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Érosion de la biodiversité ?

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Publication : 23 septembre 2018

Un article du Monde du 15 avril 2016 s’insurgeait contre l’émergence d’une nouveau courant qualifié, comme pour mieux le ridiculiser, de « biodiversité sceptique ». L’article mettait en accusation un avis publié par l’Académie des technologies sur le thème « Biodiversité et aménagement des territoires ». Le journal accuse l’Académie de remettre en cause ce que le consensus appelle un fait, à savoir que les « taux d’extinction définitive des espèces seraient de 20 à 100 fois supérieurs à ce qu’ils étaient avant l’influence des humains »[1].
Son avis avait pourtant plusieurs mérites :
- faire appel à la fois à des scientifiques, juristes et industriels  
- accepter qu’il puisse ne pas y avoir de consensus sur le sujet de la biodiversité puisque l’avis se termine par une annexe exposant la « position minoritaire ». Le plus généralement, les minoritaires sont tournés en ridicule et éliminés des débats.
Nous reprenons ici l’intégralité de cet avis qui met en lumière deux points :
- l’aspect scientifique (I) : il y a une forme d’unanimité à admettre que  « la connaissance du phénomène d’érosion de la biodiversité est marquée par de nombreuses incertitudes ». Nous exposerons ces difficultés d’ordre scientifique.
- les aspects sémantiques et idéologiques (II) : L’avis a raison de mettre en garde contre « toute interprétation hâtive, toute analogie faussement intuitive et toute imprégnation trop fortement idéologique ».
- l’aspect économique et social (III) : l’Académie des technologies est visiblement influencée par la qualité dont elle se targue d’être « héritière du siècle des lumières ». Dès lors, ses arguments sont parfois emprunts d’une idéologie du progrès dont elle fait d’ailleurs son maître mot. Nous montrerons les contradictions qui s’en suivent.
Pour en juger, nous transcrivons l’intégralité de cet avis (IV) 

Commentaire et transcription : « les2ailes.com »

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Fiat lux..... Miséricorde !

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Publication : 15 décembre 2015

La façade de la basilique St-Pierre de Rome a servi d’écran géant à la projection  d’un gigantesque panorama présentant la richesse de la biodiversité du monde. Animaux, fleurs et paysages éclataient de leur beauté. Les méfaits de certaines pollutions également.
Ce spectacle, intitulé "Fiat lux", a été l’occasion de reprise de pesse très polémiques, les unes très élogieuses, d’autres  parlant de sacrilège, en particulier au motif que la date retenue était celle de l'ouverture de l'année sainte de la "Miséricorde".
Nous proposons ici de présenter les faits, et de développer les arguments des uns et des autres afin de permettre à chacun de se faire son opinion.

Commentaires  "les2ailes.com"

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Un nouveau statut pour les animaux dans le code civil

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Publication : 16 avril 2014

Les animaux vont être reconnus dans le Code civil comme des "êtres doués de sensibilité" alors qu'ils n'étaient considérés que comme des biens meubles. Ainsi en a décidé la commission des Lois de l'Assemblée Nationale le 15 avril 2014 dans le cadre d'un projet de loi de modernisation et de simplification du droit (sic!), à la demande du député PS, Jean Glavany. Cette loi soumettra les animaux au régime juridique des biens corporels en mettant l'accent sur les lois spéciales qui les protègent.
L'idée était soutenue par des philosophes comme Michel Onfray, Luc Ferry, Erik Orsenna,...
Qu'en penser?

Sources: le Nouvel Observateur-Société.fr du 15.4.2014

Commentaire: les2ailes.com

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Les animaux et le code civil: l'art de faire du neuf avec du vieux

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Publication : 6 février 2015

Le Code civil vient d'être modifié et dit désormais que « les animaux sont des êtres vivants doués de sensibilité". Rien de bien nouveau: Aristote le disait déjà. Cette loi n'a pas d'utilité puisque l'animal reste « soumis au régime des biens ». La nouveauté sera d'entretenir les ambiguïtés de notre culture actuelle laissant croire que les sensibilités de l'animal et de l'homme sont identiques.  C'est oublier qu'on ne protège pas les hommes davantage que les animaux en raison de leur sensibilité, mais en raison de la dignité dont seul l’homme dispose…
Comme le dit le juriste Louis-Damien Fruchaud, "On a l'impression qu'il s'agit de « protéger » les animaux. En fait, c'est l'humanité de l'homme que l’on protège ! On la protège de cette inhumanité qui se tapie au fond de son cœur et défigure autrui (un autre homme), mais également toute la création (les animaux et la nature entière)".
Alors que penser de ce nouveau code civil?

Source: généthique.org du 5 février 2015

Commentaire: les2ailes.com

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La biodiversité: une approche marchande?

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Publication : 26 janvier 2013

Comment nos gouvernants abordent-ils la question de la biodiversité? Que nous proposent les experts de l’ONU ? Un des risques qui se développe sous nos yeux, sans que personne ne s’en émeuve vraiment, est celui de la sémantique. Elle conduit à un faux consensus qui, de dérives en dérives, conduit à la mise en place de normes, de taxes, d’appropriations. Autant de solutions artificielles nuisibles à l’homme lui-même !
C’est un risque qu’a souligné Mgr. Giampaolo Crépaldi, ancien secrétaire du conseil pontifical Justice et paix, coordinateur de la rédaction du Compendium de la Doctrine Sociale de l’Eglise. Il a dénoncé, le 25 novembre 2010,  les « sirènes des nouvelles idéologies » en y incluant  « l'idéologie de la diversité » qui, selon lui, « consiste à absolutiser la diversité en tant que telle, indépendamment de la vérité de la diversité. Les différences sont une richesse, mais quand elles restent dans un cadre vrai d'humanité, et représentent une des nombreuses voies pour exprimer la nature humaine commune. Les différences en tant que telles ne sont ni vraies ni fausses, ni bonnes ni mauvaises, et la coexistence n'est pas une combinaison indifférente de toutes les différences, sans exception, mais leur intégration au service de l'humanité commune…»[1].
C’est justement quand on ne se méfie pas des pièges sémantiques que les vrais enjeux sont détournés au profit d’intérêts divers[2]. En bref, ils disent "diversité", mais pensent "uniformité". Comment cela?

Commentaire "Ordinatissima"

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  1. Tchernobyl : haut lieu de la biodiversité ?
  2. Abeilles: non lieu définitif pour l'insecticide Regent !
  3. Hongrie : après le communisme, l’écologisme !
  4. Vers une approche administrative et policière de la biodiversité ?

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