on parle des limites des ressources naturelles, ces limites sont relatives à certaines méthodes d’exploitation des ressources, méthodes qui peuvent évoluer dans le temps.
Ainsi Marian Tupy et Gale Pooley, co-auteurs d’un indice d’abondance, le Simon Project, soulignent que le monde est un système fermé, mais qu’il contient une puissance d’usage presque infinie. Ils le comparent à un piano : « L’instrument n’a que quatre-vingt-huit notes, mais ces notes peuvent être jouées de manière presque infinie. Il en va de même pour notre planète. Ce qui importe, alors, ce ne sont pas les limites physiques de notre planète, mais la liberté humaine d’expérimenter et de réinventer l’utilisation des ressources dont nous disposons[1]. »
Un musicien dans un orchestre, s’il respecte les limites assignées à sa fonction musicale, participe à l’harmonie de l’ensemble. Des harmonies infinies sont révélées par le jeu fini et organisé des notes de chaque instrument. C’est du jeu de la limite que naît, dans l’orchestre, la beauté, et, dans le cosmos, la vie – manifestations de l’illimité. Philolaos, maître du pythagorisme, fonde sa doctrine du nombre sur une pensée de la limite. L’Un, principe de tout nombre dans la mesure où n’importe quel nombre est la répétition de l’unité, se comprend comme l’Achevé par excellence. Dans cette perspective mathématique, le monde illimité et l’agencement de « limitants » constituent ensemble, pour Philolaos, l’harmonie : « La nature dans l’univers fut mise en harmonie aussi bien par des illimités que par des limitants – à la fois l’univers en son entier et chaque chose en son sein. »
Alors, les ressources naturelles sont-elles limitées? Une analyse basée sur les indicateurs d’abondance et un regard philosophique permettent de ne pas être sensible aux discours malthusiens en la matière et de réfuter ce qu'affirmait Koffi Annan en 1999: « Le développement durable est en grande partie subordonné à la stabilisation rapide de la population mondiale »[1bis].

Analyse: "Les2ailes.com"

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« Vaccin-OGM » ? Confusion, émotion, peur !

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Publication : 2 novembre 2020

La confusion sémantique s’amplifie à propos des recherches sur un vaccin contre le Covid 19 ! On parle à tort de « vaccin OGM ». Il est vrai que la technologie envisagée utilise les découvertes récentes en matière de thérapie génique et que les prochains vaccins dits « vaccins ARN » n’auront rien à voir avec les vaccins traditionnels dits «vaccins à particules pseudo-virales » (VLP). Certes ces nouveaux vaccins n’ont encore jamais été utilisés chez l’homme et les risques d’effets non désirables sont importants. Mais il n’y a pas lieu, pour accroître l’émotion et la peur, de les qualifier de vaccin OGM ! Quels sont les différences entre un OGM et un vaccin-ARN ? Quels sont les risques des vaccins ARN ?
Quant à la question éthique et technique de la production de vaccins à partir de cellules embryonnaires, elle est abordée sur le site www.arguments-vaccins.com. 

Analyse "les2ailes.com" 

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La pause du réchauffement climatique de 1998 à 2012 a été réelle

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Publication : 30 octobre 2020

Le GWPF (Global Warming Policy Foundation), cercle britannique de réflexion et d'influence sur le climat fondé en 2009, vient de faire état d’une nouvelle analyse mondiale de la température mondiale de l'air. David Whitehouse, rédacteur scientifique du GWPF a fait état le 23/09/20 de la publication faite par des chercheurs de l'Université de Tongji à Shanghai mettant en lumière le récent hiatus très débattu de la température mondiale. 
Ils ont trouvé une tendance au refroidissement sur la période 1998–2012 qui était significativement différente de celle de l'intervalle 1970–1997 qui se caractérise par un réchauffement important. Ils concluent : « nos résultats fournissent de nouvelles preuves de la récente interruption du réchauffement climatique » et soulignent « le potentiel de l'utilisation des isotopes des précipitations pour suivre les changements climatiques ».

Information "les2ailes.com"

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Écologisme et « théorie du Care » : deux idéologies de même inspiration.

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Publication : 29 septembre 2020

En quoi l’éthique du care et la philosophie morale des « biens communs » sont-ils à rapprocher ?
La philosophie du Care, est une dialectique de la vulnérabilité qui joue du rapport "fort/faible": L’ensemble de la communauté internationale nous pousse, progressivement, dans une éthique très contestable, celle de l’éthique de responsabilité [1]. Elle inclut, bien sûr, une éthique de la solidarité, une éthique du respect des droits de l’homme, mais sans se poser la question de savoir de quel homme on parle. L’éthique du Care  peut être bonne, mais qui n’est pas suffisante, dans la mesure où elle relève d’un certain relativiste de ce qui mérite un soin et de ce qu’est le soin à apporter.
L’écologisme, avec son slogan : « prendre soin du climat », ou « prendre soin de la planète » rentre dans une éthique du même ordre. Comment cela ?

Analyse « les2ailes.com »

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Le temps se fait court (1Co 7,29): « Urgence écologique » ou « Cap vers le port » ?

