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De l’écologie au proxénétisme… : n’y aurait-il qu’un pas ?

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Publication : 16 février 2019

Le souci écologique répond-il à un enjeu de charité vis-à-vis des générations futures ? La première des charités devrait consister à ne pas les  « instrumentaliser ». L’homme, dès le péché originel, est devenu concupiscent c'est-à-dire qu’il veut entrer en possession d’autrui. L’instrumentalisation, en particulier des plus petits, est une manière de les utiliser comme des objets pour répondre à des objectifs personnels, voire idéologiques, qui n’ont rien à voir avec le bien des dites générations futures.
L’actualité du 16 février vient de nous en donner deux exemples avec d’une part l’interview d’un leader du Giec, Jean-Pascal van Ypersele qui se félicite de voir le succès des « marches des jeunes pour le climat » , et d’autre part, le lancement de l’opération « Million dollar Vegan », dont une petite fille de 12 ans est porte parole pour inviter le Pape François à vivre son carême sous la forme d’un régime vegan !
Dans les deux cas, il ne s’agit pas d’initiatives spontanées, mais d’opérations parfaitement orchestrées par des ONG internationales qui veulent créer l’émotion, influencer les adultes pour faire avancer leurs idéologies.
De quoi s’agit-il ? En quoi peut-on élargir le propos au concept même de proxénétisme ?

Commentaires « les2ailes.com »

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Mortalités d'abeilles- Bilan du ministère de l’Agriculture

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Publication : 16 février 2019

Les conclusions 2015 du dispositif officiel de suivi des troubles d'abeilles par les services du ministère de l'Agriculture sont claires et sans ambigüité : ce sont bien des facteurs sanitaires et nutritionnels qui expliquent les mortalités d'abeilles. 
On ne peut pourtant pas soupçonner le ministère de l’agriculture d’être complaisant avec les phytosanitaires. Or son rapport souligne : « Les pesticides, on en parle beaucoup. Sans doute trop ! ». En revanche, les grosses têtes de chapitre du rapport sont les suivantes : « mauvaises pratiques apicoles », et « le Varroa, ennemi numéro 1 des abeilles ».
Nous transcrivons ici le communiqué du ministère de l’agriculture sur ce sujet.

Transcription : « les 2ailes.com »

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Glyphosate : une « start-up d’État » à côté de la plaque

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Publication : 29 novembre 2018

Emmanuel Macron avait promis une « start-up d’État » pour donner une visibilité aux agriculteurs qui abandonnent ou n’utilisent pas de glyphosate. Ses équipes ont produit un site web qui interpelle sur sa capacité à conduire les affaires de l’État.
Il y a un an, le 27 novembre 2017, les États membres de l’Union Européenne avait approuvé contre toute attente la ré-autorisation du glyphosate pour cinq ans – l’herbicide du siècle passé et probablement du présent –, la France votant contre. Dans un gazouillis rageur, digne de M. Donald Trump, le président Macron indiquait : « J’ai demandé au gouvernement de prendre les dispositions nécessaires pour que l’utilisation du glyphosate soit interdite en France dès que des alternatives auront été trouvées, et au plus tard dans 3 ans ».
De nombreux articles de presse sont très violents sur une initiative présidentielle qualifiée de « Start-up d’État  ridicule, indécente et irresponsable pour accompagner la sortie du glyphosate » . Les syndicats agricoles ont publié un communiqué de presse s’insurgeant contre la méthode « Comptabiliser des engagements ressemble plus à une opération de communication dont un des effets les plus pervers serait une nouvelle escalade dans l’agribashing. A quel moment le compteur sera-t-il jugé suffisant pour ne plus désigner les agriculteurs à la vindicte de l’opinion publique ? Quid de ceux qui ne se déclareraient pas ? La FNSEA et JA ne peuvent cautionner cette méthode. Non, pas comme ça ! ».
Même l’INRA, dans un rapport de 88 pages intitulé « Usages-Alternatives au glyphosate dans l’agriculture française », présente un tableau d’alternatives dont 70% des critères sont au rouge « phase de recherche active ; rouge » ! L’INRA reconnait toute une série de problèmes :

  1. Seule la combinaison de plusieurs substances actives permettrait de retrouver un spectre large mais plus limité que celui du glyphosate,
  2. Contraintes économiques (> 300€/ha) et logistiques (12 à 16 l/ha),
  3. Ne fonctionne pas sur vulpin,
  4. Ne fonctionne que sur certaines flores ; notamment, gaillet, brome, chardon-marie, ambroisie,
  5. Levier adapté à la réduction d’herbicides,
  6. Plus facile à réaliser et plus efficace en culture de printemps. Forte contrainte avant céréales. Impossible en colza,
  7. selon disponibilité le nombre de jours de gel ; efficace dans le grand Nord-Est.

Mais pourquoi ce tintamarre ?
Nous reprenons ici, intégralement, la réponse publiée le 27 novembre 2018 par  André Heitz. Il est ingénieur agronome et fonctionnaire international du système des Nations Unies à la retraite. Il a servi l’Union internationale pour la protection des obtentions végétales (UPOV) et l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Dans son dernier poste, il a été le directeur du Bureau de coordination de l’OMPI à Bruxelles.