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Publication : 25 septembre 2020

« Les laïcs....ont le droit [et même parfois le devoir] de s’ouvrir à ces mêmes pasteurs ....dans la mesure de leurs connaissances, de leurs compétences et de leur situation, et de  manifester leur sentiment en ce qui concerne le bien de l’Église » (Lumen gentil 37)

Le groupe de travail interdicasteriel du Saint-Siège sur l’écologie intégrale a publié la version française de En chemin pour la sauvegarde de la maison commune 5 ans après Laudato si.
L’introduction commence par cette phrase : « ‘Le temps se fait court’ (1Co 7, 29). Cette exhortation…, nous l’entendons aujourd’hui résonner avec urgence ». Urgence climatique ou appel à nous tourner vers la terre nouvelle ? Saint Paul utilise un terme technique de la navigation : « littéralement, le temps a cargué ses voiles : quel que soit le temps restant à courir jusqu’à la parousie,  de toute façon, dans le Christ ressuscité, le monde à venir est déjà présent »[1]. Notre vie est comme une navigation toujours orientée vers le port. 

Transcription : « les2ailes.com »

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L’écologie : « chemin d’évangélisation » ou prosélytisme ?

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Publication : 13 septembre 2020

La revue « Limite » du 25.4.2017 interrogeait ainsi Gautier Bès de Berk  « Pensez-vous que l’écologie intégrale… puisse être un chemin d’évangélisation pour notre monde sécularisé ? ». Il répondait : « Tout dépend de ce qu’on cherche par l’évangélisation. Si c’est attendre de celui qui ne l’est pas qu’il devienne catho, alors c’est d’avance voué à l’échec et l’écologie intégrale n’apportera rien. Si l’évangélisation, c’est mettre les évangiles en mouvement, aller chercher dans notre quotidien là où ils rentrent en questionnement avec nos pratiques et accrochent nos contradictions, alors l’écologie intégrale peut devenir un moteur intéressant pour nourrir notre propre démarche… ».
Patrice de Plunkett n’a pas le même regard: « L’écologie est enfin un chemin d’évangélisation et de témoignage catholique. Ni superflu ni dissidence, on est dans le cœur du message chrétien ! ».
Vincent Neymon, parle de son côté de l’écologie intégrale comme d’un « outil d’évangélisation »[1].
Il y a dans ces sémantiques une confusion entre les concepts d’évangélisation, de cheminement avec les incroyants, et de nécessité de « l’exigence de la rencontre pour rejoindre les personnes là où elles sont », comme le disait le pape François au cours d’une audience  le 18.11.2019.
La peur écologique est certes un signe des temps. Mais la tolérance et le subjectivisme également, la sexualité comme objet de consommation aussi. Nul ne penserait à évoquer comme un chemin d’évangélisation de notre temps l’idée de partager avec nos contemporains, un peu de subjectivisme. Quant à certaines communautés religieuses qui ont rejoint la génération 68 en faisant la promotion  de la libération sexuelle pour être dans l’ère du temps, on sait les ravages que ces discours ont fait dans l'Église. On pourrait également évoquer l’évangélisation du prolétariat par des pasteurs qui ont pensé devoir faire « un bout de chemin » avec le marxisme?
Alors est-il si sûr que rejoindre les personnes sensibles à l’écologie doive passer par une collaboration avec la peur écologique, même un tant soit peu ?  
Avant de parler de « chemin d’évangélisation », il faudrait préciser ce que l'Église entend par évangélisation.

Analyse "les2ailes.com"

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Un pèlerin complètement « cramé »!

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Publication : 2 septembre 2020


Non que le soleil soit déplaisant pour un pèlerin. Il est simplement propice à une réflexion sur ce qualificatif populaire , « cramé » ! Le mot évoque un individu dont la prise de parole devient difficile : il est brûlé, carbonisé, non parce qu’il serait fou, « barge » ou complètement « tapé » comme on dit. En réalité son discours est repéré. Il est donc radié du monde consensuel. Au long des chemins, il se bat pour un peu plus de vérité dans les pastorales écologiques. Mais, comme le disait  Henri de Montherlant (La Reine morte, 1942, page 221), « Le bruit de la vérité les épouvante comme la crécelle d'un lépreux ». Un pèlerin « cramé » marche avec une crécelle!
Faut-il s’émouvoir de se sentir « cramé »? Le journaliste Raphaël Enthoven, pourtant peu recommandable, parle avec humour d’Alain Finkielkraut: « l’avantage d’être cramé depuis une éternité, c’est que les ailes ne brûlent plus... Sa longévité sur le court force le respect mais l’expose à se faire battre par des amateurs. J’ai parfois le sentiment [qu’il] n’imagine pour lui qu’une seule fin : la crucifixion où il verrait la preuve qu’il a raison. »

Il ne s’agit pas de se donner une posture de crucifié, ni de prétendre avoir le talent de Finkielkraut, mais simplement de comprendre que les écologistes qui s’acharnent à « cramer» leurs contradicteurs sont hélas souvent des écologues amateurs qui n’ont comme source que les lieux de consensus, médias, ONG ou politiques.

On ne devrait pas dire « il est cramé », mais « il s’est cramé ». En effet, le cramé n’a pas vraiment été « adroit comme les serpents, et candide comme les colombes » (Mt 10,16) . Sa parole était plutôt du genre « tranchante [comme une] épée quelconque à deux tranchants » (Hébreux 4:12).

Dans ce combat pour la vérité, qui est le plus « cramé »?

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