Transcription : « les2ailes.com »

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Une alimentation bio réduit-elle les risques de cancer ?

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Publication : 1 novembre 2018

Une étude française publiée dans la revue Jama Internal Medicine le 22 octobre 2018 associe la consommation d’aliments issus de l’Agriculture biologique avec une baisse du risque pour deux cancers « L’hypothèse qui nous semble la plus plausible est que les pesticides de synthèse jouent un rôle » explique Emmanuelle Kesse-Guyot, directrice de recherche à l’INRA et coauteur de l’étude.
Près de 70.000 personnes de la cohorte NutriNet ont été interrogées sur leur consommation d’aliments biologiques, puis suivies pendant 7 ans.
Notre attachement au recours à des études épidémiologiques avant de diffuser des allégations santé nous a incité à aller voir de près le protocole de l’étude.
Nous comprenons alors pourquoi le communiqué de l’INRA  a dû reconnaître que « le lien de cause à effet ne [peut pas] être établi sur la base de cette seule étude ».
Pourquoi cette difficulté ?

Commentaire: "les2ailes.com" 

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Familles nombreuses : bilan énergétique positif

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Publication : 18 octobre 2018

Le Président Macron a été invité par la fondation Bill et Melinda Gates pour son second événement Goalkeepers dont le nom évoque l’idée que les organisateurs seraient les « gardiens des objectifs du développement durable ». Cet événement se déroulait en marge de la 73ème Assemblée générale des Nations unies, le 26 septembre 2018[1]. Il a choqué les réseaux sociaux en déclarant : « Présentez moi la femme qui, ayant reçu une parfaite éducation, décidera d’avoir huit ou neuf enfants » (Source TheGuardian).
Ce n’est pas la première fois qu’Emmanuel Macron fustige les familles nombreuses. Ses discours malthusiens sont entretenus par l’idée, non scientifiquement fondée, que les émissions de CO2 menaceraient l’équilibre climatique de la planète. Non seulement ce discours est inique, mais il est également injuste car il vise les pays les plus pauvres, en particulier l’Afrique: chacun sait que le bilan carbone des pays pauvres est le plus faible.

Ce discours est à rapprocher d’une autre information, celle du bilan carbone des familles nombreuses. Certes, cette approche de calcul est usuellement culpabilisante et angoissante pour les familles. L’indicateur de carbone est, malgré tout intéressant, car, en quelque sorte, il mesure l’impact en dépenses énergétiques de tel ou tel comportement, si tant est que les calculateurs utilisés soient fiables. Imaginons cette fiabilité le temps de ce constat : Les familles nombreuses sont énergétiquement efficaces. A population égale, elles permettraient, en quelque sorte, d’investir dans moins de centrales nucléaires. C’est ce que démontre ce graphique publié dans l'étude « Observatoire du Bilan Carbone des ménages ». Nous en reproduisons ci-après l’intégralité des résultats.

Transcription "les2ailes.com"

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Aude : 13 morts ! Fatalité ou incurie?

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Publication : 16 octobre 2018

 

Le premier ministre s’est rendu sur place, à Trèbes où la France déplore 13 morts. Il a eu raison d’exprimer la compassion de la France. Mais, il a ajouté que cet épisode météorologique était "par lui-même imprévisible". Est-ce si sûr ? Le danger immédiat ne l’était pas, mais le risque à moyen terme l’était parfaitement. Qui le reconnaîtra ?
Le journal « LaCroix » du 15 octobre 2018 a, bien sûr, trouvé le coupable : « une fois de plus, le sud de la France a été frappé par un épisode dit « méditerranéen », dont la violence pourrait être renforcée par le réchauffement climatique » ! Pourtant, le très officiel document qui donne les détails du classement en Natura2000 de la basse vallée de l’Aude évoque « l'augmentation des phénomènes de crues du prorogation du delta du XVIIIe siècle, durant le petit âge glaciaire (1755, 1856, 1858, 1872, 1875, 1880, 1907). » (Natura 2000). L’homme est ainsi fait : c’est toujours les variations climatiques qui causent des inondations, qu’on soit en période de refroidissement ou de réchauffement !
En réalité, tous les ans, le problème est le même que ce soit dans les basses-Alpes, en Bretagne ou dans les Pyrénées atlantiques. Le problème se déplace, mais avec les mêmes causes.  Nous proposons ici une courte leçon de géographie sur la nature des « basses plaines de l’Aude », sur la priorité qui est donnée à l’écologie, au tourisme et à l’immobilier. Quelles sont les conséquences du classement de cette vallée en catégorie « Natura 2000 » ? Pourquoi continue-t-on à construire dans les zones inondables, au lieu d’organiser des zones de déversement en cas de crue ? Est-on certain que l’aménagement de l’embouchure de l’Aude répond aux enjeux ?
Il y avait déjà eu 35 morts, sur l’Aude, à Lézignan-Corbières les 12 et 13 novembre 1999. Qu’a-t-on fait ?
Oui, Éric Menassi, le maire de Trèbes, a raison de trouver indécent le débat autour du déclenchement de l'alerte météo. "Je trouve indécente la polémique qui est en train de naître autour de Météo France, des services de l'Etat et des collectivités territoriales".

Commentaire "les2ailes.com"

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